Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort.
Auteur
Message
Invité
Sujet: Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort. Mar 27 Aoû - 5:50
Chronologie de Alexander Callum O'Reiley
Premier signe de Magie - 8 ans. Alexander lève un vase et le fait exploser. Qui doit ramasser après? Sa mère, pour changer. C'est un enfant turbulent, et un peu difficile, mais il est si aidant et aimant.
Lettre - 11 ans. Alexander reçoit sa lettre de Poudlard. Il est si heureux qu'il ne tient plus en place. Sa mère a presque hâte qu'il soit à Poudlard pour prendre du repos. Son père est fier de son fils.
Gryffondor - 12 ans. Comme son père avant lui, il devient un Gryffondor. Pour Alex, il y a un seul but: faire le plus d'idiotie possible, tout en apprenant la magie.
Rencontre Ash, Kamille, Vincent, Alistair. - 12 ans. Alexander est très heureux: Il a rencontré les meilleurs personnes au monde. Il se tient toujours avec eux. Pourquoi Ash est autant grognon? Pourquoi Alistair ne l'aime pas? Pff... C'est si complexe, parfois. Alex, de tout façon, il aime tout le monde. Puis Ash il est drôle. Non?
Couple avec Kamille - 15 ans. Alexander est fou amoureux. Fou heureux, aussi. Il l'aime tellement. Kamille, elle est belle, elle rit tout le temps, elle est si sincère. Elle brille par sa force, et elle le suit partout dans ses idioties. Elle le rend plus courageux. Avec elle, il a l'impression d'être un brave chevalier. Il l'aime.
Rêve - 16 ans. Alex apprend par son père que, avec chance, il deviendra Auror comme lui. Ces notes sont si bonnes. Il brille par ses notes élevés à l'école. Alex, il est autant aimé que détesté par les profs. Il veux tant devenir Auror. c'est tout ce qu'il veux.
Départ Ash - 17 ans. Pourquoi? Ash pourquoi? Vide. Alex se sent vide. Rien ne le retient, rien ne lui donne le goût de revenir vraiment à Poudlard. Pourquoi il est partit?
Mort du Père - 17 ans. Ash. Maintenant lui. Pourquoi tout le monde s'en va tout le temps? Le corps n'a pas été retrouvé. Pourquoi? Pourquoi il n'y a aucun corps à enterré, à pleurer? Pourquoi ça fait aussi mal...?
Couple Vincent - 17 ans. Alex s'accroche. Alex aime. Alex ne veux plus jamais le quitter. Ces bras, c'est devenu sa vie, son souffle sa seule façon de respirer. Ne le lâche pas, où il risque de couler. Le vide est enfin comblé, par la simple présence de Vincent. Vincent. Un seul prénom, mais un si grand sentiment de douceur.
Appartement - 18 ans. Toute sa vie. Vincent est toute sa vie. S'il pouvait resté dans ces bras tout le temps, il le ferait. Cet appartement, ces beaux draps, cette vie paisible... Elle est magnifique. Mais pourquoi il sent toujours cet élan de tristesse le prendre? Il ne voit lentement plus personne. Lyna? Ash? Drak? Où est tout le monde?
Douleur - 20 ans. Pourquoi les coups sont toujours de plus en plus fort? Pourquoi il continue? Pourquoi Alex ne peut pas travailler? Pourquoi? Chaque coup est plus fort que le précédent, chaque coup lui donne le goût de vomir. Pourtant, il promet après d'arrêté. Que ça serra la dernière fois. Alex s'y accroche. Il l'aime tellement.
Espoir - 20 ans. Non. Il va changer. Il doit changer. Vincent ne peut pas être un homme violent. Il va changer. Il aime Alex. Il va changer pour lui.
Viol - 21 ans. Il avait dit non. Il avait crié non. Puis, Vincent l'avait étouffé avec un oreiller jusqu'à ce qu'il cesse de geindre. La douleur avait été insupportable. Peut-être qu'au final, la mort ne devait pas être si horrible...?
Froid - 21 ans. Il fait toujours froid. Peu importe ce qu'Alex fait, il fait toujours si froid. Cet appartement est devenu froid. Plus aucun contact. Lyna, Ash, Alistair... Où sont-ils? Que font-ils? Est-ce qu'ils sont heureux, eux, au moins? Alex espères. Il espère qu'ils ont une famille, une belle vie, quelqu'un a protégé. Parfois, Alex se dit que si Vincent pouvait juste en finir, il arrêterait d'y penser...
Fuite - 22 ans. Sortir. Loin. Fuir. Courir. Pleurer. Tout, sauf proche de Vincent. Est-ce que tu peux vraiment oublier ça? Alex ce le demande souvent.
Morsure de loup-garou - 22 ans. La douleur est immense. Est-ce que c'est ça, la mort? Est-ce qu'il pourra enfin se reposer en paix? Est-ce que c'est enfin finit? Pourtant, c'est si chaud. Une femme? Pourquoi elle le soigne? Pourquoi elle ressemble à un ange?
Hôpital - 23 ans. C'est long, un an entre ces murs. C'est long. Freyja vient souvent le voir. Elle est superbe. Elle est gentille. Kamille est venu aussi. Sa mère. Pourtant, il se sent encore malade.
Vivre? - 25 ans. Ressortir de l'hôpital. Revivre. Respirer. Maison. C'est difficile, mais enfin, Alex a l'impression de reprendre goût à la vie, au bonheur. Est-ce que c'est ça, l'effet de passer si proche de la mort? Pourtant, le loup si difficile à comprendre.
Début étude Professeur - 26 ans. Étudier à l'Université, c'est génial. Il se sent vivant, à nouveau. Réellement vivant. Il voit des gens, il créé des liens, il parle, il rit. Il se fait même un tatouage, à une soirée un peu trop arrosée.
Welcome back Ash - 30 ans. Ash. Ce regard, ce léger sourire, cet allure fier. Il a tant changé et pourtant, c'est toujours le même. Son frère, son meilleur ami, son idiot. Il l'a retrouvé. Il est si heureux, enfin.
Professeur - 30 ans. Ça fait du bien. Être professeur et enseigner à ses jeunes. Ça fait vraiment du bien. Alex se sent à nouveau vivant. Pleinement vivant, et pleinement heureux. Parce que tout ces élèves, ce sont des êtres à aimer, à chérir, à protéger. Enfin.
Rencontre Aedan - 30 ans. Son coeur s'accélère, dès que son regard croise le sien. Il est si attentionné, si tendre, si intelligent Chaque discussion avec lui donne envie à Alex de croire en l'amour à nouveau.
Couple Aedan - 32 ans. C'est tellement... étrange? Alex se sent si confiant, si heureux dans cette relation. Et pourtant, elle n'est aucunement comme celle avec Vincent. Il se sent libre, libre de pouvoir faire tout ce qu'il veux, mais avec Aedan à ses côtés. C'est si... beau. Iréel. Est-ce que c'est vraiment réel? Est-ce qu'ils sont réellement... ensemble? Alex se sent si chanceux. Chanceux d'avoir Aedan.
Contrôle du Loup - 32 ans. Alex le sent. De plus en plus, chaque jour, avec la présence d'Aedan, son loup s'apaise. Il se sent plus docile, plus calme. Et il a moins envie de toujours aller courir, aller dans un combat, faire l'idiot. Il se calme.
Formation Auror - 33 ans. Arthur a accepté. Eurydice et Lyna vont être là aussi. Est-ce que enfin le rêve d'Alex va se réaliser?
Poudlard Détruit - 33 ans. En ruine. Plus rien. Seulement des ruines. Il y a des morts partout. Et Alex a tuer. Il a tué. Il s sent comme un monstre. Un monstre incapable.
Mariage - 33 ans. Ce mariage est magnifique. Si tendre, si beau, si parfait. La demande en mariage, la décoration, Irina qui aide, Ash qui revient juste à temps... Tout vas pour le mieux... Ou presque?
Sujet: Re: Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort. Mar 27 Aoû - 5:52
Le titre du parchemin, de la missive se met ici
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Sujet: Re: Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort. Mar 27 Aoû - 5:55
Le titre du parchemin, de la missive se met ici
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Sujet: Re: Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort. Mar 27 Aoû - 5:55
Le titre du parchemin, de la missive se met ici
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.
Accueil 
Sujet: Journal | Un homme apprend à lever les armes, le jour où il voit la mort. 