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 And a Happy New Year !

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Arthur H. Thorn
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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptyJeu 9 Jan - 21:52

And a Happy New Year !Arthur & LoïsOn ne reviendra pas sur le qualificatif de naughty dont l'auror se retrouve affublé, et qu'il trouve ridicule. C'est accueilli par un grognement, évidemment, qui se meurt bien vite à cause de cette jambe qui vient lui chatouiller la hanche. Une jambe désormais bien loin de lui, alors que le paon fait magnifiquement la roue devant lui. Dos à la porte, les mains à plat sur le panneau de bois, il a un petit air de prédateur qui attend le bon moment pour bondir sur sa proie, proie qu'il ne quitte pas une seconde des yeux.
Les vêtements qui trouvent le sol, ceux qui s'ouvrent et dévoilent peu à peu le corps qu'il aimerait toucher, serrer, posséder. Arthur se décolle de la porte, s'approche d'un pas lent, l'observe ôter ses lunettes, secouer la tête, hypnotisé.
Il s'arrête dans sa progression, s'empare des lunettes dont il caresse la monture du bout du doigt, relève les yeux vers les cheveux encore trop coiffés et surtout, surtout, ce regard dont on le gratifie. Il en fait trop, bien sûr qu'il en fait trop. Mais ce n'est pas ça qui va arrêter le sanglier affamé, qui prend tout juste le temps de poser la paire de binocles sur une table de chevet, avec sa baguette et son arme, avant de pouvoir enfin entrer dans la danse.
Il veut jouer ? Ils vont jouer.
L'un comme l'autre s'attelle alors à se faire désirer, à faire patienter. Les baisers gagnent en intensité, les gestes se font plus osés, les caresses plus appuyées. Les dernières barrières volent alors que les lèvres sont occupées à embrasser, mordiller, mordre parfois. Les mains glissent, effleurent, ou s'aventurent sur les corps, s'attelant à contenter l'un ou l'autre des deux partenaires, pour le grand plaisir de chacun d'entre eux.
Enfin, l'un plus que l'autre il faut croire, puisque voici déjà que le jeune homme capricieux réclame davantage, de façon assez peu distinguée par ailleurs. Est-ce qu'Arthur s'en offusque ? Pensez-vous : il adore ça. Alors il vient à nouveau capturer les lèvres de son amant avant de s'efforcer de le satisfaire de la meilleure façon possible.
De toute évidence, ça convient un peu trop au jeune homme, au point qu'il finit par lui attraper les poignets l'un après l'autre pour les placer plus haut sur son dos, histoire que son arrière-train arrête de se faire labourer par ses griffes de chat. Non pas qu'il n'apprécie pas, hein. Mais son dos est moins sensible, et quitte à se faire griffer jusqu'au sang, autant que ça ne soit pas sur la partie du corps sur laquelle il s'assied.
Jusqu'au moment où le chaton cesse de vouloir faire ses griffes et veut se prendre pour un lion. Dans de plutôt bonnes dispositions – on se demande pourquoi – il laisse le jeune homme prendre les choses en main, donc. Et il ne s'en plaint pas, loin s'en faut, mais il est bien incapable de lui laisser complètement diriger les choses bien longtemps.
On ne se refait pas. Il se redresse à la force de ses abdos, vient embrasser le jeune homme en collant une main contre ses reins, puis pose son front contre le sien. S'il est si souple, cette position ne devrait pas le gêner, après tout. Et puis, ça peut lui permettre de s'accrocher à lui, chose qu'Arthur apprécierait tout particulièrement.
Ça lui permet aussi de mieux sentir le contact contre son corps, et il ne se prive pas de faire connaître l'appréciation qu'il en a en de multiples grognements de plaisir.
Indifférent aux coups qui sont donnés de l'autre côté de la cloison par des clients qui, eux, espèrent passer une nuit des plus calmes.

Allongé sur le dos en travers du lit, encore occupé à reprendre son souffle, l'auror tend le bras vers la table de chevet et cherche, à tâtons, sa baguette. Ses doigts la trouve et, après un geste rapide, la fenêtre de la chambre s'ouvre, laissant les embruns de la mer entrer. Son bras revient alors enlacer le corps svelte qui se presse contre le sien, sans se formaliser de la fine couche de sueur qui s'est formée à sa surface. Il embrasse le haut de la tête de Loïs, ou son front, ou quoi que ce soit qu'il ait à portée de lèvres, silencieux.
Ce moment compte parmi ceux qu'il préfère : cette atmosphère de flottement dans laquelle on se trouve après les ébats, le corps encore groggi de la décharge de plaisir et saisi par la volonté d'éterniser les choses dans une étreinte que certains qualifieraient de tendre. C'est le seul moment où il se permet ces petites phrases qui sonnent comme des compliments. C'est à cette occasion qu'il a, une fois, laissé échapper combien il aimait l'odeur de sa peau. L'avait-il dit comme ça ? Il ne se souvient plus. Mais ce parfum à la fois piquant et fleuri avait envahi ses narines et charmé ses sens.
Comme maintenant.
D'ailleurs, il ne se satisfait plus de cette position, où le jeune homme peut poser la tête sur son torse, et se tourne, l'attire contre lui pour enfouir son nez dans son cou, dans ses cheveux enfin décoiffés. Il sent vraiment bon. Une senteur qui ne doit pas plaire à tous, avec cette délicatesse typique des parfums de femme mais aussi cette effluve suave qui s'attache davantage aux hommes.
Hmmm. Y'a pas à dire. C'est sans doute ce qu'il préfère chez Loïs aussi : ce silence ennivrant aux fragances douces qui suit l'acte.
Ça lui fait oublier la brûlure des griffures dans son dos, les insultes dont le français l'a gratifié plus tôt dans la soirée, ou son insupportable air dédaigneux alors qu'il s'aventurait, pour la première fois peut-être, dans le monde moldu.
Et oui, ça lui plairait de se dire qu'il a été le premier à l'y emmener.
Une de ses mains profite du contact, glisse le long de son dos dans une caresse tendre, arrive à ce pauvre arrière-train qui a pris cher et l'effleure à son tour. Il l'amène plus près de lui, sans arrière-pensée.
Il pourrait s'endormir comme ça. Le nez envahi d'un bouquet délectable, la chaleur d'un corps contre le sien.
I want you again,”1 se surprend-il à murmurer au creux de l'oreille de ce dernier.
Il ne bouge pas d'un pouce pour autant, et ne comprend la franchise de sa propre phrase qu'au moment où il la prononce. Il ne sait pas très bien d'où lui vient ce désir pour le jeune homme, d'ailleurs. Enfin, pas tellement le désir en général – ça, il sait d'où ça vient – mais celui de l'instant présent. Ça ne vient quand même pas juste de son odeur quand même ?
Ah ça, la dure loi des phéromones… Souvenez de vos cours de sciences naturelles : vingt minutes d'exposition suffisent à un homme adulte pour être sensible aux phéromones d'un autre.
Quoi qu'il en soit, flatter ainsi son amant dans son égo est loin d'être une bonne idée. Alors il essaie de lui faire oublier ça dans un long baiser, se redresse pour attraper à nouveau sa baguette et fermer la fenêtre – parce que bon, c'est quand même l'hiver et il fait froid dehors.
On ne voudrait pas que ça ait une incidence sur certaines choses, hein.
_____________
1J'ai encore envie de toi.
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Loïs O. Valentine
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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptySam 11 Jan - 21:41

Il n'y avait pas à dire, aussi en désaccord que ces deux là pouvaient être sur beaucoup de points -pourtant assez primordiaux- dans la vie, au lit... Ils s'accordaient de façon assez spectaculaire. L'un mettant le feu à l'autre chacun leur tour, les reins de l'un attisant et satisfaisant tout autant la faim de ceux de l'autre... Loïs se surprenait parfois à se rappeler que c'était Arthur Thorn dont il griffait le fessier pour qu'il revienne le combler de vas et viens encore plus forts. Et il ne manquait pas de le rappeler à haute voix, comme ça avait l'air de l'encourager. Le chevauchant et reprenant les rênes en main, il ne pouvait clairement plus l'ignorer non plus. Le spectacle n'en était que meilleur, finalement. C'était lui qui mettait le chef du bureau des aurors dans cette état là. Et personne d'autre. Et c'était indécemment bon de sentir son plaisir autant que son incapacité à se tenir. Lèvres mordues dans un baiser fiévreux et tremblant, les mains cherchant entre eux à se satisfaire aux sons des grognements de l'autre homme, Loïs s'enroule autour des épaules de l'auror pour onduler et joindre leurs hanches jusqu'à l'extase.

Il a entendu les coups de la chambre voisine, bien sûr. Mais là, il n'avait pas d'attention à leur donner pour le moment. Pour le moment, il cherche surtout son souffle, et probablement sa dignité. Ho, il ne cherche pas de sens à tout ça. Il se doute que quelque part, il y a de la vengeance en réserve, de la frustration et des comptes à régler. Et un sacré bon coup aussi. Le sacré bon coup cherche d'ailleurs une certaine proximité et Loïs ne le repousse pas, même si cette fois il ne va pas particulièrement à sa rencontre. Il s'écarte d'ailleurs un peu, attrapant sa baguette pour nettoyer ce qui peut avoir de gênant après de tels ébats, avant de se réinstaller. Ca n'est pas tout à fait comme les fois précédent où il allait au contact, jouait avec ses doigts sur sa peau félinement... De quoi as-tu peur, Loïs ? Tu as déjà fait le pire possible, là, si ça se sait ça n'est pas juste en sale état qu'on te retrouvera. Il laisse Arthur le sniffer comme s'il était un bouquet rare, respirant plus calmement la peau musquée au parfum boisé qu'il ne détestait pas non plus...

Il zyeute tranquillement ce corps nu qui s'agite pour récupérer sa baguette et fermer la fenêtre. C'est quand même un beau morceau, il n'y avait pas à douter de ça.

« Well I'm flattered Mr Thorn... »

Il s'agenouilla, s'approchant doucement à quatre pattes pour aller déposer un baisers.

« Can you give me a moment ? I won't be long. »

Et puis, il s'éloigna en descendant du lit -ouch- pour aller dans la salle de bain adjacente. Là, il se mit face au miroir dans une pose plus que cinématographique, un peu surfaite mais nécessaire. Que semble etre le problème, Loïs ? Le fait d'aimer le sexe avec un Thorn, un Sang de Bourbe, et encore pire, un Auror, n'a jamais semblé empêcher ta baguette de se lever alors... quoi ? Il ouvrit le robinet pour se passer de l'eau fraîche sur le visage et les cheveux (désolée Arthur). C'était toute la situation, qui était pourrie. Le sexe en secret, passe encore. Mais le sexe en secret à répétition, après un délicieux dîner, dans un AirBnb ? Et avec en plus de ça, de la tendresse et des gestes affectueux ? Oh mais bien sûr, rien qui n'amadoue un chat indépendant comme lui... Aussi dépendant qu'il soit de la reconnaissance d'un autre homme -de deux, si on comptait bien. Tu es bien dans la merde jusqu'au coup, Valentine, disait-il mentalement à son reflet. Tout en essayant de se remémorer les raisons pour lesquelles il s'unissait torridement à l'homme dans le lit d'à côté. Voilà. Rester pragmatique. Et profiter du moment, c'était la clef, pas vrai ?

De retour dans la chambre, il avança à pas de velours pour se rapprocher d'Arthur, comme un félin en chasse qui aurait pu tout aussi bien le bouffer. Aussi sauvage qu'il paraisse cependant, avec les cheveux encore partiellement mouillés, c'est un baiser différent qui vint plaquer ses lèvres à ceux de l'autre homme. Plus personnel. Plus... Intense ? Le reste de son corps ne suivait pas encore mais ça n'était qu'une question de temps, pas vrai ? Ou d'attention, maintenant qu'Arthur savait comment s'y prendre à peu pres.
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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptyDim 12 Jan - 0:00

And a Happy New Year !Arthur & LoïsIl aurait pu être déçu de ne pas pouvoir profiter de l'objet de ses désirs une nouvelle fois. Déçu sans insiter, en respectant le fait que son amant puisse avoir des besoins différents bien sûr.
Mais non.
Est-ce le bain d'endorphines dans lequel il flotte toujours, ou bien la promesse sous-jacente que le jeune homme libidineux va lui revenir ? Rien de tout cela : c'est la satisfaction du travail bien fait. Oui, tout à fait, vous lisez bien. Il faut dire qu'il a de quoi être satisfait : les cris de Loïs ont été plus qu'éloquents, dérangeants pour les voisins par ailleurs, sans oublier qu'il a largement pu sentir l'effet que tout cela a eu sur lui alors qu'il s'accrochait à lui en cherchant l'accès au septième ciel.
Mais ce n'est rien à côté du spectacle auquel il assiste et qui fait naître un fugace sourire en coin sur son visage habituellement si renfrogné. Un sourire si rare qu'il est presque dommage de se dire que son amant ne pourra pas en profiter. Ce sourire plein de fierté et de satisfaction, il apparaît quand il constate que la distance entre le lit et la salle de bain n'est pas des plus faciles à parcourir pour le jeune homme.
Note à soi-même : il faudra qu'il pense à un petit sortilège pour lui permettre de passer une bonne nuit, faute de baume à lui appliquer à la main sur l'arrière-train.

Une fois la porte de la salle de bain fermée, Arthur se redresse sur le lit, puis se lève carrément, loin, très loin des questionnements intérieurs de l'animagus. Ils ont fichu un sacré bazar ici. Les vêtements traînent un peu partout, lancés au gré de leur impatience. Une chemise par terre, un boxer sur un bibelot, une chaussette, même, a volé jusque sur l'abat-jour tendance accroché au plafond. Il n'accorde à tout cela qu'un regard vaguement amusé, toute trace de sourire ayant disparu de son visage.
Arrivé à la fenêtre qu'il avait tantôt ouverte, il s'immobilise, observe la vue qu'ils ont obtenue plus par manque de chambres que par demande. La promenade commence ici, et on devine ses lumières artificielles allant vers le coeur de la station balnéaire. Ce fut une soirée agréable, bien qu'étrange, à bien y réfléchir. À quel moment est-ce que ça a basculé, à quel instant les choses ont-elles pris une tournure telle qu'elles les ont amené à ce Bed and Breakfast ?
L'invitation à dîner était douteuse en elle-même, bon. Il n'avait pas vraiment réfléchi à la suite, il faut dire. La promenade main dans la main ? Oui, il a commencé à s'interroger à ce moment-là, mais il sait aussi qu'il ne doit pas y attacher de signification. Loïs a une conception étrange du plan cul, ce n'est pas la première fois qu'il le constate.
Dans la conception qu'en a Arthur, à la base, on ne dort pas avec son plan cul, déjà. Bon, okay, on ne s'inquiète pas non plus pour un plan cul, pas plus qu'on mène des recherches pour tenter de savoir quels dangers exacts il court.
Étrange, oui. D'un bout à l'autre.
Il entend la porte s'ouvrir derrière lui, mais ne se retourne pas, cherchant à deviner les mouvements de la mer dans l'obscurité de la nuit. La lune est pleine et, si elle suffit à ses yeux clairs habitués à l'obscurité pour distinguer les traits de son amant, elle ne lui permet que de voir le jeu de son reflet dans les vagues sans pouvoir en apprécier la puissance.
Les pas du jeune homme sont assez feutrés pour qu'il ne les entende pas, mais Arthur ne sursaute pas pour autant quand il sent le contact se faire contre sa peau, plus précisément le long d'une griffure. Il se tourne vers le jeune homme qu'il n'a qu'à peine le temps de voir avant de sentir les lèvres sur les siennes. Un mouvement vers l'arrière et il sent le contact glacial de la vitre se répandre le long de son corps alors qu'il tente d'attirer le corps de son cadet vers lui. Porté par l'intensité de son baiser, il serre la prise qu'il a sur ses hanches avant de passer un bras possessif autour de ses reins, juste de quoi le retenir et le maintenir.
Car dès lors qu'il consent à lâcher ses lèvres, c'est pour s'atteler à éveiller le feu en lui. Longuement, patiemment – uiui – à l'aide de caresses habiles en des endroits qu'il sait être plus sensibles, il effleure la peau du bout des doigts, embrasse la ligne des épaules, garde jalousement leurs bassins joints l'un à l'autre. Il faut un moment avant qu'il se décolle du panneau de verre et, après un énième baiser appuyé, inverse leurs postures pour être plus à l'aise dans ses mouvements – quand même.
C'est que c'est quand même pas désagréable de se coller à son dos, une main à plat sur la vitre – la femme de ménage va sans doute rire un moment quand elle va venir faire les vitres demain matin – à pouvoir embrasser, mordiller parfois sa nuque ou le haut de son dos. Il consent même à enfin lâcher une de ses hanches pour finir chatouiller d'autres terres largement explorées – et par d'autres que lui, mais chut.
Il attendra, toutefois, qu'on lui demande grâce pour passer à l'étape supérieure. Et c'est avec une délectation sans commune mesure qu'il se pliera volontiers à l'ordre donné, plaquant un peu plus son amant contre le verre, respirant dans son cou tout en s'ennivrant de ses délicieuses senteurs.
Le tout sans un mot de sa part.
C'est qu'il est loin d'être aussi volubile que son amant.

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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptyDim 12 Jan - 19:36

C'est assez satisfaisant de voir, même en contre jour face à la lumière de la lune, les désastres qu'on a fait sur la peau d'un autre. Fais attention Loïs, on dirait ton père... Quoi que, ce qui plaisait le plus au jeune homme, ce n'était pas la douleur qu'il avait infligé à l'autre. Pas tout à fait le fait qu'il ait marqué sa peau comme s'il était à lui non plus, même si ça jouait peut être un peu, le "c'est moi qui ait fait ça". Mais dans ces marques il y avait aussi tout le bien qu'on lui avait fait, au point qu'il s’agrippe si fort. Est-ce qu'il essaye d'éviter de trop penser, en allant directement au contact ? Peut être, mais quel délicieux contact franchement, qui allait le juger ! Le bras possessif autour de ses reins lui met le feu autant que le reste, et le fait soupirer comme il faut. Le baiser progressivement plus passionné, mais aussi les caresses qu'on lui dispense, l'attention qu'il récolte... C'est exquis comme distraction.

Loïs couine autant pour le froid de la vitre que pour la présence de l'homme qui s'appuie dans son dos, de façon plus soupirante que le fier et mutin jeune homme qu'il a été plus tôt, presque plus fragile. Il n'a pas besoin de voir le reflet de l'autre, simplement le sentir dans son cou lui suffit pour frissonner. Autant dire que lorsque des mains s'occupe de façon presque experte de lui et de son arrière train, il laisse entendre des notes plus hautes et des encouragements du bout de lèvres affamées. Et ce, jusqu'à ce qu'Arthur le comble autrement. Après avoir salit la baie vitrée convenablement, au delà des préliminaires, l'envie des deux (on s'en doute) d'en avoir plus les amena jusqu'au lit qu'ils cognèrent un bon paquet de fois contre le mur. C'était alors le retour des voisins mécontents qui auraient bien aimé dormir, eux. Quoi, ça ne les inspirait pas à relever le défi ? Qu'à celà ne tienne, dans un air concupiscent et plein de connivance, et un retour du Valentine qu'Arthur connaît, il se met à lâcher ses cordes vocales sans aucune retenue. D'abord pour rire, il s'accorde aux coups de reins d'Arthur et profite de sa prise sur le cadre du lit pour pourrir définitivement le sommeil des voisins, jusqu'à l'apothéose.


C'est plus accroché que cette fois il reprendra son souffle, enlacé contre l'autre, perclus de douleur mais comblé. Il faudrait décidément qu'il emporte des petits pots de crème anesthésiante partout où il va. Il met un petit temps à sombrer, entouré par un parfum musqué qu'il apprécie, dans un sommeil réparateur. Non, effectivement, on ne dort pas toujours avec ses plans culs. Mais quand ils font de bons oreillers et qu'ils ne ronflent pas, ça fait une bonne bouillotte non ? Autant dire qu'il ne s'attendait pas à ce que son oreiller se réveille en criant au beau milieu de la nuit.

« By Grinderwald what the HELL do you think... »

Il commença, la bouche pâteuse, outré de s'être fait à moitié jarter déjà, mais surtout réveillé en plein rêve où il pelottait des seins. Ceux d'Isleen ? D'Irina ? Qui saura, pas lui en tout cas ! Il était donc moyennement d'humeur avant de voir l'air sur le visage d'Arthur. Oh. Bon, il restait de mauvais poil, mais ça, il pouvait d'avantage comprendre. Il récupéra sa baguette -ouch- et charma un verre, lançant Aguamenti pour qu'Arthur puisse de désaltérer. Après quoi il le força à se recoucher, ne voulant rien entendre comme excuse. Il était bien trop tôt. Ou tard, au choix. Il reprit place, bras et jambe autour de l'Auror et sa tête proche de la sienne si bien qu'ils partageaient un oreiller.

« Sleep now... »

Il dit, dans un essai de ton calme et apaisant. Il essayait de se retrouver son calme lui même, son coeur avait battu fort de la frayeur qu'il avait eu. Pour plus d'efficacité et parce qu'il voyait bien que l'autre était raide comme un piquet -et pas de la bonne façon- il finit par l'attirer contre lui, échangeant les rôles comme il le faisait rarement. L'avait-il fait une seule fois avec Arthur, de le prendre dans ses bras, recueillant sa tête dans son cou ? Le jeune homme soupira une fois de plus. Qu'est-ce qu'on ne lui faisait pas faire, hein. Il se surprit à faire quelques caresses dans les cheveux de l'autre homme, et se rendit compte que ça l'apaisait aussi.
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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptyDim 12 Jan - 22:02

And a Happy New Year !Arthur & LoïsLes rappels à l'ordre des voisins ? Autant dire qu'Arthur aurait bien fait comme s'ils n'existaient pas, mais son amant a plutôt l'air d'avis à en rajouter une couche. Ce n'est d'ailleurs pas pour lui déplaire, car le manque de retenue du jeune homme ne fait qu'attiser le feu qui lui dévore les reins. Et c'est donc avec une ardeur redoublée qu'il s'attèle à le combler.
Et lorsqu'ils cessent enfin les hostilités, il a du mal à lâcher son corps, le retenant possessivement contre le sien. C'est donc assez logique, finalement, qu'ils soient enlacés au moment de laisser Morphée les envelopper de ses bras. On notera tout de même que l'auror prend le temps d'attraper sa baguette pour faire un peu de ménage, lancer un charme apaisant pour le pauvre popotin qui a pris cher, et ramener les draps sur eux deux.
Il prend même la liberté d'embrasser un morceau de peau qui dépasse, une fois bien installé, et laisse le parfum du jeune homme envahir ses narines pour sombrer, peu à peu, dans un sommeil paisible.
En tout cas, dans un premier temps.
Au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans les différentes phases, il s'agite. Légèrement d'abord, un spasme dans la jambe, dans le bras, un grognement mécontent. Le bras qui enlace Loïs serre sa prise, et puis, au bout d'un moment, il semblerait que la seule précense dans son lit ne suffise plus à le tranquiliser.
Et c'est dans un cri qu'il se redresse, les yeux grands ouverts, le visage exangue. Les oreilles bourdonnants encore de souvenirs de hurlements de douleur ou du bruit sec des armes à feu, il n'entend ni les râleries du français, ni celles des voisins de chambrée, qui cette fois râlent en plus de taper contre le mur. Il contemple le vide devant lui, revoit sans doute des scènes qui le hantent depuis maintenant trop d'années et dont on ne peut qu'imaginer la teneur. Il lui faut quelques secondes pour enfin ciller, et secouer la tête pour chasser les visions d'horreur.
Il sent son coeur battre dans sa gorge, l'arrière-goût de la bile sur la langue. Il s'enfouit le visage dans les mains, tente de reprendre sa respiration. Bien. Ça va aller. Ce n'est qu'un cauchemar, un mauvais souvenir.
Il faut juste qu'il se vide la tête. Qu'il se change les idées. Il se redresse alors, avec dans l'idée de se lever et de profiter de la promenade en contre-bas pour aller se faire un petit jogging. Il laisserait ainsi son amant profiter d'une grasse matinée bien méritée, et… Hmmm ?
Un verre d'eau ?
Il prend le verre en fronçant les sourcils, guette l'air encore largement dans le coltar du jeune homme, puis boit une gorgée avant de…
Non mais Arthur, tu me fais honte là ! On ne se jette pas un verre d'eau au visage pour se rafraîchir, c'est quoi ça ?!
Thank you,” remercie-t-il quand même d'une voix rauque. “Enjoy your lie in, I'm goin-…1 Il allait écarter les draps quand on le fait se rallonger, fronce un peu plus les sourcils.
Non pas par mécontentement, mais par surprise. Ou tentative de compréhension, en tout cas. Il résiste un peu quand même, tente de faire comprendre qu'il ne se rendormira pas, argue qu'il reviendra après pour le petit déjeuner, rien n'y fait.
Il se retrouve quand même allongé, retenu par les bras du jeune homme. Il pourrait se dégager s'il le voulait vraiment, me direz-vous. Évidemment, mais il n'a pas non plus envie de le braquer. Il ronchonne alors, fidèle à lui-même, qu'il est flatté de son attention, mais que…
Hmmm, il sent bon ce con.
Bon, il peut bien faire comme la dernière fois, et accepter de rester là le temps que son amant se rendorme. Alors il profite un peu de la position, somme toute loin d'être désagrable, ainsi que des gestes tendres qu'on a à son encontre. C'est qu'il n'y a pas droit si souvent – il faut dire aussi qu'il est rarement dans d'assez bonnes dispositions pour les accepter. Il ferme les yeux, se cale confortablement, et ne bouge plus, se laissant porter par l'ambiance apaisante.
Ça fait du bien, mine de rien. Même si, progressivement, les gestes cessent, et qu'il sent la respiration de Loïs s'approfondir. Il ne bouge pas dans un premier temps, profite encore du parfum de ce dernier pendant un moment avant de s'extraire, précautionneusement, pour ne pas le réveiller.
Il n'a pas encore posé le pied hors du lit qu'il le voit déjà s'enrouler dans les couvertures. De toute évidence, la présence ou non de quelqu'un à ses côtés n'a pas d'influence sur la qualité de son sommeil.
Il l'envie, quelque part, de pouvoir dormir ainsi sereinement.
Il l'observe ainsi dormir quelques instants, sans trop savoir ce qu'il regarde d'ailleurs, avant de récupérer ses vêtements, ses chaussures, qu'il métamorphose en tenue de sport avant de s'en revêtir. Le tout en se mouvant parfaitement silencieusement, désireux de ne pas priver Loïs de son sommeil bienheureux.
Et c'est toujours sans un bruit qu'il s'éclipse de la chambre.

Les hôtes du Bed & Breakfast ont déjà commencé à se lever quand Arthur revient de sa course le long de la côte. Le cheveu et le corps poisseux de sueur, il salue d'un signe de tête les propriétaires quand il les croise, ignore le regard outré de leur voisine de chambre qu'il rencontre alors qu'elle ferme sa porte et que lui cherche la carte qui lui permettra d'ouvrir la sienne.
Il pourrait utiliser sa baguette, mais pas devant des moldus, règle de base.
C'est donc tout naturellement que celle que l'on nommera Lady Casse-Pieds s'empresse à faire savoir à l'auror qu'elle a rarement vu quelqu'un avec d'aussi mauvaises manières, qu'il est bien malpoli de faire autant de bruit au beau milieu de la nuit et d'ignorer les plaintes de ses voisins. Encouragée par le manque de répondant – Arthur, qui n'aspire qu'à prendre une douche et à avaler son poids en calories, ne l'écoute pas vraiment et se contente de grogner – elle hausse le ton, s'approche, cherche la confrontation et…
Se fait fermer la porte au nez alors qu'Arthur a réussi à entrer. Et alors, absolument outrée par ce accès de goujaterie, elle continue de râler contre la porte, pauvre folle. Pour le retour discret, on repassera, hein. Il voit déjà le corps qui remue dans le lit, sans doute en réaction à tout ça.
Bichette.
Morning” fait-il tout de même en s'approchant de la silhouette emmitoufflée. Il s'enhardit jusqu'à l'embrasser là où il peut – ça dépend beaucoup du point auquel il est enroulé dans la couette – et se détourne pour aller rincer l'odeur de sanglier qui lui colle à la peau.
Une bonne douche lui fera du bien.
Et permettra au chaton de prendre le temps de se remettre des cris de la mégère qui a fini par descendre déjeuner.
Ambiance festive en perspective.
_____________
1Merci. Profite de ta grasse matinée, je vais…
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MessageSujet: Re: And a Happy New Year !    And a Happy New Year !  - Page 2 EmptyMar 14 Jan - 0:29

Heureusement qu'il avait trouvé le sommeil à nouveau, parce que ça aurait été sacrément vexant de se rendre compte que tous ses efforts (oui, c'était beaucoup pour un Valentine) ne servaient a rien et n'étaient pas accueillis a leur juste valeur ! Non mais franchement. Tu sais le nombre de gens qui rêveraient d'être dans les bras de Loïs, là ? Beaucoup trop. Bon, même si là sa côte de popularité allait baisser avec les fiançailles publiques bien sûr. A aucun moment le geste absurde d'Arthur n'avait eu l'air de le perturber, n'empêche. Sans doute que ça faisait autant de bien a Lois de serrer un homme contre lui pour dormir que l'inverse, auquel cas il n'aurait pas insisté.  Son réflexe de s'étaler dans tout le lit qu'il avait généralement pour lui reprit le dessus quand Arthur se détacha. Et puis il roula avec les draps pour finir sa nuit un bout d'épaule et peut être de nuque qui dépassait. 

Il y avait plus désagréable, comme second réveil. Et grâce aux soins de son amant la veille, pas de douleur insurmontable a gérer non plus. Le soleil se levait péniblement et si on était loin d'un temps idéal (ils vont pas tout avoir non plus) il y avait pire, aussi, comme vue. C'était sans compter l'énorme vacarme qui sévissait dans le couloir. Franchement, on est le weekend, bande de Sangs de Bourbe sans éducation ! (Euh Loïs...) Il gromela en roulant encore plus dans les draps, mignon mais grognon. Le baiser sur sa chevelure n'était pas de trop pour l'amadouer. Et le café ? Il était où, le petit dej au lit pour avoir été un aussi exceptionnel amant la nuit dernière !

« Mmmm... They shouldn't be allowed anywhere. »

Parlait il des cons qui gueulent le matin en général ? Ou quelque chose de pire. Arthur ne saurait pas et c'était fait exprès. S'extirpant du lit, Loïs traîna le drap de qualité médiocre jusqu'à la salle de bain, où il pausa, observant le spectacle comme cette autre fois.

« Still liking what I see. »

Il complimenta. Oui, le matin, c'était bien de commencer comme ça. Frissonnant à cause de ses pieds nus sur le carrelage, il lâcha le drap pour rejoindre Arthur sous la douche et se savonner aussi. Autant dire qu'il gênait l'auror exprès pour que ce dernier s'occupe de lui et le savonne a sa place. Lorsqu'il obtient ce qu'il veut, seulement alors, il sourit en le regardant comme un animagus satisfait. Sans pour autant aller jouer trop coquinement, il profita du moment d'une façon qui lui plaisait.

Plus tard, rhabillé et sûr qu'il ne laissait rien de lui dans cet endroit où il ne remettrait jamais les pieds -il ne faut jamais dire jamais Loïs- le jeune homme soupira, et se rapprocha pour un dernier baiser. Sentimental ? Il profitait simplement de sa liberté jusqu'au bout oui. Il caressa une dernière fois les épaules épaisses et la barbe de son amant avant d'Apparaître chez lui. Non sans avoir dit au revoir bien-sûr.

« See you soon, sweetheart. »





-to be continued
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