Sujet: Sweet smell of roses || Tomos ♥ Ven 25 Oct - 0:15
I was born sick, and I love it.
Dire que t’étais énervé là tout de suite aurait été minimiser la situation. Chose que t’avais tendance à faire d’habitude, mais il fallait croire que tu te dérogeais pas mal d’elles aujourd’hui. T’étais généralement quelqu’un de posé, plutôt calme et qui ne s’emportait pas à la moindre occasion. Parce que tu trouvais ça ridicule, que tu préférais de loin essayer de parler calmement aux gens, ou juste de posément les regarder de haut et les mépriser, certes. Mais le tout avec subtilité, parce que sinon ça risquait d’apporter des ennuis, et ça, t’aimais encore moins. Bah là tout de suite, t’avais bien réussi à t’en attirer. Tu ne savais pas si c’était parce que t’avais enchaîné les gardes depuis quelques soirs, que t’avais dû sauter ta pause de midi parce qu’un con n’était pas capable de préparer correctement une potion Wiggenweld. Ah bah bien ça s’apprenait généralement en première ou deuxième année, tu disais ça, tuu ne disais rien.
Comme si ce n’était pas suffisant, alors que tu devais changer les bandages de quelqu’un, qui ressemblait plus à une momie qu’autre chose, le gosse qui partageait la même chambre avait crû bon de s’amuser avec le livre qu’il venait de recevoir. T’avais pas de problèmes avec ça, si ce putain de livre ne produisait pas une musique entêtante qui se répétait après douze secondes. T’avais bien cru que t’allais le lui faire manger, son livre. Puis pour couronner le tout, il y avait eu une urgence qu’on t’avais foutue sur les bras, sans doute parce que t’avais été la personne la plus proche. Une nouvelle fois t’aurais très bien pu gérer ça correctement, si le mari de la patiente ne l’accompagnait pas et n’avait pas arrêté de te poser des tonnes de questions en pleurant à moitié, te stressant un peu plus qu’autre chose.
T’essayais réellement de te concentrer, mais avec ce con qui avait un cerveau plus petit que celui d’un pachyderme et dont le flot de paroles était bien trop grand pour un être humain, tu n’y arrivais tout simplement pas. T’essayais de l’ignorer, mais il avait apparemment l’air de mieux s’y connaître que toi, et aurait apparemment pu faire ça bien plus rapidement que toi aussi. Bah si c’était si simple, pourquoi il n’était pas resté chez eux à la sauver plutôt que de l’amener ici. Tu lui avais demandé de bien vouloir sortir de la pièce, ce qu’il n’avait absolument pas respecté parce qu’il fallait bien que quelqu’un surveille ce qu’on pouvait faire à sa femme. C’était mignon, dans un sens, mais c’était surtout à partir de ce moment là que tout était parti en couilles et que t’avais décidé de ne plus du tout le respecter. Après tout il n’avait pas l’air de t’en montrer ne serait-ce qu’une once, donc t’avais pas à le faire non plus. Simple retour des choses.
Bizarrement, il n’avait pas apprécié. Est-ce que c’était dû à ta fatigue, ta faim ou juste ton exaspération, tu ne savais pas trop, mais t’avais totalement laissé tomber le professionnalisme. En même temps, bien qu’encore inconsciente, la femme n’était pas dans un état critique et allait s’en sortir. Elle n’avait sans doute pas besoin que deux abrutis ne se prennent la tête à son chevet, mais t’y étais pas resté très longtemps, préférant regagner le couloir en te disant que déjà ne plus l’avoir dans ton champ de vision te calmerait. Tu l’avais entendu te suivre, surtout entendu ses remarques continuer jusqu’à ce qu’il ne se prenne une porte que t’avais délibérément fait s’ouvrir sur son chemin. Bah c’est bizarre ça. T’étais pas censé utiliser ta baguette n’importe où, à moins que ça ne soit pour une urgence, mais ce n’était pas le faire une fois qui allait te tuer non plus. Par contre, t’aurais sans doute dû éviter de le faire pile devant ton supérieur.
T’avais pas eu besoin d’être un génie pour comprendre que ça n’allait pas en rester là, surtout qu’il avait assez rapidement compris qu’il s’agissait du chef du service et ne s’était pas privé d’encore plus se plaindre, de ton caractère exécrable tout autant que de ton incompétence. Il n’avait pas fallut longtemps avant que tu ne lui dises d’aller se faire foutre et bizarrement en un rien de temps tu t’étais retrouvé dans le bureau de ton supérieur, à devoir attendre qu’il calme l’autre dont l’intelligence atteignait des bas-fonds. Au moins tu ne le voyais plus, c’était un très bon point. Tu t’étais vaguement calmé. Ce qui avait duré environ cinq minutes. Jusqu’à ce qu’on ne vienne te faire des remontrances, mais surtout qu’on te dise que t’étais en mise à pied disciplinaire d’une semaine. Ah bon, c’était nouveau ça. Ils pensaient vraiment que ça allait pouvoir marcher ici sans toi pendant autant de temps. Bien sûr que oui, mais ton égo n’avait pas envie de l’entendre, alors t’allais faire comme si tout allait brûler dès la seconde où tu quitterais les lieux.
Par miracle, même si t’avais eu envie de balancer un truc, t’avais réussi à la fermer et à rentrer bien plus tôt que prévu. Au moins t’allais pouvoir manger, maintenant. Tu ne doutais pas un seul instant que t’étais un peu pitoyable, vautré de toute ton long dans le fauteuil en mangeant dans la boîte que t’avais trimballée jusqu’à l’hôpital pour rien, en ayant même pas pris la peine de te changer, et en devant reposer toutes les deux minutes Atria par terre, bien trop intéressée parce que tu pouvais manger. Mais elle avait commencé à miauler, de plus en plus fort. Et ça t’avait bien vite agacé, ça aussi. T’avais daigné bouger pour aller lui remettre à manger dans sa gamelle, mais elle avait juste profité de ton absence pour se servir allègrement dans le contenant qui te servait d’assiette. Cool. Ca aurait pas eu l’air aussi ignoble, tu l’aurais mangée sa pâtée là pour qu’elle remarque à quel point ça pouvait être agaçant, mais t’en étais pas encore là, heureusement. Manquerait plus que tu ne tombes malade. T’avais usé de tes dernières forces pour aller la mettre dans ta chambre avec ses gamelles eet refermer la porte. Pas très sympa pour elle, mais c’était mieux pour tout le monde, puis t’allais pas la laisser éternellement là non plus.
En voulant redescendre t’avais vu la porte de la chambre de Tomos entrouverte, et t’avais fini par céder à la tentation d’y aller, de subtiliser un de ses coussins avant de retourner dans ce fauteuil et de t’y recoucher. Ca allait déjà un peu mieux en ayant l’occasion de serrer quelque contre toi qui en plus sentait extrêmement bon, bonheur qui s’était un peu atténué lorsque t’avais constaté un peu trop tard en voulant finir de manger qu’Atria avait laissé pas mal de poils, que t’avais un peu trop la flemme de commencer à les retirer de ta bouche et que t’allais te résigner à les manger, mais soit. Quitte à être pitoyable autant l’être jusqu’au bout.
Sujet: Re: Sweet smell of roses || Tomos ♥ Ven 25 Oct - 9:36
Faut pas bouder Une bonne journée. Une belle journée, même. Tout ce qui aurait manqué à ta journée pour qu'elle soit encore mieux, ça aurait été que tu puisses voir Eltanin un peu plus souvent. Tu ne l'avais vu que brièvement ce matin, et t'aurais aimé pouvoir rester au lit avec lui pendant un moment. Ou dans le fauteuil, à la limite. T'étais pas difficile. Mais bon, tu savais que tu allais pouvoir le revoir en rentrant du travail. Et ça te faisait plaisir. Sauf s'il travaillait encore tard ce soir ? Eh bien tu l'attendrais, t'étais plus à ça près.
Ta journée ne t'avait pas paru longue. Il ne t'était rien passé de particulièrement spécial, mais cen 'était pas pour te déplaire. Les imprévus, c'était pas non plus ton plus grand délire. T'aimais quand tout se passait bien, quand tout allait comme tu le souhaitais. Et ça avait été le cas aujourd'hui. Aucun étudiant ne t'avait particulièrement emmerdé, ils étaient tous restés calmes, c'était très bien. T'avais pu donné cours de la manière que t'aimais ça, et personne n'était venu te déranger pendant ta pause. Et c'était bien, ça. Parce que t'aimais te détendre un peu pendant ta pause. Souffler un moment, bien que ton boulot ne soit pas particulièrement épuisant, et t'occuper un peu de tes plantes. C'était relaxant.
T'avais mis un peu de temps à rentrer, parce que tu savais que normalement Eltanin rentrait un peu plus tard que toi. Alors t'avais voulu aller lui chercher quelque chose. Des chocolats, en fait. T'avais beau aimer cuisiner, tu n'avais jamais réussi à faire toi même du chocolat décent. C'était bien dommage, mais bon. Tu l'acceptais. Et ça ne te dérangeait pas de l'admettre, ni d'aller en acheter quelque part. Tu lui en avais pris des bons, et t'étais rentré tout guilleret. Tu ne t'étais juste pas attendu, en arrivant dans le salon, à voir Eltanin ici.
« Bonjour ! Tu es rentré plus tôt ? »
Visiblement oui. T'avais souri et enlevé ta cape, te rapprochant de lui dans le but de venir le saluer convenablement. Mais il n'avait pas l'air dans son assiette. Et ça t'avait inquiété, un peu. T'avais un peu souri en remarquant le coussin, ceci dit. Mais à son niveau, tu t'étais agenouillé près du fauteuil pour pouvoir venir caresser ses cheveux et lui embrasser le front.
Sujet: Re: Sweet smell of roses || Tomos ♥ Ven 25 Oct - 15:48
I was born sick, and I love it.
Pendant un court instant, t’avais eu envie de balancer ta fourchette plus loin. Mais est-ce que c’était utile ? Absolument pas, non. Genre du tout. Après tu devrais te lever la rechercher, ou manger avec tes mains. Aucun des deux ne te convenait. T’aurais pu utiliser ta baguette, si cette connasse ne décidait pas de faire des siennes lorsque t’étais de mauvaise humeur. Ca pourrait mieux se passer si t’évitais de l’insulter, oui. Et si tu te calmais aussi. Parce que t’avais bien compris depuis le temps que ton humeur déteignait sur elle, et que c’était même peut-être mieux pour tout le monde qu’elle ne daigne pas accomplir le moindre de tes désirs lorsque t’étais dans un état pareil. Surtout que tes idées n’étaient pas les meilleures. Du tout, dans ce cas-là. T’avais fini par abandonner l’idée de tout manger, reposant la boîte plus loin eeet juste en serrant le coussin contre toi. Ca n’arrangeait certes, pas tout, mais c’était un peu mieux. Un peu.
Jusqu’à ce que tu ne repenses au fait que t’allais devoir rester une semaine sans rien foutre. Bon, tu pouvais mettre ce temps à bon escient, tu pouvais même faire plein de trucs cools, ce serait comme des vacances. Tu pouvais même être heureux d’avoir ce temps, tu le serais sans doute, mais un peu plus tard, lorsque tu verrais autre chose que le fait qu’on s’était débarrassé de toi en un rien de temps, tout ça parce qu’un enculé de première ne savait pas se tenir. Toi non plus visiblement, mais soit. T’allais passer sur le sujet. Et t’allais maudire absolument tout ce que tu pouvais en fixant le plafond. Beau début d’après-midi, oui. T’avais surtout envie de mourir. Ou de taper quelqu’un, mais on allait encore te le reprocher après.
Puis la personne la plus proche que t’avais ici était Tomos, qui venait apparemment d’entrer, que t’avais aucune envie de frapper. Vraiment aucune. T’avais un peu sursauté d’ailleurs quand il t’avait parlé, perdant une partie de ta mine renfrognée. A force de faire ta merde, tu ne l’avais même pas entendu rentrer, wouw. T’avais daigné te redresser un minimum, parce que bon, faire le déchet ça allait deux minutes, mais t’avais pas envie de le faire devant les gens et encore moins devant lui. Mais tu t’étais réaffaissé à sa question, en grognant très légèrement.
« ▬ S’lut. …Ouais, on pourrait dire ça comme ça. »
Ce n’était pas vraiment de ton plein gré que tu l’avais fait. Alors que pour être franc, t’aurais été ravi un autre jour de rentrer plus tôt, d’être là lorsqu’il revenait et de pouvoir passer plus de temps avec lui. Sauf qu’ici, t’avais un peu de mal. Comment est-ce que t’allais pouvoir lui annoncer ça. Comment lui annoncer que t’étais qu’un con fini qui n’était même pas capable de gérer ses émotions. En même temps t’étais partagé, parce qu’avec tes gardes t’avais pas pu trop le voir ces derniers jours, et il te manquait beaucoup trop. Ca t’avait bien frappé lorsqu’il était venu te caresser les cheveux et t’embrasser le front. T’avais pas attendu plus de deux secondes pour passer tes bras autour de lui, venant te blottir du mieux que tu le pouvais, et un peu relever la tête pour venir lui embrasser le dessous du menton. T’avais un peu marmonné au début, avant de laisser simplement ta tête dans son cou et de soupirer.
« ▬ Mmh, un peu tout. Je suis crevé, mais j’ai pas envie de dormir, j’ai pas pu manger jusqu’à maintenant mais Atria a été chiante elle arrêtait pas de miauler pour en avoir alors que j’ai déjà une tête grosse comme un seau, et quand je me suis levé pour aller lui donner à manger elle en a profité pour bouffer la moitié de mon plat et maintenant y a plein de ses poils partout, les gens sont chiants, tu me manques et jemesuispossiblementfaitsuspendrepourunesemaine. »
C’était une longue liste ça. Bizarrement qui s’était accélérée à la fin, mais tant pis. Ca te saoulait déjà de l’admettre, t’avais pas envie de t’en rendre encore plus compte, tu préférais de loin fermer les yeux et te serrer comme tu pouvais contre lui.
Sujet: Re: Sweet smell of roses || Tomos ♥ Dim 27 Oct - 19:20
Faut pas bouder Ahh, t'aimes pas ne pas le voir totalement heureux. Tu veux qu'il soit content, souriant.. Pas qu'il ait l'air maussade et qu'il soit totalement éclaté sur le fauteuil pour des raisons que tu ne connaissais pas encore. Sauf si tu pouvais lui remonter le moral en venant t'éclater aussi sur le fauteuil en lui faisant des câlins. Ca ça pourrait être pas mal. Ca ça te ferait plaisir. Mais tu t'étais rapidement rapproché de lui de toute façon. T'avais souri et légèrement ri quand il était venu te serrer dans ses bras, et tu ne l'avais pas lâché non plus. Tu l'avais aussi écouté en caressant ses cheveux d'une main et son dos d'une autre.
Ahh oui mais non, ça n'allait pas ça. Tu voulais qu'il soit en pleine forme, et là il te disait qu'il n'avait pas su manger correctement et il avait l'air épuisé. Ca ne te donnait qu'encore plus envie de lui faire des câlins, mais t'avais failli ne pas entendre la fin de sa phrase. Ahh c'était problématique, ça. Un peu quand même. Ca t'avait surpris, tu ne voyais pas pourquoi on pourrait avoir la stupide idée de le suspendre. T'avais froncé les sourcils un moment, et tu t'étais redressé. Tu t'étais assis aussi sur le fauteuil eeet t'avais tiré Eltanin pres de toi, de manière à avoir sa tête sur tes cuisses, pour mieux le regarder et mieux caresser ses cheveux. Une de tes mains était aussi venue prendre la sienne pour la caresser un peu.
« Tu veux que je te fasse quelque chose à manger ? Je comptais me préparer quelque chose en rentrant dans tous les cas, donc ça me dérange pas du tout ! On pourra aller prendre un bain après ça, si tu veux. Ou même voir si on peut se détendre près de l'étang. Pourquoi ils ont fait quelque chose d'aussi stupide.. ? Enfin on est pas obligés d'en parler si tu ne préfères pas, c'est comme tu veux. Mais si jamais tu veux en parler, je suis là. »
Bien sûr que t'étais là, tu ne comptais même partir nulle part en fait. T'étais très bien à ses côtés et ça ne risquait pas de changer.
« Si ça te tente, je peux prendre une semaine de congés ! On pourrait rester ensemble, comme ça. J'ai pas envie que tu te fasses chier pendant toute une semaine, eh. »
Sujet: Re: Sweet smell of roses || Tomos ♥ Lun 28 Oct - 0:42
I was born sick, and I love it.
Au fond, t’étais peut-être pire qu’un gosse. Ca t’avais effleuré l’esprit, mais t’avais pas envie d’y penser maintenant. T’avais pas envie de t’en rendre compte, t’avais pas envie de leur donner raison, ni même donner d’excuses à qui que ce soit sur ton comportement. Qui était totalement normal, point final. Même si ça allait déjà mieux depuis que Tomos était arrivé. Ca t’avait inconsciemment un peu calmé, comme le fait de pouvoir le serrer contre toi, de l’entendre un peu rire aussi. Ca t’avait manqué, même si tu l’avais vu il y a quelques heures de ça, c’était bien trop long. Puis ses mains, dans ton dos, dans tes cheveux, c’était juste divin. Juste ce qu’il fallait pour que tu te calmes un peu. Pour te faire doucement frissonner et fermer les yeux en oubliant un peu le reste.
T’étais toujours un peu frustré et énervé, mais moins qu’avant, c’était déjà ça. Ca t’arrivait rarement de l’être autant, et heureusement d’ailleurs, parce que franchement c’était bien chiant. C’était même parfaitement nul. Et t’avais pas envie qu’il en pâtisse, en fait. T’avais même été un peu triste en le voyant se relever, mais ça n’avait pas été long, tu l’avais même laissé te tirer un peu avec joie pour pouvoir te retrouver la tête sur ses jambes. Il avait réussi à t’arracher un sourire, et t’avais soupiré de bien-être, en levant un tout petit peu une main pour venir jouer avec sa chemise, parce que c’était à ta portée, parce que la faire un peu bouger dégageait un peu plus de son odeur et que c’était tout ce dont t’avais envie là, de le sentir près de toi. De l’autre main, t’avais serré la sienne lorsqu’il était venue la caresser, eet t’avais levé le regard vers lui en même temps qu’il te caressait les cheveux. Pourquoi il était si parfait, comment il arrivait à faire ça.
« ▬ Si…de toute manière tu bouges pour toi, pourquoi pas. Mais je ne veux pas que tu te…déranges pour ça non plus. Avec…plaisir, les deux me tentent, tant que je peux être près de toi et qu’on peut se faire des câlins de préférence, ça me va. Soi-disant je ne travaillais pas correctement et pas assez rapidement au goût d’un accompagnateur d’une patiente. …Je l’ai insulté et il s’est pris une porte dans la figure aussi mais ça me saoule. Dix ans que je me fais chier là-bas, qu’on nous parle régulièrement comme à des chiens, qu’on est censés subir sans rien rétorquer parce que ça ne se fait pas et que ce sont des peRsOnNes FrAgiLiséEs, mais je les ais retenus ces cons, j’ai leurs noms et peu importe le temps que ça me prendra je les exterminerai. »
Oui tous. Absolument. C’était peut-être un peu radical, mais t’étais déterminé. T’avais même commencé à mal regarder le plafond pour la peine même si lui ne méritais rien de tout ça, à ce que tu saches il ne t’avait pas insulté, non. Un regard que t’avais assez vite changé face à ce qu’avait pu dire ton compagnon, et qu’en plus tu préférais le regarder lui.
« ▬ Tu…peux faire ça, Ce serait…Assez incroyable, mais je ne veux pas non plus que ça te mette en retard ou quoique ce soit, tout ça à cause de…moi non plus. »
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