Rencontre avec la famille et le pays (-18)

L'arrivée

Je pris la main d’Aven dans la mienne et posais ma tête sur son épaule. C’était bientôt l’heure de partir pour chez moi. Nous avions passé presque quatre soirs chez moi, sur le canapé à regarder les films indispensables pour une bonne visite en Nouvelle-Zélande. Le Seigneur des Anneaux, Le Hobbit, La légende de Paï. C’était pas trop mal. J’avais adoré passer ces soirées tout contre Aven avec Silje derrière qui regardait avec nous. Enfin, j’étais presque sûre qu’elle regardait… Presque. Enfin, j’avais passé de bons moment dans ses bras à lui donner à manger quelques popcorn ou des sucreries de chez moi. Et là, nous rentrerions chez moi. Je soupirais de plaisir et prit le râteau qui nous ramènerait chez nous. Enfin, moi.

Je fermais les yeux pour le transport et lorsque je les rouvris et le froid de chez moi me gifla les joues. En Nouvelle-Zélande, nous étions près du pôle sud, donc juillet août c’était l’hiver. Et les montagnes étaient déjà plus que largement couvertes de neige. J’avais soigneusement prévenu Aven du brusque changement de température entre un Londres étouffant… Et mon petit village près de la mer où il neigeait malgré tout. Mon père était là et il s’approcha lentement avant de sourire à Aven. Mais ce fut moi qu’il souleva dans les airs en m’appelant son petit dragon. À part ma mère, j’étais la plus petite de ma famille et la plus gracile. Mes deux frères étaient là. Dean avec sa chérie et Belly… J’en savais rien. Mon père me déposa après un bisou piquant sur ma joue et sourit. Il était aussi grand que Belly, avec une peau mate, les cheveux longs bruns et des tatouages sur les bras. Certains disaient qu’il était le sosie de Jason Momoa, sans la barbe. Enfin, sans la barbe longue, mon père portait toujours une barbe de trois jours. Il attrapa nos valises et nous guida en nous donnant les dernières nouvelles du coin et surtout des dragons. Je fronçais légèrement les sourcils.

« Où est maman ? En mer avec les autres ?
- Oui, elle sera là pour le dîner. Dean est avec Leny et Belly sort plus de sa chambre, mais qu’est-ce qu’il envoie en hiboux ! Aven est installé dans ta chambre. »

Je souris et gardais la main d’Aven dans la mienne, au moins nous pourrons nous reposer tous les deux. Mon père nous monta les valises et nous installa avant de ressortir. Ma mère devait arriver d’ici quelques heures et lui devait retourner s’occuper des dragons. Et Léni… étant avec Dean j’allais les laisser. Elle serait là au dîner je le savais. Je restais un poil gênée devant ma chambre toute blanche, avec des tas de livres sur les dragons, sur les animaux magiques avec des photos de dragons et d’autres animaux ou de moi en famille ou en ballade dans la montagne. Le lit était assez grand pour deux ou trois personnes et il y avait des poufs et un fauteuil dans la chambre pour lire tranquillement. Je souris à Aven et me laissais tomber sur le lit avant d’enfin ôter mes affaires.

« Je… Euh… Bienvenu chez moi ! Ça te plaît ? »

Je savais que mon père ne lui avait pas fait le teste de « Je t’éclate la main ose contredire gamin ». Il était tout gentil mon papa.
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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Après plusieurs soirées à regarder des films chez Opaleye, Aven était enfin prêt pour la Nouvelle Zélande. Il était passionné de ses films, surtout le Seigneur des Anneaux, il trouvait l'univers incroyable et il avait hâte de voir les paysages en vrai, et les pop-corn étaient si sucrés, qu'il en avait eut mal au ventre. Le Poufsouffle avait passer la soirée et la matinée à préparer ses affaires, il ne fallait absolument rien oublier ! Une valise à roulette remplit de vêtement, Opaleye l'avait prévenu du brusque changement de température, alors il avait pris pleins de pull et de manteaux. Il avait aussi une deuxième valise, elle par contre, elle ne contenait que du matériel de dessin et de recherche.

Enfin prêt. faisant rouler la valise, avec la deuxième posé sur la première, tenant la main de sa chérie. Elle lui avait dit qu'ils partiraient en portoloin, il n'en avait jamais pris avant et il espérait ne pas vomir durant le voyage. Cela ferait très classe devant ses parents tiens. Ils prirent alors le râteau dans leur mains, et fut transportés. Une fois arriver à destination, Aven avait la tête qui tournait et le vent froid lui glaçait le visage, pourtant il avait bien pensé à mettre un bonnet avant de partir. Le jeune homme tangua un peu, difficile de se mettre sur pied après un voyage pareille, il leva le nez et il fut déjà époustouflé par le décors.

Il n'eut pas vraiment le temps de tout analyser, qu'un homme s'approcha d'eux, surement le père de sa belle. Il avait l'air un peu dur, ce qui n'arrangeait pas le stress du garçon, mais il se détendit un peu quand il lui souris et qu'il commença à soulever sa fille dans les airs, c'était marrant de voir cela, tout l'amour d'un père pour son enfant, il avait hâte de pouvoir voir le sien. Sur la place, il y avait aussi les frères d'Opaleye. N'empêche, comment pourrait-on deviné que c'était son père ? Il était bronzé avec les cheveux bruns, ils étaient tellement opposés. Son père commença à attraper les valises.

- Non attendez je vais vous aider, disait-il en attrapant sa valise de matériel, il n'avait pas eut le temps de prendre l'autre.

Aven écouta la conversation, sans vouloir les interrompre, Opaleye demandait des nouvelles de sa mère et de la famille, et comme quoi Belly ne sortait plus de sa chambre. Était-ce à cause de ce qu'elle lui avait dit quelques temps plus tôt ? Toujours la main dans celle de sa copine, il les suivait sagement. Le jeune étudiant allait donc dormir dans la chambre d'Opal, il espérait que son père ne soit pas gêné pour cela.

Une fois arrivé devant la demeure, son père monta les valises malgré qu'Aven lui proposait, une nouvelle fois, un coup de main. Ils arrivèrent enfin dans la chambre, son père partit s'occuper des dragons, il avait si hâte de les voir ! Mais pour le moment, il était absorbé par les livres et les photographies. Opaleye s'assit sur le lit, surement en train de le regarder. Aven tourna le regard vers elle.

- Bien sûr que ça me plait, c'est incroyable ici ! Cria-t-il montrant un peu trop son côté trop enthousiaste. T'a chambre, on dirait la mienne en mieux rangé !

Faisant, bien sûr, allusion aux nombreux livres sur les créatures magiques et les dessins. Il s'installa à son tour sur le lit, aux côtés d'Opaleye, l'embrassa et la serra fort dans ses bras.

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L'arrivée

J’observais avec attention Aven qui semblait avoir ouvert la porte d’un nouvel univers. C’était ça mon pays. Un univers bien à lui avec un assemblement de paysages différents, avec une identité nationale et des racines fortes. J’avais hâte de l’entraîner dans les nuages pour les montrer les océan de nuages et de neiges, peut-être qu’on pourrait voir un match des All Black aussi. Je n’en savais rien. Mais il y avait tellement de belles choses à voir ici. On pourrait aussi voir des amis Maori. Pas sûre qu’il accepte un tatouage traditionnel, même moi je n’en avais pas encore un. Je voulais qu’il soit unique, le dragon était mon dragon et totem, ce tatouage ce n’était pas quelque chose qu’on faisait à la légère. Je ris à sa remarque et hochais la tête, oui c’était incroyable et je ris encore plus à sa remarque sur la chambre. C’était vrai. Je me laissais aller aussitôt dans ses bras et lui rendis tendrement son baiser. Je posais ma tête contre son torse.

« Alors je suis contente. C’était qu’on était fait pour être ensemble. Tu sais quel est le plus beau soucis de la Nouvelle-Zélande, c’est qu’on y va… et qu’on a plus envie d’en partir, j’ai tellement d’endroits à te montrer, les dragons à te faire voir, plein d’endroits à créatures. Et c’est tellement pratique d’être sorciers ! On pourra transplanner à volonté. Et on ferra des photos hein ? »

Je l’embrassais encore en l’enlaçant à mon tour avant de le chatouiller un peu et de lui embrasser le nez. Je me levais et tirais un gros album photo, des photo moldus, avant de venir le poser sur les genoux d’Aven et montrer quelques photos de montagnes, je caressais doucement sa main avec un sourire.

« Ça c’est là où est une des femelles Opalœil. Y a une vue incroyable, faudra juste se lever tôt pour y aller. Mais je crois que t’es motivé pas vrai ? Ça va te plaire. J’en suis sûre. »

Je m’arrêtais et tendis l’oreille avant d’ouvrir la porte de ma chambre je soupirais en constatant que Belly avait mit à fond sa musique de ballet et qu’il devait s’entraîner comme toujours. Je préférais retourner dans les bras d’Aven en fermant à clé la porte de la chambre pour être tranquille.
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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

La tête d'Opaleye sur son torse, il s'imaginait déjà tout les deux dans la neige, à suivre les traces de créatures magiques, visiter des paysages inconnus, du moins pour lui pas pour elle. Il l'a pousserait bien dans la neige un jour tiens ! Pour le moment, il devait faire "face" à sa famille, son père était costaud, mais il avait l'air sympas. Il avait hâte de voir sa mère et de lui parler un peu. Découvrir leur hobbys et ce qu'ils font. C'était toujours important de ne pas paraître idiot face à la famille de sa moitié, sinon ils s’inquiéteraient. A bah c'était le cas de le dire, Aven était à peine arrivé, qu'il ne voulait pas repartir. Est-ce que ça va être comme dans tout les pays qu'il visitera ? Surement, son père lui disait souvent que le pire dans un voyage, c'était de quitter le monde merveilleux que tu venais de découvrir. C'était un peu ce que ressentait le jeune étudiant, surtout qu'il faisait le voyage avec sa copine, que demander de mieux ?

- Bien entendu qu'on feras des photos ! Je ne veux rien manquer et garder pleins de souvenirs !

Elle l'embrassait une nouvelle fois et elle tenta même des chatouilles, non mais ! C'était son truc normalement les chatouilles. Il rigola sans pouvoir s'arrêter jusqu'à ce qu'elle cesse pour lui déposer un baiser sur son nez en trompette. Alors, elle se leva, et revint avec un énorme livre. Un livre remplit de photo, Aven laisser échapper un son de satisfaction en voyant toutes ces belles photographies.

- Je pourrais même rester éveiller pendant une semaine tellement j'ai hâte de tout voir, ricana-t-il avant que la belle se lève pour ouvrir la porte.

De la musique et pas n'importe qu'elle musique. On dirait de la musique classique ? Opaleye râlait et referma la porte à clé. Bon, il ne savait pas trop ce qu'il se passait, mais ils pourront regarder tranquillement l'album. La jeune femme revint dans ses bras et Aven tournait les pages doucement, observant et analysant chaque photo et chaque histoire qu'elles renfermaient.

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L'arrivée

Pleins de souvenirs pour décorer les murs de nos chambres et profiter ensemble. Je gloussais à sa remarque et lui caressais la joue.

« J’ai beau avoir vécu vingt ans ici, je t’assure que je découvre encore tous les jours la beauté de mon chez moi. »

Après avoir fermé la porte à clé je reviens contre lui pour lui montrer les photos et lui expliquer ce qu’il y avait dessus. Il fallait bien expliquer non ? C’était totalement une excuse pour être blottie dans ses bras et savourer sa présence. De temps en temps je venais frotter mon nez contre sa peau avec un petit sourire amusé. Je finis par entendre un bruit en bas et d’un coup de baguette j’ouvris la porte en invitant Aven à venir. Je descendis souplement les marches avant de sourire.

« Apay ! »

L’homme se retourna et sourit. C’était un Maori des plus classiques, sauf qu’il était sorcier. Il m’embrassa la joue et serra la main d’Aven et m’ébouriffa gentiment les cheveux.

« Ton père m’a dit que tu étais là avec ton petit copain. Il y a eut une éclosion il y a quelques minutes à la pouponnière. Je crois que tu voudras aller voir. »

Je souris largement et regardais Aven avec un clin d’œil l’invitant vite à aller chercher de quoi dessiner. Je nattais rapidement mes cheveux avant de les rouler en chignon et d’attraper ma pochette où il y avait toutes mes affaires pour les dragons. Je repris la main d’Aven et d’Apay qui nous transplanna près de la pouponnière. Jamais directement. C’était la règle. J’inspirais profondément et trépigna légèrement d’impatience avant d’enfiler les gants et les protections et d’embrasser la joue d’Aven avant de me glisser dans l’endroit après mettre assurée qu’Aven était près. Je perdis mon sourire et affichais un air concentré avant de m’approcher des bébés dragons. J’en pris délicatement un dans mes mains et il s’enroula autour de mon bras. Je l’observais avec attention, les autres professionnels travaillaient en vérifiant que je ne faisais aucune erreur. Il était beau, c’était un petit mâle. Il poussa un petit couinement pitoyable et je souris en le caressant tout doucement avant de lui donner à manger. Je réfléchis en observant ses écailles déjà très blanches. Pourquoi pas ?

« Il va s’appeler Tiki ! »

Ou le nom du collier porte-bonheur que beaucoup de Maori portaient. Il poussa un petit couinement, il l’avait adopté. C’était une habitude que j’avais de donner des noms à mes dragons. Et j’arrivais à les reconnaître ! Je le montrais à Aven.

« Il est beau hein ? »
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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Peut être qu'il auront de quoi remplir un autre album photo d'ici la fin de leur voyage, cela ferais grandement plaisir à Aven et il aurait de quoi montrer à son père. Il voulait prendre des photos de tout, paysages, animaux fantastique, animaux moldus et bien sûr des photos de lui avec Opaleye. Que des bons souvenirs. Même elle assure au jeune homme qu'elle découvre encore des nouvelles chose en venant ici, comme quoi, on avait beau connaître un endroit, on ne le visitait pas toujours à cent pour cent. Blottis l'un contre l'autre, feuilletant le beau carnet avec quelques explications d'Opaleye, il ne pouvait pas penser plus beau comme début de vacances. Après tout, il fallait bien se poser un peu le premier jour, histoire d'être en forme pour partir le lendemain. Puis un bruit en bas, il se releva lentement, le regard interrogateur. Il suivait, alors, sa bien aimée à l'étage d'en dessous.

Un homme était là, il ne l'avait encore jamais vu, il se demandait même si c'était normal qu'un homme entrait comme ça chez les Nepia. Aven s'approchait, tendait la main avant de voir celle de l'homme se faufiler dans les cheveux d'Opaleye. Bon il avait l'air pas si méchant que ça, un ami de la famille surement. Par Merlin, une éclosion ! Il devina tout de suite le clin d’œil de sa copine et se mit à courir dans les escalier, manquant de loupé une marche, pour chercher son matériel. Puis redescendit une fois son sac sur les épaules. Il prit la main de la Serdaigle et les suivirent sans broncher. Une fois arriver, Aven ne pu s'empêcher de lâcher un bruit de satisfaction. Elle embrassait sa joue avant de mettre des gants et rejoindre les petits qui venaient de naître. Le Poufsouffle s'installa en essayant de faire le moins de bruit possible, c'était un inconnu pour les dragons, il ne voulait pas créer de problème, alors il sorti un parchemin et une plume et commença à dessiner Opaleye avec un des dragons enroulé sur son bras.

- Tiki, je trouve que ça lui va bien ! Disait-il avant de relevé la tête, observant minutieusement le dragon pour bien le redessiner. Oui il est magnifique, il va parfaitement bien avec tes cheveux !

Il ricana, essayant de se concentré dans son dessin, mais à vrai dire, voir Opaleye si concentrée et si.. Mère ? Ça lui faisait quelque chose, comme une douce brise dans son cœur. Il aimait la voir comme cela, il l'aimait tellement.

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L'arrivée

Visiblement Aven était heureux d’être là ! Encore heureux qu’il était heureux d’être là. Après tout c’était les dragons qu’on venait voir. Tiki s’en roulait autour de mon bras en couinant pitoyablement. Le pauvre ! Je m’en occupais soigneusement et souris à la remarque d’Aven.

« C’est pas pour rien que j’ai le même nom qu’eux. »

C’était pour mon côté Albinos que mon père m’avait appelé Opalœil. Ce n’était vraiment pas pour rien. Je m’occupais soigneusement du petit dragon avant de le remettre à sa place et d’observer l’endroit avec un sourire. C’était aussi chez moi aussi. Je pris des nouvelles des autres dragons. Visiblement l’Étrange allait bien, toujours légèrement diminué, mais en forme. Les autres dragons allaient bien. Tout allait bien. Pas de nouveau dragonniers en ce moment. C’était bien ça aussi. Les derniers avaient eu une marque au fer rouge posé sur le torse histoire de leur rappeler le feu des dragons. Je dû présenter dix fois Aven, et avec la prononciation et l’accent, on avait presque l’impression qu’ils l’appelaient « Heaven ». C’était adorable. Je lui montrais également, à Aven, comment donner à manger aux dragons et lui montrais la bonne manière pour prendre le bébé dragon dans ses bras. Tiki couina longuement puisqu’il devait être examiné et décrit pour ensuite être soigné. Un vrai bébé qui chouinait parce qu’il voulait sa maman. Mais bon, puisque nous allions nous en occuper pendant un moment. Je tendis la main à Aven pour sortir de la pouponnière après presque deux heures passer dedans. Je voulais lui offrir quelque chose.

Un petit transplanage plus tard, on retourna chez moi et gardant sa main dans la mienne avant de le tirer dans le village pour aller dans l’une des minuscules boutiques du village en refusant de lui dire où on allait. Je le laissais devant la boutique avant de ressortir quelques minutes après avec un collier Tiki, les colliers porte-bonheurs maori, pour lui. Je lui tendis le petit paquet en glissant à nouveau ma main dans la sienne. Il faisait froid et en passant à la maison j’avais pris l’appareil photo.

« On va sur la plage ? »

Ça serait très agréable de marcher dans le sable et regarder la mer non ?
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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Entre deux coups de crayons et des couinement des dragons, Aven relevait la tête pour voir si le bébé ou même un autre dragon ne s'en prenait pas à Opaleye. Cela avait beau être mignon et une habituée, le jeune garçon avait peur pour elle, c'était des dragons tout de même et elle est si fragile.. En attendant il était vrai que cela devait être pour cela qu'elle s'appelait comme eux, il aurait pu le deviné tout seul. En tout cas, ils aillaient si bien ensemble tout les deux. Aven relève son nez en trompette et regarde passionnément sa belle avant qu'elle ne remette le petit Tiki à sa place. Pendant qu'elle se promenait parmi les dragons, le Poufsouffle s'approchait doucement, sans geste brusque, Tiki. Et comme il l'attendait, le petit reptile blanc grogna sur lui, alors le jeune étudiant susauta, manquant encore une fois de finir les fesses par terre, ce n'était décidément pas le moment pour les approcher de si près, surtout par un inconnu maladroit comme lui.

Quand elle revint vers lui, elle le présenta à tout le monde, il avait du mal à prononcer son nom, cela ne le dérangeait pas, il trouvait ça particulièrement drôle, surtout leur accent. Alléluia, cette fois Opaleye allait lui montrer comment faire, il l'écoutait et essayait de faire comme elle disait, comment leur donner à manger et comment tenir les petits, il trouvait cela incroyable et très instructif. Opaleye ferait une excellente professeur !

- Le temps passe si vite ici ! Lâchait-il en suivant sa bien aimée qui le tirait par la main et en essayant de ne pas faire tomber ses croquis inachevés.

Elle transplanait, il ne s'y attendait pas trop et une fois arriver le tas de feuille vola, heureusement pour lui, c'était chez elle. Il n'eut à peine le temps de ranger un peu plus convenablement qu'elle le tira vers le village, puis dans une boutique, qu'allait-elle faire ? Elle y rentrait et laissait Aven dehors. Tournant la tête de droite à gauche et paniquant à chaque fois que quelqu'un passait trop près de lui. Elle revint avec une cadeau, il prit alors le petit paquet dans ses mains.

- Mais.. Il ne fallait pas !

Aven décida de l'ouvrir quand ils seront tranquillement dans la chambre, quoi que c'était, il ne voulait surtout pas l'abîmé ou le casser en l'ouvrant dehors dans la rue. Il rangeait la boîte dans sa poche et il suivait la Serdaigle pour aller marcher sur la plage. Il avait déjà vu la plage étant petite, mais quand il faisait chaud, là, c'était une autre histoire, mais ça lui plaisait. Alors main dans la main, il marchèrent jusqu'à la fameuse plage, il regardait de partout, il se dirigeât même vers l'eau pour en balancer un peu sur Opaleye, mais il le regretta assez vite, il avait les doigts congelés. Le jeune Poufsouffle s'approcha alors d'elle pour lui voler un baiser.... et pour passer ses doigts froids sous son t-shirt, le long de son dos. Ils rigolèrent et se taquinèrent un bon moment.

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L'arrivée

« Oui ! Mais j’avais envie ! »

De lui faire plaisir, qu’il ramène avec lui un petit morceau de Nouvelle-Zélande. Un petit porte-bonheur, même s’il fallait aussi y croire, moi j’étais heureuse qu’il soit protégé aussi par les esprits de mes ancêtres et ceux qui protégeaient ma terre. Je le guidais sur la plage avec un immense sourire aux lèvres, incapable de l’ôter de mon visage. Je me protégeais en éclatant de rire lorsqu’il me lança de l’eau dessus. Glacée. Mais une ou deux fois j’avais plongé et nagé dans l’eau l’hiver. Bon, j’en étais ressortie bleue, mais je l’avais fait. Me semblait même que c’était pour un défi avec mes frères. On était pas toujours les plus intelligents, fallait le reconnaître. Je lui rendis son baiser avant de crier de surprise quand il glissa ses doigts sous mon t-shirt.

« Aven ! »

J’éclatais de rire et le poursuivis sur le sable avant de l’attraper pour l’embrasser. Je finis par prendre l’appareil photo et je pris une jolie photo de nous que je glissais à l’abri en attendant qu’elle finisse de se développer. Je restais tout contre lui et le chatouillais un peu avant de l’embrasser longuement. C’était tellement agréable comme moment. Je pouvais passer des heures comme ça. Je me retournais en entendant des bruits de pas. Ah ! C’était un des gamins du village qui me fixa, vira tout blanc.

« FANTÔME ! »

Et il repartit dans l’autre sens. Ah… OK ! C’était… J’éclatais de rire et embrassais le nez d’Aven avec un sourire. Je secouais la tête en riant

« Je t’avais prévenu qu’on me prenait pour un fantôme. Mais c’est pas très grave ! »

Je l’embrassais encore avant le regarder le ciel puis l’eau. On osait ? Avec un petit sort on pourrait vite se réchauffer d’un sort ! Moui, non j’avais pas envie de le rendre malade pour rien. Je préférais marcher tranquillement avec lui sur la plage, c’était tellement agréable comme sensation. On profitait, je fermais les yeux pour savourer le moment et la présence d’Aven avec moi. Il commençait à faire froid si bien qu’il fallait rentrer. Je préférais rentrer tranquillement à pied à la maison. Dean était là entrain de lire sur le canapé, il salua vaguement Aven, Belly était toujours dans sa chambre. J’ouvris la porte de la chambre, il était encore tôt, au moins deux heures avant de manger, ou que ma mère ne revienne.

« Tu veux aller prendre ta douche avant, après ou… avec moi ? »

Je soufflais la dernière partie de ma phrase. Je n’avais pas envie de le quitter si tôt.
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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Comment c'était possible d'avoir de l'eau si froide ? Aven espérait qu'ils avait au moins une période de l'année où l'eau était bonne pour se baigner. Mais après tout, peut être s'étaient-ils déjà baigner dans l'eau froide ? Quelle idée folle ! Enfin le connaissant il ne dirait pas non pour essayer, mais poule mouillée comme il était, il ne resterait même pas cinq minutes. Alors il se contentait d'embêter Opal et il adorait cela. Ils se poursuivirent et s'embrassèrent avant qu'un gamin ne les regarde pour crier au fantôme en voyant sa copine avant de repartir dans l'autre sens. Oui elle l'avait prévenu, mais il ne s'attendait pas à quelque chose comme cela.

- Oh mais c'est pas grave, je suis heureux d'être en couple avec un fantôme, ria-t-il, le pauvre, heureusement qu'il ne croise pas les fantômes de Poudlard ! Le Baron sanglant le hanterait.

Ils se baladèrent encore un peu avant de reprendre le chemin de sa maison. Un bras sur les épaules de la Serdaigle, admirant le paysage, s'imprégnant de l'air frais et salé de la mer. Quand ils arrivèrent à la maison, Ave ramassait ses feuilles qu'il avait laisser en plan et les montait dans la chambre. En arrivant, il déposa les croquis sur le lit, il se demandait bien où il pouvait les ranger en attendant de les finir.

- Quand j'aurais fini celui-là, je te le donnerais, disait-il en montrant le croquis d'Opal et de Tiki. Avant d'aller à la douche, tout les deux ou non, il rougis, je veux d'abord ouvrir ton cadeau !

Non il ne l'avait pas oublier ! Alors il poussa doucement ses dessins pour faire de la place pour s'asseoir sur le lit. Il s'installait et laissa Opal faire de même. Prenant le paquet dans ses mains, il le tourna pour faire un peu plus de suspens, mais il ne tenait pas en place alors il commença à l'ouvrir. Quand il vit le collier, des étoiles brillaient dans ses yeux, il aimait beaucoup se genre d'objet qui faisait la croyance de tout un pays, il avait hâte de le montré à son père !

- Il est magnifique ! Que signifie-t-il ?

Il avait vraiment hâte d'en savoir un peu plus sur ce collier ! D'ailleurs Aven n'avait pas souvenir que son père soit venu en Nouvelle-Zélande, c'était le moment parfait pour l'épater !

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Je savourais de tout mon cœur ces moments avec Aven. Je fronçais très légèrement les sourcils quand il évoqua le Baron Sanglant. Comment dire… Je n’étais pas allée à Poudlard ? Mais je le croyais sur parole. Je serrais doucement sa main avant de l’embrasser encore. J’aimais tellement mon pays… J’observais l’endroit que je connaissais par cœur depuis le temps que je le parcourais. Mais je redécouvrais cet endroit avec Aven. Magique. J’aimais ça, marcher avec lui, son bras autour de mes épaules, j’adorais ça, vraiment. Le sentir tout contre moi, tout ça… C’était extraordinaire comme moment. Mais il fallait bientôt rentrer. Si bien qu’on reprit la route de mon chez moi.

Je m’assis sur mon lit en regardant ses dessins. Je souris largement quand il me montra le dessin de moi et Tiki. J’étais touchée qu’il veuille me le donner. J’aimais son côté artistique. Je rougis aussi quand il évoqua la douche à deux. Le petit tiki ! Je me nichais contre lui avant de sourire en le voyant réagir ainsi. Je plongeais ma main dans mon t-shirt pour en sortir de mien. Je le portais presque en permanence sur moi. Même si mon Tiki était féminin. Je souris et lui pris des mains pour lui attacher autour du cou.

« C’est un Tiki ! C’est les ancêtres mi-humain mi-dieu. C’est à la fois un porte-bonheur, et… il t’apporte le mana, c’est la force, des ancêtres pour l’ajouter au tien. C’est très important chez les Maoris. Et chez moi aussi. Généralement on transmet le Tiki de génération en génération, Mais comme il faut un début à tout… Moi j’ai le mien depuis que je suis toute petite, mes frères, mon père et ma mère pareil. Tout le monde en a ici. Il faut le porter en permanence, ou presque. Ça repousse le malheur. »

La fois où je ne l’avais pas porté… cela avait été à la Saint Valentin, et cela avait été la catastrophe. Avec mon Tiki je n’aurais rien eu. J’en étais sûre. Maintenant, même à l’entraînement ou quoi, je le portais, caché. C’était bien mieux comme ça. Puis j’aimais ça, le contact de la pierre contre ma peau. Et à part pour dormir ou pour se laver, je l’avais en permanence.

« On l’enlève pour se laver et pour dormir. C’est les seuls moments où tu l’enlèves. »

Éviter que le cordon casse ou que tu t’étrangles avec. Je le laissais observer avec attention, sans rien dire pendant un moment. Est-ce qu’il savait qu’on devait aller se laver quand même ? Mais j’avais pas envie d’arrêter son moment de découverte du Tiki.

Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Quand elle sortait son propre collier, les yeux d'Aven brillait encore plus. Opaleye lui expliquait que c'était un Tiki, comme le nom du petit dragon, très bien choisit ! Il se transmettait de génération en génération, que c'était un collier très spécial pour son pays, donnant chance et force. Il en avait besoin, surtout après l'épisode du poison au bal de la Saint Valentin. Au moins maintenant il sera protégé ! Elle laissa sa copine le mettre autour de son cou, il l'observait attentivement, l'admira comme il admire sa belle. Il saura quoi transmettre à ses enfants maintenant, il adorait déjà l'idée. Heureusement qu'il l’enlèvera pour se doucher et dormir, il ne voulait surtout pas l’abîmer, enfin il espère que rien ne lui arrivera quand il sera sous la douche ou entrain de dormir du coup. Qui c'est, un vampire se faufilerai peut être jusque dans son lit pour le mordre ? - oui il réfléchissait trop -.

Après de longues secondes a observer le collier, il se leva. C'est vrai qu'une bonne douche chaude lui ferais le plus grand bien, c'était pas que ses orteils avaient presque gelés, mais presque. Alors il se retourna vers Opaleye tendant ses grandes mains pour qu'elle se lève.

- Tu me montres où est la salle de bain ? posa-t-il avec un grand sourire.

Oh c'est bon, ils avaient déjà pris une douche à deux, mais d'un côté, ils étaient tous seuls dans sa chambre. Là il est quand même chez sa copine, avec du monde dans la maison, ça le gênait un peu, mais bon, apparemment il n'avait pas le choix, et puis il en avait envie. Alors elle prenait ses mains et ils se dirigèrent tranquillement vers la salle de bain. A peine étaient-ils rentrés qu'Aven se regardait dans le miroir, enlevant son bonnet, il avait les cheveux en pétard. Il rigola en se tournant vers sa chérie et profita pour l'embrasser et la serrer contre lui.

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Je souris en le regardant admirer le collier. C’était très folklorique comme tradition, mais c’était ainsi. Il y avait beaucoup de traditions en Nouvelle-Zélande. Vraiment beaucoup, je ne pouvais pas tout lui apprendre en une fois, mais je voulais au moins lui donner un Tiki. C’était important. Je saisis ses mains pour me redresser et ris à sa remarque. Je lui fis un clin d’œil avant de le guider jusqu’à la salle de bain. Je fermais la porte à clé et avec un collaporta avant d’insonoriser la pièce pour être tranquille. J’avais quand même mis le panneau « Occupée » sur le devant de la salle de bain. Heureusement, il y en avait deux. Je ris quand il ôta son bonnet comme-ci il était coiffé avec un pétard. Je ris avec lui et l’embrassais tout doucement. Je me serrais contre lui.

Je m’en détachais pour lui sortir une serviette et sortis également la mienne : blanche. Comme une énorme majorité de mes vêtements. Je me déshabillais pour mettre mes vêtements sales dans la corbeille. J’étais toute rouge, mais c’était pas la première fois qu’on prenait une douche ensemble. Je me glissais sous l’eau et attendis qu’elle chauffe un peu avant de sourire à Aven.

« Tu viens ? Ou tu attends la tempête ? L’eau est chaude. »

Ça lui ferait du bien pour se réchauffer avec ses doigts glacés. Je lui tirais la langue.

« À moins que tu préfères avoir froid aux doigts ! Mais compte pas sur moi pour des câlins alors ! »

Sans lui laisser le temps de choisir, j’y tenais moi à mes câlins, je le tirais gentiment avec moi sous l’eau bien chaude de la douche dès qu’il faut tout nu. Je souris et reviens l’embrasser, toujours toute rouge. Je souris sans oser à nouveau découvrir son corps pendant un instant avant de glisser mes doigts entre les siens. Je soutiens son regard sans rien dire, puis…

« Merci d’être venue… »

Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays.

Son rire était l'un de ses trésors, comme ses sourires et ses baisers. En fait, elle était un trésor à elle toute seule, Opaleye était son petit ange et il était heureux d'être avec elle en ce moment, de partager se merveilleux voyage grâce à elle. C'était avec enthousiasme qu'il la regardait organiser leur petit "rencard" sous la douche. Elle fermait la porte et lançait des sorts pour bien faire comprendre au reste du petit monde dans la maison, que la salle de bain risquait d'être fermée un bon petit moment. La voir agir comme cela le faisait sourire, elle avait raison et en plus c'était comme si elle faisait le premier pas pour s'embarquer de quelque chose de plus intime sous la douche, il ne pouvait que rougir à cette idée.

Après lui avoir sortit une serviette, elle enleva ses vêtements, comme si elle avait pris cette habitude, comme un couple qui vivait ensemble depuis longtemps. Aven ne pouvait s'empêcher de l'admirer, un peu trop peut être parce que là voilà qui le fait sortir de sa rêverie. Il sursauta et commença et enlever ses vêtements, il avait plus de mal avec ses chaussettes, les pieds gelés ça rigolait pas. Une fois tout envoyé en l'air, il fut tiré sous la douche bien chaude. Le changement soudain de température lui envoya des frissons dans tout le corps, puis la demoiselle vint vers lui pour l'embrasser. Il glissa ses doigts contre sa peau et venir enlacer ses doigts.

- Je ne pouvais manquer cela pour rien au monde ! Un voyage fabuleux avec une demoiselle si charmante.

Sur ses mots, il l'attira à lui, pour que leurs corps se touchent. Aven adorait cette sensation, puis elle était si douce.. Était-ce humainement possible ? Après tout, peut être qu'elle était bien un fantôme, qu'elle ne venait pas de ce monde, pour être une femme aussi fabuleuse. Le Poufsouffle
l'embrassa passionnément.

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Je frémis un peu en sentant ses doigts courir sur ma peau. Je ne savais pas si c’était normal… Mais j’avais un petit frisson de plaisir à chaque fois. Plaisir ? Ou excitation ? J’en savais rien. Il fallait juste profiter de l’instant présent. Je souris plus largement quand il me répondit. Je lui rendis son baiser quand il m’embrassa. Je passais mes bras autour de son cou, j’adorais être tout contre lui, nichée dans ses bras… Même si… lorsqu’on était nu c’était toujours le couple de tomate le retour. Je souris malgré l’eau qui me ruisselait sur le visage. Heureusement qu’il y avait une boite de préservatif sortit et d’un petit tour de magie on pouvait attirer de quoi se protéger. S’il avait envie de faire quoi que ce soit. Je me détachais de lui en caressant tout doucement son visage.

« Tu me fais perdre la tête Raweni. »

Et c’était très bien comme ça. Je l’embrassais à nouveau avant d’attraper le savon pour commencer à le savonner. Je profitais honteusement de la situation pour caresser et explorer son corps du bout des doigts. Son torse, ses bras, son cou, ses épaules, son dos… Je découvrais encore et toujours son corps. Est-ce que je pouvais m’en lasser ? Je me souvenais encore de sa tête quand il m’avait vu arrivé sur le terrain de quidditch pour un match poutsouffle serdaigle. Je me mis à rire sans donner d’explication. Je me remis à frotter doucement les muscles de ses bras.

« Tu te souviens de notre premier match de Quidditch ? Quand je suis arrivée sur le terrain pour jouer chez les serdaigles ? »

Je me mis à nouveau à rire en continuant de le savonner sans rien rajouter si ce n’était mon rire. Je viens l’embrasser tout doucement.

« J’étais morte de trouille de t’affronter ! »

Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays (-18).

En fin de compte, ils étaient un couple qui prenaient leur temps, il fallait bien cela pour vivre une vie à deux et être heureux. Rien ne sert d'aller trop vite et de précipiter les choses. A vrai dire, il ne s'imaginait pas finir dans la douche d'une demoiselle avant longtemps, ce n'était pas sa priorité de tomber amoureux, mais cela l'a pris de surprises. Le voilà donc dans celle d'Opaleye, en Nouvelle Zélande, qui l'aurait cru ? La belle passait ses bras autour de son cou, se rapprochait, se collait, leurs corps en harmonie, l'enchaînement de sa remarque et du savon sur son corps ne le laissait pas de marbre, bon au moins il était un peu moins gêné que la première fois dans sa chambre.

Quand Aven commençait a passer sa main fine dans les cheveux de sa copine, elle entamait une discussion sur le Quidditch. Par Merlin, oui il s'en souvenait encore très bien.

- Tu rigoles, j'avais peur que tu tombes et que tu te casses quelque chose, j'étais plus concentré à ne pas t'envoyé les cognards dessus que sur le match ! Rigola-t-il en envoyant du savon sur elle pui en continuant sa phrase en se gonflant les muscles. Tu m'étonnes que tu avait peur.

Aven rigola de vive voix, il avait l'air d'un abrutis, mais il aimait ça, et la faire rire était la plus belle chose qu'il pouvait faire. Elle venait l'embrasser, il lui rendait son baiser en profitant de se rapprocher encore plus, baladant ses mains sur les courbes de ses fesses. Le Poufsouffle entamait même de parcourir son cou de longs baisers tendres et affectueux. Son envie était là - son érection aussi d'ailleurs -, retournant à ses lèvres pour l'embrasser sensuellement. Maintenant elle allait l'affronter, mais du autre manière que sur le terrain de Quidditch.

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Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays (-18).

Aven s'en aurait voulu s'il avait envoyé un cognard sur elle, ou même si ce n'était pas lui qui lui aurait envoyé. Oui il savait bien qu'elle avait bien passé les sélections pour être poursuiveuse, qu'elle avait réussi haut la main, vu qu'aujourd'hui elle était dans l'équipe de Serdaigle, mais les accidents ne sont pas rares dans ce sport, oh non. Lui avait été envoyé plusieurs fois à l'infirmerie de la MUL, mais après tout, c'était peut être à cause de sa maladresse ? Oui il c'était un peu fait gronder par son capitaine, effectivement.

- Il m'a clairement dit de pas avoir peur de te démonter avec un cognard, j'ai faillit lui répondre autre chose, disait-il en rougissant de ses propres pensées.

Puis la douche commençait à devenir plus chaude, plus difficile a respirer normalement, Opaleye interrompit les baisers pour attraper le petit bout de latex poser non loin d'eux. Bonne idée, il était toujours aussi content de cette invention, vraiment, les moldus se surpassaient c'était incroyable. Aven commença a lever les mains pour le prendre, mais il fut vite arrêté par sa copine qui voulait essayer de le mettre elle même. Il se senti rougir encore plus. Alors il l'a regardait faire, son manque d'expérience le fit sourire, à vrai dire il n'en avait pas non plus de l'expérience la dedans, mais comme c'était lui qui avait l'engin, autant s’entraîner avant d'arriver à des moments comme celui-ci. Ses mains maladroites lui offrit des frissons et une fois fini, elle revenait à lui pour déposer un baiser sur son nez.

- Jamais je me moquerais de toi, ricana-t-il en passant une main sur sa bouche pour cacher le grand sourire qu'il avait depuis tout à l'heure au visage. Va falloir un peu plus d'entraînement mademoiselle.

Oui il y avait un sous entendu plutôt bien placé. La Serdaigle passa ses bras autour de lui pour arrivé à son fessier, alors il en profita pour se coller à elle de nouveau, a profiter de son corps qui ruisselait d'eau, a le toucher pour profiter de sa douceur mêlée au savon qu'elle avait utiliser plus tôt. Ses grandes mains se baladaient, il aimait vraiment son corps et il était heureux de profiter de tout ces instants avec elle. Les baisers recommençaient, les vitres embuées et il commencèrent des caresses qui leur avaient manqués depuis le soir du Bal de la Saint Valentin.

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Je rougis jusqu’à la pointe des cheveux quand je compris le sous-entendu. Au moins il était tout rouge aussi ! C’était pas rien du tout. Je gloussais quand même avec amusement. Heureusement qu’il ne savait pas que je m’étais pris quelques cognards au début des entraînements. J’avais appris à les esquiver comme ça. Non, il valait mieux qu’il ne sache pas tout cela. Pas la peine de l’inquiéter. Je frottais mon nez à sa peau avec un sourire amusé et pianoter mes doigts sur ses bras. Lui, je savais qu’il était déjà allé à l’infirmerie pour des accidents de sport. C’était le rythme qui rentrait dans la tête. Je fis semblant de prendre la pose d’une crâneuse et déclarais :

« De toute façon… Je suis trop agile pour que tu me touches avec un cognard ! »

Et ses doigts me donnaient chaud au creux du ventre… Tout comme ses baisers. Si bien que je préférais nous couvrir. Pas question d’avoir un bébé maintenant. Je lui mis maladroitement sa capote, c’était ma première fois aussi… C’était… facile en théorie, mais en pratique… et sous la douche en plus, ça l’était pas du tout ! Et c’était qu’il se moquait de moi ! Et je rougis à sa proposition ! Je le chatouillais un peu.

« Menteur ! C’est quoi ce sourire ? … Et… je ne dirais pas non à plus d’entraînement… »

Quoi ? C’était agréable de coucher avec Aven… Surtout que la dernière fois remontait à la Saint Valentin… Nous n’avions pas pris de temps après de coucher à nouveau… Tous les évènements, les partiels… Au moins ici, nous serions tranquilles. Je frémis à chacune de ses caresses et de ses baisers. Je fermais les yeux en sentant l’eau couler sur nous, sa peau frotter contre la mienne… J’explorais tout doucement son corps du bout des doigts… Avant de redescendre vers son sexe… malgré la capote je l’effleurais tout doucement avant de m’appuyer un peu contre le mur de la douche sans le lâcher des yeux. Comme d’habitude, je levais une main pour dessiner les contours de son visage, un sourire étira mon visage.

« Je t’aime. »

Date de naissance : 26/08/1996

Rencontre avec la famille et le pays (-18).

Trop agile, il aimerait bien voir cela. Certes elle était plus fine que lui, peut être que cela jouait pas mal, lui il avait pas mal de muscles, surtout dans le haut du corps. Aven n'avait pas de mal à battre des cognards ou a soulever une certaine personne. Dans le cas de l'agilité, elle gagnerait surement, mais pourquoi pas relevé le défi ? Il ne disait jamais non à un défi.

L'entraînement qu'Aven avait glisser dans sa phrase était donc réciproque, elle ne disait pas non à recommencer, une, deux ou surement une dizaine de fois. Le Poufsouffle pensait qu'il ne se lasserait jamais de sa bien aimée, il trouvera toujours la douceur de son corps et la pureté qu'elle dégage aussi attirante.

- Je ne suis pas un menteur ! Et on verra cela pour ce petit défi sur le terrain.. souffla-t-il en frôlant son cou du bout de ses lèvres. Moi aussi je t'aime.

Les mains se baladaient, se retrouvaient, reprenaient les courbes harmonieuses. Des mots doux au creux de l'oreille, touchant des parties sensibles et de plaisirs pour pouvoir préparer les festivités, les souffles qui s'accordaient. Aven décida même de faire travailler ses muscles et souleva Opaleye, machinalement, ses jambes s'enroulèrent autour de lui, le tout était de ne pas tomber ou glisser dans la douche, ce serait embêtant tout de même. Le visage du jeune homme s'enfouissait dans la poitrine de la Serdaigle et dans un souffle il commençait à se frotter, à se guider jusqu'au fruit défendu avant d'y rentrer doucement.

- Dis moi si je te fait mal, d'accord ?

Comme une impression de déjà-vu. A vrai dire ce n'était pas très pratique comme position pour commencer, mais c'était le premier truc qu'il avait trouvé dans cette petite douche. Faudra qu'il se renseigne sur les positions. Mais pour le moment, il profitait de la chaleur qu'il ressentait. Rentrant lentement, il savait que même après la première fois, les femmes pouvaient avoir mal de temps à autres, autant prendre son temps et profiter de chaque seconde.

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Sujet: Re: Rencontre avec la famille et le pays (-18)

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