Ca faisait plusieurs jours que tu terminais assez tard, plus tard que tu ne devrais. En même temps vous ne pouviez pas non plus déterminer quand est-ce qu’il y aurait le plus de blessés. Même si ça serait vachement plus pratique, pour tout le monde. Mais si les autres jours t’avais pu finir à des heures encore raisonnables, ce n’était pas du tout le cas aujourd’hui. Et encore, t’étais parti alors qu’il y avait encore quelques urgences. On avait fini par te conseiller de partir, ce que t’avais tout de suite fait d’ailleurs. T’avais commencé à pas mal fatiguer, et du coup t’étais un peu sur les nerfs. Tu t’étais pris la tête avec un de tes collègues qui traînait trop à ton goût. Et on avait fini par vous séparer, tout simplement. Heureusement, parce que t’étais pas certain que t’aurais encore tenu très longtemps avec une personne pareille près de toi. Bon, t'étais toujours relativement énervé mais l'idée de pouvoir rentrer et de te poser. De ne plus penser à ce con là, et profiter de pouvoir dormir plus tard que t'avais pu le faire cette semaine. Ou juste te poser et profiter d'être dans ton lit. Rester sous la couette sans te poser plus de questions. Bon tu bougerais quand même un peu parce que t'avais aussi envie de passer du temps avec Tomos si il en avait envie. Et ce serait nettement mieux qu'aujourd'hui, plus calme en tout cas. T'avais essayé de déserrer un peu les dents, un tic que t'avais depuis longtemps lorsque t'étais nerveux. Ou stressé. Et maintenant que tu te détendais, ça te faisait mal, cool. Mais t'allais essayer de passer au dessus.
Surtout que tu voyais très bien le manoir se rapprocher de plus en plus. Et tu ne pouvais qu'en être heureux. Tu te voyais déjà dans ton lit bien tranquillement, à essayer de décompresser. Tu prendrais peut-être un verre ou deux avant, ça t'aiderait à t'endormir sans te poser trop de questions .Et c'était tout ce que tu demandais. De ne plus réfléchir. T'aurais peut-être pas la foi de dormir par contre, mais t'essayerais. Histoire de ne pas dormir toute la journée du lendemain .T'avais pas envie de la passer à ça. T'avais envie que ce soit rentable. Déjà que tu n'en avais pas tant que ça, de jours de libre. Alors autant que ce soient les meilleurs qu'ils soient. Tu t'étais un peu étiré les bras avant de pousser doucement la porte.
Si les lampes étaient éteintes, t'avais vu une source de lumière, peut-être plusieurs. Ca t'avait intrigué alors t'étais allé voir ce que ça pouvait être. Ceci dit, ce qui t'avait intrigué c'était qu'il y avait des fleurs absolument partout. Des pétales même. Mais pas juste une fine couche. T'avais pas osé mettre un pied au début dedans. Mais il fallait bien que tu rentres. Et au fond, c'était vraiment agréable .Ca s'enfonçait un peu mais doucement. Et c'était assez agréable. Tu t'étais frayé un chemin, en regardant un peu les pétales autour de toi. Puis t'avais vu Tomos dans le canapé que vous aviez installé il y a peu. Ah bah tant qu'il servait, ça t'allait. T'avais un peu souri, ce que t'aurais pas pensé possible. Tu ne savais pas trop ce qu'il faisait là, couché avec plein de pétales sur lui aussi, mais c'était vraiment inattendu. Inattendu mais pas du tout désagréable .T'avais un peu ri en posant ton épaule sur le chambranle de la porte et en croisant une jambe, en le regardant.
« ▬ Je pensais que tu étais déjà couché, t'as décidé que ce n'était pas assez confortable? En tout cas c'est vraiment...magnifique ce que t'as fait, y a une occasion spéciale? »
La plus belle des surprises Il était vrai que lorsqu'Eltanin n'était pas là, t'avais tendance à boire un peu plus que lorsqu'il n'était là. Mals pas énormément. Assez pour avoir des idées particulières. Tu ne savais pas d'om elles venaient, ces idées. Du plus profond de ton âme, probablement. Bah elle était bien bizarre ton âme. Mais tu l'acceptais totalement. Bah oui. Surtout quand t'avais bu, c'était bizarrement beaucoup trop facile à accepter. T'étais même surpris d'être aussi imaginatif quand t'avais bu. Mais bon. Ca t'allait, de nouveau.
Ton idée ? Tu voulais juste t'offrir totalement à Eltanin. T'avais cherché comment, pendant un moment. T'avais cherché la simplicité, et tu t'étais retrouvé à foutre des pétales de fleurs partout sur le sol. Olly s'était probablement retrouvé à s'arracher les quelques cheveux qui lui restaient, mais tu t'en branlais tellement. Parce que t'avais juste tellement en tête l'idée de faire plaisir à Eltanin que tu te foutais tellement du reste
Du plus profond de ton âme, certes, mais tu te demandais pourquoi il fallait nécessairement qu'Eltanin ne soit pas là pour que t'aies des idées du genre. T'avais envie de lui faire plaisir, vraiment. Le plus plaisir possible. Et tu ne savais pas comment. T'avais au début juste cherché à créer une ambiance, avec les bougies et la cheminées. Puis tu t'étais rendu compte de la chaleur qu'il faisait. Et de nouveau, t'avais eu une idée des plus révolutionnaires. Pourquoi pas te déshabiller ? Tu te sentirais mieux, et avec un peu de chance tu donnerais envie à Eltanin. T'avais envie de lui faire envie. T'avais envie de ressentir ce que t'avais ressenti lors de cette nuit passée, tout ce qu'il avait pu te faire ressentir avec un seul regard. Et si l'attendre en étant nu dans ce merveilleux fauteuil pouvait t'aider à lui faire envie, tu le ferais volontiers.
T'avouais que t'avais failli t'endormir. Parce que t'étais bien ici, au chaud. Sur le fauteuil qui était plus que confortable, et avec la chaleur tellement agréable. Pour ne pas t'endormir, tu t'étais dit que tu pouvais faire quelque chose de plus. Quelque chose qui t'empêcherait un peu de dormir. T'avais vraiment eu du mal, à attacher tes mains dans ton dos. C'était compliqué, t'avais eu besoin de ta baguette, que t'avais lâché un peu plus loin une fois ton but accompli. Tu te restreignais, mais pour la bonne cause. T'avais un peu l'impression d'être désespéré, d'être un peu con de faire ça, mais tu l'acceptais. T'étais assez bien comme ça, et t'avais clairement moins envie de dormir.
Tu t'avais entendu rentrer, et t'avais eu un regain d'énergie, d'un coup. C'était pas plus mal, vu comme de nouveau, malgré tous tes efforts, tu commençais à te sentir trop bien et à t'endormir. Tu t'étais un peu redressé, et t'avais souri en le voyant arriver dans ton champ de vision. Ca te faisait tellement plaisir de le voir, probablement que tu peinais à le cacher.
« Bonsoir.. ! Je t'avoue que je n'ai pas tenté d'aller au lit je.. J'ai un peu bu, et je me suis dit que je pourrais venir ici, t'attendre, préparé à tout ce dont tu aurais potentiellement envie.. Une occasion spéciale ? Non, juste ton retour du travail, un peu de détente ne peut pas t-te faire de mal.. »
Tu ne savais pas pourquoi d'un coup, tu te sentais un peu moins sûr de toi, actuellement. Mais ça passerait. Ca passerait, peut-être plus rapidement si tu lui souriais de nouveau et que tu écartais un peu les jambes, lentement. Qu'est-ce que tu foutais ? T'en avais pas la moindre idée. Mais ton corps avait l'air d'en savoir plus que toi.
C'était assez bizarre quand même la vitesse à laquelle ton humeur avait pu changer dès que t'avais ouvert la porte du manoir. Bon, peut être que ça ne t'était pas destiné, tu préférais te dire ça plutôt que te faire des faux espoirs. T'avais clairement pas besoin de ça pour le moment. Personne n'avait besoin de ça dans sa vie non plus. Mais au moins, ça avait égayé ta journée. Encore plus quand t'avais vu l'ambiance, les quelques bougies allumées flotter et la cheminée. T'avais bien fait de te débarrasser de ta cape en entrant, t'aurais certainement eu beaucoup trop chaud en fait. Bon, t'avais un peu chaud là tout de suite mais ce n'était pas non plus un gros problème.
Parce que ce que tu remarquais surtout, c'était bel et bien Tomos, comment t'aurais bien pu passer à côté. Surtout avec une ambiance pareille, aussi spéciale. Une ambiance que t'appreciais énormément. Une nouvelle fois, peut être que c'était à cause de la fatigue que t'avais accumulée, que tu ressentais un peu différemment les choses. Beaucoup, pour être exact. Tu ne savais pas comment, ni même pourquoi il était aussi adorable et attentionné avec toi. T'avais pas l'impression de me mériter, en tout cas pas autant, mais ça te faisait vraiment plaisir. Peut être même ce qui te faisait le plus plaisir au monde. C'était toujours un peu spécial, de savoir que quelqu'un t'attendait, se souciait de toi particulièrement.
TU l'avais vu un peu se redresser, faisant tomber quelques-uns des pétales qui se trouvaient sur lui, commençant à dévoiler une chose à laquelle tu ne t'étais pas vraiment attendue. Tu te sentais un peu con, à ne pas avoir remarqué tout de suite qu'il n'était pas habillé, ou en tout cas pas plus tôt. Tu t'étais humecté un peu les lèvres, inconsciemment, alors qu'il te parlait. T'avais eu un peu de mal à te concentrer et à le regarder dans les yeux, mais t'avais réussi, un véritable miracle. Mais une fois que tu l'avais capté, t'avais plus pu t'en détacher.
“— Même pas durant un seul instant ? T'as bien fait, si ça peut te détendre ! C'est... Vraiment gentil, même plus que ça. J'aurais voulu le faire moi-même que je n'aurais pas pu faire mieux. Oh, je commence à me demander si te voir n'est pas à chaque fois une occasion spéciale ! T'en donnes l'air pour toutes les rencontres et c'est incroyable. Si... C'est avec toi, c'est sûr que ça ne pourra que me faire du bien. „
VU ce qu'il avait eu l'air de prévoir là tout de suite, tu ne risquais pas de déprécier. Du tout. Sauf que tu savais que ce n'était pas raisonnable. Du tout. Il avait bu, et franchement t'avais pas envie d'en profiter. T'avais pas envie de le pousser à faire quelque chose qu'il regretterait plus tard. Bien qu'aucun de vous n'avait l'air de regretter la dernière soirée. Et si ça se trouvait, vous vous preniez inutilement la tête tous les deux, aussi. Que de base les choses étaient justes simples et que vous compliquiez tout en vous mettant des barrières. En te posant des questions comme tu le faisais actuellement. T'allais certainement rien arranger et rien avancer en restant là.
La décision n'avait pas été difficile à prendre. Il avait suffit de le regarder, croiser une nouvelle fois son regard pour que tu ne te décides à aller vers lui. Pourquoi t'étais toujours aussi faible face à lui. Ça ne t'avait jamais été désavantageux ou négatif, mais quand même. Et le pire c'était que ça ne te dérangeait pas plus que ça. Comment quoique ce soit aurait pu te déranger la tout de suite. Il était toujours aussi parfait, autant mentalement que physiquement, et t'avais dû rassembler absolument tout ton sang froid pour ne pas commencer à parcourir tout son corps de tes mains, même si ce n'était pas du tout l'envie qui t'en manquait, encore plus quand t'avais remarqué qu'il s'était attaché les mains. T'étais venu lui prendre le visage entre tes mains, essayant de te concentrer sur son visage ne serait ce que quelques secondes, laissant tes pouces lui caresser les joues.
“ — T'es... Vraiment sûr que c'est ce que tu veux ? „
TU n'avais pas du tout envie que seul ton bonheur ne passe avant le sien non plus. T'avais pas sû t'empêcher de venir lui embrasser le front, et de descendre petit à petit, passant par son nez et finir sur ses lèvres, assez légèrement, même si ça ne te donnait que plus envie de réitérer, plus passionnément.
La plus belle des surprises Tu n'arrivais pas à décrypter ce qu'il ressentait pour le moment, de là où t'étais. Il faut dire que t'avais un peu l'impression de voir trouble, pour le moment. Sans doutes à cause de l'alcool. Ce qui voulait dire que ça passerait. Tant mieux. Parce que tu voulais le voir, et absolument pas en trouble. Tu voulais le voir là, maintenant, près de toi, contre toi. Sur toi. Tu voulais pouvoir le regarder, et tu voulais qu'il puisse aussi te regarder à sa guise. C'était bien en partie pour cette raison que tu n'avais daigné ne te couvrir d'aucune couche de vêtement, préférant largement la sensation des pétales de fleurs sur ta peau. Mais tu savais qu'il y avait quelque chose que t'aimerais encore plus sentir sur ta peau, et c'était la sienne. Ses mains, sa bouche.. Rien que d'y penser t'avait fait soupirer d'envie, et t'espérais ne pas trop paraître désespéré parce que ce n'était pas non plus ton but.
« Pas du tout ! Ouiii, j'ai pris quelques verres de vin dans un bain, jeee voulais sentir bon et avoir la peau douce pour toi.. J'aimerais faire de chacun de tes retours des occasions spéciales oui ! Je.. Je ne veux juste pas que tu ne te sentes obligé à quoi que ce soit par contre, on peut tout aussi bien passer la soirée à jouer avec les pétales de fleurs, à lire tranquillement des livres près de la cheminée qu'à.. Autre chose. »
Tu savais que tout t'irait. Mais t'avais particulièrement envie de lui, tu ne pouvais pas le nier. Mais t'avais souri, tu voulais juste. Lui. Faire. Plaisir. Peu importe la manière dont tu le faisais, tant qu'en allant se coucher, il aie le sourire, de préférence grâce à toi. Tu l'avais vu s'avancer, et t'avais encore essayé de te redresser, pour mieux le regarder, mieux capter son regard et son attention. T'avais pas pu t'empêcher d'un peu de mordre la lèvre, quand il fut proche de toi et qu'il te caressa les joues. Tu l'avais regardé, droit dans les yeux, en souriant. Tu le regardais avec amour, avec envie.
« Je pense.. Que j'ai rarement été aussi sûr de ce que je voulais. Tant que.. Tu es sûr que tu le veuilles aussi. »
Parce que c'était important aussi, c'était même ce qui t'importait le plus pour le moment. T'étais parti pour venir lui caresser la joue, avant de réaliser que tu ne pouvais pas bouger tes m a i n s. Tu ne pouvais t'en prendre qu'à toi même à ce niveau là. Eh bien tu te contenterait de totalement être à sa merci, en appréciant totalement ses lèvres sur ton visage. T'avais juste un peu avancé ton visage, pour l'embrasser aussi. Assez chastement, mais c'était tellement agréable aussi. T'avais l'impression d'en avoir tellement besoin, de cette douceur.
« J'en suis même plus au point ou j'ai envie de t-toi, j'ai.. Je te veux. Toi, tout ce que tu es en mesure de m'apporter, de me donner.. Toi. »
Pourquoi dès que tu le voyais, même juste quelques secondes, ça arrivait à te déstabiliser. Pourtant ce n’était pas comme si c’était une chose extrêmement facile à faire d’habitude .t’arrivais à avoir une certain concentration quand tu le voulais. Totalement partie là tout de suite, mais t’en avais pas vraiment besoin, fort heureusement. Et le peu que t’avais avait été captivée entièrement par le blond. Même encore plus que d’habitude, vu sa position et même tout son être. Tu ne t’étais clairement pas attendu à ça en rentrant, certes, t’avais bien espéré pouvoir le voir, même si t’aurais compris qu’il soit déjà en train de dormir, mais tu t’étais attendu à parler tranquillement, simplement. C’était beaucoup mieux que tout ce que t’avais imaginé, oui. Une fois de plus, tu l’admirais et tu le voulais plus que tu ne le devrais. Bon, au point où t’en étais, ça ne t’étonnait absolument pas. Ce qui t’étonnait par contre, c’était encore d’arriver à le quitter le matin pour aller travailler alors que t’avais la possibilité de rester près de lui plus longtemps et t’éviter des heures de lassitude, ou tu ne pouvais t’empêcher de penser à lui presque tout le temps. Certes tu pouvais toujours lui envoyer un hibou si t’avais vraiment envie de lui dire quelque chose, mais c’était rarement très percutant, et tu te disais qu’il avait sûrement bien mieux à faire aussi que de lire tes conneries. Ca ne t’empêchait pas de le faire quand même de temps en temps. Enfin, heureusement qu’il ne t’avait pas prévenu de son idée, sinon t’aurais sans doute trouvé la première excuse un tant soit peu plausible pour partir directement de Sainte-Mangouste et venir ici. Puis l’aurais pas eu non plus l’effet de surprise, en fait. Ce qui aurait été bien dommage.
« ▬ Je ne pensais pas que tu serais aussi tenace pour faire des nuits blanches ! C’est un très bon plan aussi ! T’es trop gentil, surtout que tu sens déjà bon de base et que j’ai toujours trouvé ta peau extrêmement douce, je n’ose même pas imaginer ce que ça peut être maintenant. Jusqu’à maintenant, c’est ce que t’as toujours fait, je ne sais même pas où tu trouves toute cette énergie et ces idées, mais t’imagines même pas à quel point ça peut me faire plaisir. Non, non, t’inquiètes absolument tout me va, même si je ne vais pas te cacher que je ne pourrais pas faire quoique ce soit qui impliquerait de ne pas pouvoir profiter de tous les efforts que tu as pu fournir pour cette soirée. »
Tu n’imaginais même pas un seul instant pouvoir t’éloigner de lui tout simplement et de pouvoir enlever tes mains de sa peau, même si tu t’étais promis de ne pas y aller trop rapidement, voir même de ne rien faire tant que tu ne serais pas certain qu’il ne faisait pas uniquement ça pour te faire plaisir. T’avais bien compris que ce n’était pas le cas en croisant son regard, t’avais même pas eu besoin d’utiliser ta capacité de legilimens pour comprendre. Tu ne l’aurais jamais utilisée sur lui d’ailleurs, à moins qu’il ne te le demande, ou que ça ne puisse l’aider. Bien que ton regard était descendu quelques secondes, lorsqu’il s’était mordu la lèvre. Une lèvre, des lèvres que t’avais autant envie de maltraiter que de chérir. Une indécision constante que t’allais devoir bientôt régler. Si c’était ton unique problème du moment, c’est que tout allait extrêmement bien. T’avais pas pu t’empêcher de bouger un peu ta main, pour venir lui caresser cette lèvre du pouce, en remontant ton regard vers le sien, souriant encore un peu plus. C’était même plus simplement un sourire franc, tu sentais toi-même qu’il était inhabituel, même un peu indescriptible, sans doute parce que tu n’avais jamais ressenti ça pour qui que ce soit.
« ▬ C’est.. parfait alors, je n’ai jamais été aussi certain de quoique ce soit non plus dans ma vie. Je pensais avoir développé une certaine dépendance à l’alcool, mais c’est franchement rien à côté de celle que j’ai développée pour toi. Beaucoup moins nuisible d’ailleurs, je ne peux que mieux m’en porter. »
T’avais même l’impression que ça ne pourrait que vous être bénéfique, tant que vous ne vous posiez pas de questions existentielles. Même si c’était un peu nécessaire, t’avais pas la foi de le faire tout de suite. Ce n’était clairement pas dans ses intentions, et t’avais juste envie de profiter aussi. T’avais laissé ton regard vagabonder sur son corps, t’étais venu lui embrasser doucement l’épaule, descendant une main sur sa taille avant de relever un peu la tête, laissant Tomos venir t’embrasser à sa guise. C’était tellement doux, c’était tellement chaud. Et réconfortant aussi. quelque chose dont tu n’allais clairement pas te plaindre. T’étais venu lui caresser doucement la nuque, quelques secondes, avant de descendre ta main le long de son dos, entre ses bras. Comment une peau pouvait être aussi agréable au toucher, c’était une très bonne question. Tu t’étais assis juste à côté de lui, avant de le tirer un peu vers toi. T’avais juste envie de le sentir sur toi, d’avoir la meilleure place pour pouvoir le caresser absolument partout où tu le pourrais. De l’admirer, encore et encore.
« ▬ Tu me flattes énormément, et…Je te donnerai absolument tout ce qui est en mon pouvoir, même…plus. Je ne pensais pas dire ça à quelqu’un un jour, ni être spécialement prêt à le faire, mais…Je suis tout à toi. »
La plus belle des surprises Qu'est-ce que t'aurais fait, s'il n'était pas revenu ce soir ? Tu ne savais pas pourquoi ça aurait été le cas, mais imaginons. T'aurais fait quoi. Tu te serais senti mal. Un peu con, surtout. Tu te serais endormi, dans ce merveilleux fauteuil. Au milieu des pétales. Et t'aurais fait comme si de rien n'était, demain. Mais tu t'estimais tellement heureux qu'il soit là, qu'il n'ait pas fui. Tu pourrais presque en pleurer de joie. Mais tu te sentais d'humeur bien émotive, aujourd'hui. Un rien te faisait frissonner, quelle que soit la nature du frisson.
« Moi non plus figure toi.. ! J'ai trouvé aussi.. Je t'en prie, ça m'a fait plaisir et du bien de faire ça.. Aussi douce que possible, je l'espère. Tu n'as qu'à vérifier par toi même.. je ne sais pas, je pense que.. Tu m'inspires. J'en suis plus qu'heureux, merci beaucoup.. ! »
Parce que ça te faisait aussi plaisir, de savoir qu'il appréciait ton idée. Tes idées, même. C'ét ait bon pour ton ego, certes, mais c'était bon pour toi tout court. Pour ton bonheur. Et qu'est-ce qu'il allait bieeen ton bonheur actuellement. Encore un peu plus depuis qu'il te caressait la lèvre. T'avais de nouveau soupiré, louchant un peu sur ce pouce, pouce sur lequel t'avais fini par doucement passer ta langue dessus.
« O-Oh.. ! Je suis heureux de te l'entendre dire.. ! C'est.. Merci beaucoup. Je suis sûr que je pourrais totalement oublier l'alcool, et ne me contenter que de toi. De tes regards, tes paroles.. Tes contacts. C'est sûr que ça ne peut absolument pas nous être nuisible ! »
Ohh que non. Bien au contraire. Ca pouvait vous faire tellement de bien, tu le savais. Tu le voulais tellement, tu l'espérais. T'étais tellement content d'avoir pu l'embrasser librement. T'avais l'impression que ça n'avait jamais été aussi agréable, mais t'en avais l'impression à chaque nouveau baiser. Et ses mains, à la température parfaite pour que tu te sentes bien. Tu t'étais un peu rapproché de lui, comme t'avais pu. Mais ça avait été plus facile quand il t'avait un peu tiré contre lui. T'étais si bien contre lui. Comme si t'étais juste destiné à te trouver contre lui. T'y croyais oui, et avec une grande volonté. Tu lui avais souri, et t'avais embrassé sa joue.
« C'est la vérité.. ! Merci énormément.. T-T'as pas idée d'à quel pont ça me rend heureux.. »
T'en avais les yeux un peu larmoyants, mais c'était vraiment que du bonheur. Vraiment que du bonheur. T'en avais rarement autant ressenti, putain. Et ça faisait un bien fou.
Qu’est-ce que t’allais bien pouvoir faire, pour le remercier à sa juste valeur. Pas que pour ça non plus, pour le remercier d’exister, d’être aussi proche de toi, de passer autant de temps avec toi aussi. Parce qu’il aurait très bien pu aller se coucher. Penser à lui et aller dormir tranquillement plutôt que de trouver tous ces pétales et les disposer comme ça. Tu ne le remercierais jamais assez pour tout, en fait. Puis surtout, de faire ce genre de choses. T’aurais sûrement pas osé, à sa place. Et t’aurais eu l’air bien con du coup, à juste y penser. Mais au moins, maintenant, tu savais que ça ne le dérangerait pas. Autant retenir, parce que tu ne voulais pas qu’il soit le seul non plus à faire des efforts. T’avais envie d’en faire, et qu’il les apprécie autant que tu pouvais apprécier les siens.
« ▬ N’en cumule pas trop non plus, après ça va juste te nuire eet personne ne veux ça. Tant que t’y prends aussi du plaisir, c’est tout ce dont j’ai besoin. Aah, ne t’en fais pas je te crois totalement et tu n’auras pas à me le dire deux fois pour que je vienne tester ça ! Déjà rien que d’ici, elle a l’air absolument parfaite ! Ah oui ? J’en suis extrêmement heureux et flatté, je n’aurais pas voulu être celle de quelqu’un d’autre, vu tout ce que tu peux faire. »
T’étais certain que les idées des autres bah elles étaient toutes moins bine, voilà tout. Que de toute manière c’était Tomis qui avait les meilleurs, ça ne pouvait pas être autrement. C’était même le meilleur tout court, t’avais pas ç chercher plus loin. Et même si tu n’avais que caressé son visage là tout de suite, tu ne pouvais que constater qu’il était effectivement extrêmement doux. Tu te faisais peut-être des idées, ou alors t’avais juste tellement envie de le croire que tout ce qu’il te disait devenait réel, mais c’était tellement agréable. Comme sa langue sur ton pouce, une sensation assez indescriptible, mais que t’étais pas prêt d’oublier. En même temps, qu’est-ce que tu pourrais bien oublier de lui ? Absolument rien. C’était con mais tu l’avais dans la peau. Sans doute depuis des années, mais tu ne te l’avouais que depuis quelques mois. Si par moment ça compliquait les choses, là tout de suite t’avais juste l’impression d’atteindre le summum de ton bonheur. Alors que tu le touchais à peine.
« ▬ Je pourrai te le répéter des milliers de fois si ça peut te faire autant plaisir ! Moi…aussi très clairement. Enfin, je sais qu’on finit souvent par boire ensemble mais..Tous les baisers qu’on a pu échanger étaient tellement plus enivrants que n’importe quel verre et n’importe quelle cuite. Merci…Beaucoup. Je ne pourrais plus vivre sans les tiens non plus. Pas du tout, jusqu’ivi ça n’a…qu’amélioré ma vie. »
Pas qu’un peu, d’ailleurs. Ce baiser te le prouvait bien une nouvelle fois. T’avais envie de réitérer, encore et encore, mais autant faire chaque chose en son temps. Parce que t’avais toujours autant envie de l’admirer. De prendre le temps de ressentir chacun de ses mouvements, tout. T’avais laissé ta main parcourir un peu son torse, pas spécialement distraitement. T’avais envie de connaître son corps par cœur, de pouvoir te le remémorer lorsqu’il ne serait pas spécialement à tes côtés. Peut-être que tu ferais des rêves encore plus réalistes, mais est-ce que ce serait un problème. Absolument pas. T’avais envie de pouvoir te remémorer de chaque détail, de sa texture si particulière, de sa température, si chaude par rapport à ta main actuellement.
« ▬ Avec plaisir ! Eh, c’est moi qui devrait te remercier pour ça, j’aurais…pas pu trouver meilleur sens à ma vie. Dès que…je me sens mal, ou que ça va mal je…pense à toi et généralement tout va mieux. Alors être à toi… »
Rien que le dire arrivait à te faire un peu frissonner .a moins que ce ne soit de l’avoir vu aussi heureux. Et ça te réchauffait tellement le cœur de le voir de la sorte. T’atais à ton tour venu lui embrasser un peu la joue, avant de te pencher un peu vers lui, venant prendre sa jambe la plus éloignée de toi, pour pouvoir un peu la tirer vers toi, au-dessus de tes jambes même. Si l’avoir à côté de toi avait déjà été assez agréable, l’avoir sur toi était assez indescriptible. Tu ne savais même pas par où commencer. T’avais remonté ta main encore sur sa jambe, pour venir lui caresser entièrement le torse, tout en le regardant, souriant un peu. Tu t’étais un peu redressé pour venir poser quelques baisers sur sa mâchoire. T’avais envie de tellement de choses actuellement ,qui le concernait toutes absolument. T’avais pas attendu très longtemps non plus pour l’entourer de tes bras et l’inciter à venir se coller encore un peu plus contre toi.
La plus belle des surprises C'était vraiment confortable, en fait. Tu t'en étais déjà rendu compte avant, mais encore plus maintenant que tu étais tranquillement posé, que tu pouvais observer Eltanin. Eltanin qui te paraissait déjà si beau et majestueux. Trop habillé oui, mais si beauuu.
« T'iinquiètes paaas. Oui ! J'attend sagement.. ! Merci beaucoup. T'inquiètes pas, personne d'autre ne m'inspire et ne me dire aussi envie que toi.. »
Ca c'était certain. Absolument personne. Sinon, tu ne rêverais pas autant de lui, de ses lèvres. De tout. Tu n'aurais pas autant de motivation à lui faire plaisir. T'avais fini par juste lui embrasser le pouce, en souriant. C'était intéressant, la sensation de sa peau contre tes lèvres. Et ça te donnait envie de redécouvrir tout son corps, juste avec ta bouche.
« Merci.. Oui, je trouve aussi, ils me font tourner la tête, d'une manière tellement agréable.. J'ai l'impression d'être au paradis, quand je suis avec toi, qu'on est ensemble et proches.. »
Mieux que le paradis, si ça pouvait exister. Tu avais regardé sa main, en souriant un peu, profitant de la sensation que ça te procurait. Si agréable. Sa main était légèrement fraiche et t'avais l'impression de rarement avoir été aussi soulagé, parce que t'étais brûlant. Au sens propre comme au sens figuré.
« Je suis content que ça te plaise.. ! J'aurais jamais cru ça possible, mais qu'est-ce que c'est agréable à entendre. »
Et pas qu'un peu. T'avais encore plus envie d'être contre lui. T'avais souri, en penchant la tête pour qu'il puisse mieux t'embrasser la joue. Et tu t'étais laissé entraîner, parce que t'étais absolument pas contre le fait de venir sur lui. Bien au contraire. Tu ne pouvais pas bouger tes mains pour le caresser, certes. Mais tu pouvais profiter de ses baisers sur ta mâchoire, t'avais l'impression que c'était encore plus agréable que normalement. Puis dès que t'avais pu tu t'étais blotti contre lui, la tête dans son cou à lui embrasser chaque parcelle de peau atteignable, doucement, avec langueur. C'était agréable.
Bientôt, t’allais plus pouvoir quitter ton travail, parce que t’aurais juste envie de rester près de lui. Et que ça te laisserait plus de temps pour lui préparer aussi quelques surprises. T’en avais tellement envie. T’avais envie de le voir être heureux au même point que le tiens. Envie de le voir heureux grâce à toi aussi. Mais là t’avais un peu du mal à faire autre chose qu’à l’admirer. Tu ne savais pas comment un corps pouvait être autant sans défauts. Comment la vue d’un corps simplement pouvait te mettre dans cet état. Un état que t’appréciais et que tu cautionnais totalement.
« ▬ Ca ira nettement mieux quand je te verrai dormir ! Eh, je crains assez fort de ne pas pouvoir le faire aussi sagement que toi, surtout en te voyant comme ça ! Tu me touches, énormément, je sais pas comment t’arrives à le faire de plus en plus à chaque fois ! Ah oui ? J’en suis plus que flatté, et je peux t’assurer que…Toi aussi pour ma part. »
T’avais un peu penché la tête en le regardant et en souriant encore un peu plus. Strictement personne d’autre ne pouvait te faire sentir de la sorte, rien qu’en te regardant, te parlant. T’avais jamais été fasciné par qui que ce soit, alors qu’ici, fasciné était un euphémisme. Rien que ce baiser, sur ton pouce, alors que c’était quand même quelque chose de simple. Et bien il le rendait incroyable.
« ▬ Exactement, et je suis content que…ce soit le cas pour nous deux. Ils sont tellement agréables, comme tout ce que…tu peux me faire. Ah oui ? C’est ce qui s’en rapproche le plus pour moi aussi, c’est…Je suis jamais aussi heureux qu’en ta compagnie. Sans parler de ta proximité, c’est même plus du…bonheur à ce point)là. »
T’aimerais bien pourtant, arriver à le lui décrire. Ca serait nettement mieux. Mais en attendant, t’allais surtout essayer de le remercier comme tu le pouvais. T’avais l’impression qu’il appréciait le fait que tu le caresses comme ça, alors t’allais pas t’arrêter. T’allais même continuer en descendant ta main et en venant un peu sur sa jambe. T’étais venu déposer un baiser dessus aussi d’ailleurs, en t’abaissant un peu. Sa peau était tellement chaude, t’avais pas envie de la quitter, t’avais envie d’y laisser tes lèvres éternellement. Mais t’avais tellement de choses à faire, à lui faire même.
« ▬ Tu peux l’être, oui ! Je ne pensais pas non plus, mais c’est ce qui le rend…encore plus agréable je trouve et surtout…particulier. Totalement comme toi. »
Il était particulier, même plus que ça. Il était tout ce que tu recherchais, t’avais l’impression. Tout ce dont t’avais besoin, aussi. T’en avais eu la certitude lorsqu’il avait bougé et qu’il s’était retrouvé sur toi. Une sensation assez incroyable, surtout que t’avais pas vraiment l’habitude de te retrouver en dessous, mais t’appréciais pour le coup. Plus que tu ne le devrais, une nouvelle fois. T’allais finir par avoir l’habitude. T’avais laissé ta tête retomber contre le fauteuil d’ailleurs lorsqu’il avait commencé à t’embrasser le cou. T’avais pas pu t’empêcher non plus de légèrement te cambrer en mettant une main dans le bas de son dos, juste pour le sentir un peu plus contre toi, beaucoup plus même. Bien que de ta main libre, t’étais venu desserrer ta cravate, en venant l’enlever totalement même. Ce serait nettement mieux, et ça serait plus facile au blond d’atteindre ton cou, en fait.
La plus belle des surprises T'arrêtais pas de t'étirer, depuis tout à l'heure. Déjà parce que c'était plus confortable comme ça pour toi, et ensuite parce que tu devais avouer que ça te plaisait bien, l'idée de lui faire envie. De paraître désirable. C'était pas ton truc habituellement, tu ne t'y connaissais pas trop et t'avais paas trop envie de paraître ridicule. Mais pour le coup, t'étais plutôt sûr de toi. Et ça faisait du bien.
« Je dormirai bien, je suis sûr. Tu peux faire tout ce que tu veux, honnêtement. Vraiment ce que tu veux.. Je sais pas mais j'en suis bien content ! Ouiii. Merci beaucoup.. !»
C'était tellement plaisant à entendre, t'avais l'impression d'être la personne la plus désirable du monde avec ce qu'il te disait là. Ca et la manière dont il te regardait. Ca te faisait chaud au coeur, littéralement.
« Je trouve aussi, mais ces baisers vraiment, ils sont magiques.. C'est super hein.. ? Je saurais même pas expliquer. »
Non, mais tu savais qu'il pouvait te comprendre. Tu le voyais, tu le sentais. Et ça te mettait dans un tel état.. T'étais tellement content, oui. C'était rien de le dire. T'avais frissonné en sentant ses lèvres sur ta jambe, et t'avais un peu fermé les yeux. Pourquoi c'était agréable t'en savais rien, mais t'aimerais bien que ça reste comme ça.
« Tes compliments sont vraiiiment les meilleurs, ils me font tellement plaisir, ce sont d'ailleurs les seuls.. »
Les seuls qui pouvaient te faire rougir comme ça, surtout. T'étais tellement bien, ici. Contre lui. C'était frustrant de ne pas pouvoir le caresser, très frustrant, de ne rien pouvoir faire de tes mains. Mais ça te forcait à trouver d'autres moyens de l'atteindre, à trouver d'autre moyens de profiter de ton corps contre le tiens. A etre patient, te réjouir du simple fait de pouvoir avoir un meilleur accès à son cou. Tu soupirais contre son cou, continuant d'y déposer quelques baisers tous plus agréables à appliquer les uns que les autres. T'avais pas résisté à la tentation de passer ta langue dans son goût, appréciant le léger goût, la texture. Tu n'allais pas le marquer pour le moment. Juste profiter tranquillement.
Un jour t’allais peut-être fini par faire une crise cardiaque, à force de voir le rythme de ton cœur s’emballer en le regardant et en détaillant chaque geste qu’il pouvait faire. T’espérais pas, parce que t’avais envie d’en profiter, le plus possible, le plus longtemps possible. Surtout lorsqu’il était aussi désirable. Tu ne savais même pas où tu trouvais le self-contrôle d’arriver à rester à une distance presque normale de lui et de te contenter de lui caresser un peu les bras et le visage. La réponse était toute trouvée, tu le respectais, plus que tout, et tu voulais t’assurer qu’il ne faisait pas ça juste pour te faire plaisir. Ca aurait été vraiment triste. Et il ne méritait pas ça du tout. Il méritait que ce soit réfléchi et qu’on ne profite pas de lui, en fait. Même s’il avait l’air extrêmement motivé là tout de suite et que ça ne pouvait que te faire plaisir.
« ▬ Paarfait ! Je t’accompagnerai t’en fait pas eet je vérifierai. Aaah, faut pas me dire ça comme ça, je vais finir par perdre le peu de sang-froid que j’ai encore et je pense bien que tu ne sortira plus jamais d’ici. »
Déjà là t’étais pas certain deee le laisser. Tes lèvres n’en avaient visiblement pas envie, étant donné qu’elles n’arrivaient déjà plus à quitter sa peau. Tu l’embrassais partout où tu pouvais, en changeant régulièrement d’endroit. T’avais pas envie qu’une partie se sente délaissée. Ni d’en manquer une. et entre deux baisers, tu pouvais le regarder. T’aurais pas pu t’en empêcher de toute manière.
« ▬ Totalement, je ne savais même pas que…ce serait possible. T’embrasses tellement bien aussi, je sais plus si je te l’avais déjà dit. Bien plus que ça ! Moi no nplus si ce n’est que j’ai pas l’impression d’en pouvoir m’en passer. »
Maintenant que tu connaissais ce sentiment, ça allait vraiment être difficile. Comme il te serait difficile de ne plus te permettre de le caresser, de l’embrasser. Là tout de suite ça t’avait même l’air encore plus important que de respirer. T’avais besoin de le sentir, de sentir sa peau, sa chaleur, peu importe la manière.
« ▬ Je t’en ferai encore plein, des tonnes même. Ce n’est pas comme si tu en inspirais aucun. Ah oui ? Faut dire que tu es…le seul à qui j’aime en faire aussi. »
C’était un peu bizarre dit comme ça, mais tu ne te sentais jamais aussi bien qu’en lui en faisant. Une manière de lui exprimer ton amour, dans un sens. Puis si en plus, ça pouvait le faire rougir. Il était plus que magnifique, comme ça. T’avais un peu plus souri en venant l’embrasser tendrement. Tu ne savais même pas comment t’étais capable de faire preuve d’autant de douceur, mais t’étais bien content de l’être, pour lui. Même si ça n’allait peut-être pas spécialement durer longtemps, t’avais envie, envie de trouver ce qu’il appréciait le plus, ce qui lui procurerait le plus de plaisir. Tu pourrais juste le lui demander, mais t’avais envie de le découvrir par toi-même. T’avais envie de voir chacune de ses émotions, ressentir chacun de ses frissons, de constater lequel serait le plus violent. En attendant, c’était toi qui en avait, lorsqu’il avait passé sa langue dans ton cou. Une sensation bien trop agérable, qui t’avait fait soupirer de bien-être assez fort d’ailleurs. T’avais un peu fermé les yeux, quelques secondes, en venant caresser son dos de tout son long. T’avais laissé tes mains terminer sur ses fesses, prenant tout ton temps pour les caresser, profiter aussi de leur douceur. De les serrer un peu en essayant de l’attirer encore un peu plus contre toi.
La plus belle des surprises T'arrivais à sentir l'envie dans son regard, et c'était tellement plaisant. Plus que ça. C'était affreusement agréable, t'avais l'impression de brûler intérieurement et c'était bien plus bon que tu ne l'aurais pensé. Rien qu'un léger contact comme ses doigts le long de ton bras c'était trop bon et ça te faisait sourire.
« Ca me vaaaa. Et ça aussi ça me va ! J'ai envie.. De voir ce dont t'es capable.. »
Et t'avais bien envie de ne plus jamais sortir d'ici, en fait. Ca pouvait être agréable. Parce que t'étais trop bien ici, tu te sentais tellement bien. Et t'avais l'impression d'être comblé, avec ses baisers. T'avais besoin de rien d'autre dans ta vie. Ca et son attention, en fait.
« Moi non pl u s. Mais j'en suis bien content. Tu trouves ? J'aurais pas pensé, mais tant mieux ! Je sais vraiment pas m'en passeeer. J'aimerais t'en faire absolument tout le temps. »
Dès que tu le voyais, en fait. Vraiment, ouais. Mais bon, ça ne serait pas pratique de vivre comme ça. T'aimerais, hein. C'était tellement agréable, votre dernier baiser ne faisait qu'un peu plus te convaincre. T'aurais aimé pouvoir aller lui caresser la joue, actuellement.
« J'ai hâââte. Merci beaucoup.. ! Ca me rend vraiment heureux,. ! Et puis ça.. M'évite d'être jaloux, hehe. »
Même si t'avais l'impression d'être un con en admettant ça, tu voulais le lui avouer, tu voulais qu'il sache absolument tout de tout. Tout. Surtout qu'il sache que t'appréciais énormément ce qu'il faisait, dont ce baiser. Tellement d o u x. Pourquoi c'était aussi géniaaal. T'espérais que ça l'était pour lui aussi. Mais en le sentant frissonner comme ça tu n'en doutais pas trop. T'avais soupiré, et aussi frissonné en le sentant caresser tes fesses. Ca t'avait fait sourire, et t'avais commencé à un peu bouger, contre lui.
Très sincèrement, l’apocalypse aurait pu se dérouler là maintenant tout de suite, que t’en aurais rien eu à faire. Du tout. Parce qu’il te captivait beaucoup trop, parce que tu ne pouvais pas penser à autre chose qu’à lui, ni même regarder quoique ce soit d’autre que lui. Parce que t’avais envie de lui, et encore c’était un euphémisme. T’arrivais plus à le lâcher tout court. T’arrivais plus à arrêter de sourire, en fait c’était un peu comme s’il dirigeait absolument toutes tes pensées et tes gestes. Un peu le cas. Et t’adorais ça, de ne pouvoir rien faire contre, de savoir que tu cèderais à chacune de ses envies. T’en avais frissonné rien qu’à l’entendre.
« ▬ sans aucun problème, mais si tu as des envies particulières, je serai ravi de les accomplir, chacune d’entre elles. Et…si jamais quelque chose te dérange ou ne te plaît pas, n’hésite pas non plus à le faire remarquer directement. »
T’avais un peu souri, avant de lui embrasser la joue, une nouvelle fois. T’avais pas envie de le forcer à quoique ce soit. Surtout pas. Mais si ça pouvait lui faire plaisir, tu tenterais quand même. T’avais envie de tout essayer avec lui. De trouver ce qu’il préférerait et de lui faire vivre les meilleurs moments de sa vie. De lui faire vivre une vie paisible et où il serait heureux tout le temps, même en lui faisant des petites attention.
« ▬ Oui, j’ai jamais…vécu ça de ma vie, je sais pas comment tu fais, mais c’est…tellement spécial, à chaque fois. Je pensais pas qu’on puisse me faire ressentir ça, juste avec un baiser, tu les rends tous spéciaux. Ooh, tu peux, ça ne me dérangerait absolument pas ! »
T’avais un peu ri, ça faisait du bien de lui parler aussi franchement. Ca faisait du bien de le voir comme ça aussi, de le sentir sur toi et de pouvoir faire absolument tout ce que tu voulais. Même si tu restais assez simple pour le moment, t’avais pas envie d’abuser, puis même ça, c’était assez agréable. Et ce qui était parfait c’était que t’avais la bonne position pour pouvoir lui embrasser le torse aussi et l’épaule.
« ▬ T’auras pas à attendre longtemps ! Ah oui ? Je continuerai, je ferai tout pour que tu le sois le plus possible…tout le temps si j’y arrive ! Oh, je ne te connaissais pas comme ça, mais…je t’avoue que j’ai bien l’impression de commencer…non, de l’être avec toi. »
Et ça, c’était bel et bien une première. Si tu te l’étais dit il y avait quelques mois, t’aurais sûrement ri en fait. C’était ça aussi qui le rendait si spécial, que tu prenais tout à cœur dès que ça le touchait. T’étais tellement différent, avec lui. Et t’appréciais. Enormément, comme le fait qu’il commence à bouger contre toi. T’en avais soupiré, plus fort que tu ne l’aurais cru, d’ailleurs. T’avais pas pu te retenir de l’embrasser, avant de le laisser parler. Et heureusement que tu l’avais laissé faire. T’avais dégluti, avant de sourire et de lui prendre le visage entre les mains, assez doucement, pour mieux pouvoir le regarder.
« ▬ Moi aussi, beaucoup trop même, mais ce n’est pas du tout un problème. »
Clairement pas, non. Tu avais caressé son visage quelques secondes, juste en le regardant, avant de baisser une de tes mains, vers ta ceinture. T’étais pas certain de ce que tu faisais, mais t’avais envie d’essayer. T’avais pas eu trop de mal encore à l’enlever, et t’étais venu la mettre autour de son cou, sans trop serrer. Tu le ferais s’il le demandait, mais en attendant t’allais surtout la laisser comme ça, et passer deux doigts entre elle et son cou, tirant un peu pour avoir plus de facilité à l’embrasser, un peu plus langoureusement que tu ne l’aurais pensé.
La plus belle des surprises Depuis tout à l'heure, tu te plaisais à le regarder comme si c'était la plus belle merveille du monde. Ca l'était, pour toi. A tes yeux, il était la personne la plus merveilleuse au monde. Et l'unique personne qui comptait pour toi. T'avais l'impression que personne d'autre n'existait, actuellement. Et c'était plaisant.
« Promis, je te dirai tout. Absolument tout. Mais pour le moment je croiiiis que tout me fait envie. Mais je te le dirai, promis juré. »
T'avais souri, pendant qu'il t'embrassait la joue. T'espérais qu'il allait te faire encore d'autre bisous, que ce soit sur la joue ou non, parce que c'était vraiment agréable. Et parce que ça faisait encore plus monter ton bonheur.
« Merci beaucoup, c'est gentil.. J'essaierai de faire en sorte qu'ils continuent d'être aussi spéciaux. Eeeeheheh je vais t'en faire tout le temps alors. »
Mais après vous alliez avoir les lèvres irritées. Bah tant pis, si c'était le prix à payer pour lui faire plein de bisous. Ca t'avait fait sourire, encore plus depuis qu'il était venu t'embrasser le torse et l'épaule. T'allais aussi un peu te pencher, pour lui embrasser la joue.
« Tant mieux. Même si j'peux être patient ! Merci beaucoup.. ! Ehheh t'inquiètes, je peux faire comme si je ne l'étais pas si ça te dérange. En tout cas de mon côté ça ne me dérange absolument pas.. ! »
Ah bah certainement oui, tu trouvais ça très flatteur et tu te sentais tout content et fier de le savoir. T'étais momentanément redevenu rouge de bonheur, ce qui n'allais pas diminuer si tu continuait de bouger contre lui. Mais t'avais pas envie de t'arrêter tant qu'il ne te le demandait pas. Puis du bougeais de toute façon doucement. Et t'avais encore plus ralenti quand il t'avait pris le visage entre les mains.
« Absolument pas.. ! »
T'avais profité de la main sur ta joue, en soupirant de bonheur. C'était agréable. Tu l'avais regardé faire en souriant, un peu curieux. Tu ne t'étais pas spécialement attendu à ça, mais t'étais pas contre du tout. T'avais un peu penché la tête en arrière pendant un moment, et t'avais hoché la tête doucement pour montrer que t'étais claiiirement d'accord, en fait. Dire que t'étais encore plus excité depuis l'arrivée de cette ceinture autour de ton cou était juste un euphémisme, oui. Et t'avais compensé le fait de ne pas pouvoir le caresser par celui de répondre à son baiser avec amour, et un léger sourire aux lèvres.
Tu ne pourrais jamais te lasser, de son regard, parce qu’à chaque fois que tu pouvais le regarder, t’arrivais à y trouver quelque chose qui te plaisait au plus haut point. Comme là tout de suite, t’aurais pas su tout déceler mais t’arrivais presque à palper ce sentiment qui s’en dégageait, et il te donnait l’impression d’être quelqu’un de bien, d’être désiré. On ne t’avait jamais regardé de la sorte, et t’en étais tellement reconnaissant. Même plus que ça. Et il était tellement tout, tout ce dont t’aurais pu rêver dans ta vie. Même si clairement, dernièrement t’avais plutôt essayé de repousser tout ce qui aurait pu se rattacher de près ou de loin à quoique ce soit de sentimental. Mais ici, c’était différent. Sans doute parce que Tomos était dans ta vie depuis presque toujours. Que vous aviez toujours été proches. Que t’avais déjà plus qu’effleuré l’idée de vous retrouver dans ce genre de situations.
« ▬ Parfait alors, parce que j’ai bien envie de faire passer tes envies et ton bonheur bien avant tout. »
Surtout que t’étais pas non plus quelqu’un de très difficile, encore moins avec lui. Parce qu’au fond, ce qui te ferait le plus plaisir, c’était de le voir heureux, satisfait sur tous les points. Et t’espérais bien être celui qui arriverait à le faire. Celui qui occuperait ses pensées. Déjà que tu étais celui pour qui il faisait tous ces efforts, ça te rendait presque dingue. Dans le bon sens du terme.
[color=gold] « ▬ De rien ! Te forces pas, c’est, et ce sera toujours…parfait, autant que spécial. Ooh, je ne vais certainement pas m’en plaindre, ce serait même la meilleure chose qui pourrait m’arriver après t’avoir près de moi, j’en suis sûr ! »[color]
Tu pourrais le faire absolument toute ta vie, sans te lasser un seul instant. Rien ne te lasserait avec lui. Surtout pas ses baisers sur la joue. Surtout pas sa proximité, sa présence, sa voix, son odeur ou encore son regard. Vu ton incapacité à faire autre chose que de le fixer et l’écouter dès qu’il parlait, en continuant de le caresser distraitement, t’aurais presque cru que t’étais en transe. Vu sa capacité aussi à hacher un peu ta respiration, même sans rien faire spécialement.
« ▬ Mmh, ce n’est pas non plus dans mes projets de te faire languir extrêmement longtemps. Oh non, clairement pas, ça…rajoute quelque chose je trouve ! Puis je n’ai pas envie que tu te forces à…changer quoique ce soit. Tu ne verra pas d’inconvénients à ce que je te laisse encore plus de marques alors ? »
Ton sourire s’était un peu plus étiré, surtout en le voyant rougir, t’avais pas pu attendre sa réponse avant de lui en faire une autre, en fait. En même temps c’était tellement agréable à faire. Et à regarder aussi. Tout comme les siennes, quand t’en avais l’occasion. En attendant, tu ne pouvais plus t’empêcher de lui caresser la taille et le dos en le sentant bouger contre toi. En lâchant malgré toi quelques soupirs au passage. Tu suivais un peu son mouvement en même temps, essayant de réduire le plus possible la distance qui pouvait séparer vos bassins.
Tu l’aimais tellement, à un tel point que t’étais certain que ça devrait être interdit. Peut-être que ça l’était, mais t’en avais clairement rien à foutre. Tu le voulais, tellement fort, comme tu voulais que ce moment soit le plus spécial possible. A la hauteur de ton cadet. Qui n’avait pas l’air contre tes initiatives, et t’avais pris le temps de lui embrasser la pomme d’Adam, en le voyant pencher la tête en arrière, avant d’y mettre ta ceinture. Et pourquoi même ça, lui allait tellement bien. T’avais tellement envie de lui, que ça en devenait indécent à ce point-là. T’avais un peu plus tiré sur le cuir en approfondissant le baiser, laissant ta main libre descendre le long de son torse, la mettant entre vous, pour pouvoir le caresser.
La plus belle des surprises T'avais senti tes lèvres s'étirer en un grand sourire. Quand tu l'entendais parler, quand tu l'entendais te dire ces choses t'avais envie que de sourire. Et envie de lui aussi, mais ça va de soi. Cette soirée se passait merveilleusement bien, et si t'avais un peu plus d'alcool dans le sang, t'en aurais pleuré de joie. Mais t'en étais pas encore à ce point, t'étais juste au point de te sentir super bien et ça faisait vraiiiment un bien fou.
« Tu sais bien comment me parler.. ! »
Parce que qui d'autre pouvait te faire autant envie rien qu'en te parlant ? Personne, t'en étais sûr. En même temps t'avais jamais tenté ce genre de choses avec d'autres personnes. Et c'était très bien comme ça parce que t'étais sûr qu'Eltanin était le seul à le mériter. A mériter n'impooorte lequel de tes efforts.
« Nan, ça me fait vraiment plaisir ! Ehh j'en suis bien content, vu que ça vient aussi de moi. »
Et t'étais fieeer. T'aimais bien être fier comme ça, ça faisait du bien. Comme ses caresses. Quoique, ses caresses étaient probablement plus agréable que n'importe quoi sur terre. T'en étais persuadé. Et tu plaignais les personnes qui n'avaient pas eu la chance de pouvoir en profiter, eh. Quoique, tu t'en foutais un peu de ces personnes, actuellement. Parce que tout ce qui t'importait c'était lui, et le bonheur ainsi que le plaisir que tu pouvais lui apporter.
« Je t'avoue que ça me rassure. Chouette alors.. ! Ca n'arrivera jamais, tu sais. Aucun ! Tu peux m'en faire autant que tu le souhaites, où tu le veux.. ! »
Parce que t'adorais ça, t'adorais le rendu, la signification, eeet surtout la sensation. C'était bon, bordel. Et probablement une des choses qui te faisaient le plus soupirer. Comme ses mains sur ta peau, des mains tellement belles que c'était la seule paire de main que tu trouvais vraiment intéressante à regarder et à toucher.
Et puis de toute façon t'aimais tout son corps. Pas que son corps bien sûr, mais tout son corps oui, tu l'aimais énormément. Sa bouge sur ta gorge, sa main qui te caressait et qui t'avait fait donner un coup de hanches plutôt involontaire mais pas désagréable.. T'en venais même à apprécier la texture de son pantalon contre ta peau, oui. Et t'aurais pas pensé apprécié avoir quoi que ce soit autour du cou, maiiis tu t'étais visiblement bien trompé et pas qu'un peu. T'avais soupiré pendant votre baiser, aux anges. Et le mieux dans tout ça c'est que tu ne te sentais même pas spécialement vulnérable.
Ça faisait tellement de bien, de le voir sourire de la sorte même s’il le faisait assez souvent lorsque t’étais en sa présence, mais pas à ce point, pas aussi spécialement non plus. T’aurais jamais imaginé un seul instant qu’il puisse t’attendre comme ça, qu’il en ait la patience aussi, parce que si ça se trouvait, il attendait depuis un bon bout de temps. Tu t’en voulais un peu même si c’était le cas. Sauf qu’il avait l’air on ne peut plus heureux, et tu l’étais aussi. Comment t’aurais pu ne pas l’être, en fait. Surtout en l’entendant dire ce genre de choses.
« ▬ Tant mieux, parce que je n’ai certainement pas envie de m’arrêter ni de continuer de te faire des compliments ! »
Surtout si ça lui plaisait autant. Etonnement ça te faisait plaisir aussi, de le voir si heureux, de lui dire ce genre de choses. T’avais pas pensé un jour que parler aurait pu faire autant de bien, c’était assez incroyable. Bien plus que ça. T’aurais presque l’impression que ça pourrait régler pas mal de problèmes, que ça pouvait t’aider à oublier pas mal de choses, ou en tout cas les améliorer. Comme de pouvoir passer autant de temps avec lui, de pouvoir lui voler quelques baisers au passage.
« ▬ Promis j’arriverai à te faire autant plaisir, voir même plus un jour ou l’autre ! Je ne suis pas certain que mes idées soient aussi bonnes que les tiennes, mais je tenterai de te surprendre quand même ! Oui, et c’est bien ce qui est magnifique et aussi plaisant. »
Rien ne pouvait l’être plus que quelque chose qui venait de lui, de toute manière. Tu pourrais même passer ta soirée à le regarder simplement qu’elle aurait été merveilleuse. Heureusement t’avais pas à t’en arrêter là. Parce que maintenant que t’avais commencé à le caresser, et à l’embrasser un peu partout t’étais pas certain de pouvoir t’arrêter si rapidement. Voir même pas du tout. Tu ne savais pas comment il pouvait être aussi fascinant, avoir la peau aussi douce et juste être aussi parfait à tous les points. Peut-être qu’il n’existait pas vraiment, au fond. Qu’il était une sorte d’être spécial. Ca ne t’étonnerait même pas, au fond. Sinon comment cela pouvait-il se faire que tu ne puisse plus t’arrêter de le regarder. Et de ressentir autant de choses pour lui. Des sentiments jusqu’ici parfaitement inconnus. Mais tous plus positifs les uns que les autres.
« ▬ J’aurais voulu que je n’aurais même pas pu résister plus de quelques secondes ! J’ai déjà du mal en temps normal, alors en plus maintenant…Je trouve aussi ! J’espère bien, parce que t’es…vraiment parfait. Ooh, t’en auras tellement que je ne saurai bientôt plus où t’en faire. »
Ca ne serait pas un problème, du tout, tu continuerais quand même de lui en faire s’il ne voulait. Et puis t’avais pas mal à faire encore aussi, à explorer. T’étais déjà bien heureux de pouvoir lui en faire dans le cou, même si tu savais que tu ne te cantonnerais pas à ça. Certainement pas. Tu pouvais lui en faire un peu sur le torse au passage. Il en méritait tout autant que le reste.
T’avais lâché un soupir plus fort que les autres face à son coup de hanche, lâchant un grognement plus fort que tu ne l’aurais voulu. Ce qui en soi n’était absolument pas grave, il avait bien le droit de savoir que t’appréciais. Beaucoup trop, même. Comme t’appréciais cette position, et le fait de pouvoir le caresser avec autant de facilité. Tu t’étais momentanément cambré, pour pouvoir enlever ton pantalon plus facilement, et dont tu n’aurais absolument plus besoin pour le moment, en fait. Un peu comme ta chemise, t’avais daigné relâcher la ceinture quelques instants pour pouvoir l’ouvrir, tu t’occuperais un peu plus tard de l’enlever totalement parce que votre proximité te manquait déjà beaucoup trop, tout comme ses baisers.
La plus belle des surprises T'avais tellement envie de lui faire plein de câlins, qu'il te tienne fermement contre lui, tu voulais être le plus souvent possible contre lui et te sentir rassuré. Parce que c'était tellement rassurant, de te trouver contre lui. C'était con, mais tu sentais que tu ne pouvais ressentir que du bonheur lorsque t'étais contre lui. Et c'était tellement agréable. Tellement agréable que t'avais plus aucune envie de quitter ses bras quand tu le devais. Mais t'avais pas envie de penser à ça, pas maintenant. Parce que pour le moment même si tu n'avais pas la possibilité de te servir de tes bras tu pouvais le sentir près de toi et contre toi, et ça faisait vraiment du bien, tu te sentais vraiment trop bien. Surtout avec ses compliments qui ne cessaient pas, et qui ne cessaient pas non plus de faire battre ton coeur.
« J'en doute pas du tout ! Ehh ne les critiques pas, je suis certain qu'elles seront très bien et que je serai plus heureux que jamais. T'as pas été à Serdaigle pour rien, ehh. Tu sais ce qui est magnifique et plaisant ? T o i. »
Ca c'était certain. Plaisant à regarder, à embrasser.. A pleiiin de choses. Et c'était tellement plaisant aussi de le sentir t'embrasser et te caresser, t'arrêtais presque pas de soupirer. En même temps, t'avais aucune envie de trop intérioriser ce que tu ressentais, tu voulais qu'il puisse savoir que tu te sentais merveilleusement bien.
« Ah oui ? C'est toujours bon à savoir ! Merci beaucoup.. ! Je demande à voir. »
Bien sûr que tu voulais voir ça. Tu voulais de toute façon voir tout ce qu'il pouvait te montrer et te donner. Dont ces dites marques, là où il voudrait t'en faire. T'avais qu'une envie actuellement, c'était de lui appartenir. Tellement fort. Tu ne savais même pas pourquoi, c'était un peu ridicule et tellement pas ton genre, mais pourtant. T'avais envie de l'entendre faire plus de bruit, encore. Au moins il avait ouvert sa chemise, et ça le fait qu'il ait lâché la ceinture te permettait de te pencher un peu pour venir embrasser son torse. Même si t'avais pas résisté bien longtemps à l'envie de venir retrouver sa bouche, avec ta langue, tes dents.
Tu ne savais pas comment il faisait pour être aussi magnifique, pour avoir une aura aussi attirante, et juste arriver à chaque fois à savoir ce dont t’avais besoin, peut-être même plus que toi-même. Parce que bon, même si t’aurais très bien pu penser à ce genre de choses, ça serait certainement resté de la partie du rêve. Ou en tout cas, tant que t’aurais été sobre, tu ne le lui aurais peut-être pas proposé, ou alors tenté que bien plus tard. Alors qu’il le fasse de lui-même, ça t’avait surpris, sans aucun doute, mais vraiment pas déplu. C’était même une sensation plus qu’enivrante, de le voir prêt à s’offrir à toi de cette manière, en sachant pertinemment que tu te plierais à la moindre de ses demandes. Alors que t’aimais généralement avoir le total contrôle de la situation, c’était un peu plus complexe avec lui. C’était peut-être ça aussi qui faisait monter autant ton plaisir, bien plus que d’habitude. Et parce que c’était Tomos, aussi. Un plaisir qui était encore plus monté en l’entendant d’ailleurs.
« ▬ Ooh, je ne critique rien, je sais juste que j’ai trouvé les tiennes toujours plus percutantes et spéciales ! Faut dire que ce qui me fait le plus plaisir dans la vie, c’est toi en fait. Mhh, c’est vrai, mais toi non plus tu sais ? Si tu continues à me faire autant de compliments de la sorte, je vais finir par te demander en mariage là tout de suite. Et si je le suis pour toi, je tiens à dire que t’es la personne la plus enivrante et hypnotisante de toute la terre de mon point de vue. »
Et pas seulement, d’ailleurs. Il y avait bien trop d’adjectifs pour le définir, mais tous les dire te donnerait moins de temps pour l’embrasser, et t’adorais t’accaparer de ses lèvres, étonnamment. Autant que t’adorais pouvoir le caresser, te remémorer de sa silhouette si harmonieuse, de sa peau bien trop douce pour tes doigts, ce qui ne leur empêchait vraiment pas de redessiner la ligne de sa colonne vertébrale, et de venir un moment lui prendre les mains en entrelaçant vos doigts quelques instants.
« ▬ Totalement ! J’aurais bien aimé pouvoir te partager les sensations que tu peux me procurer, tellement elles sont fortes et indescriptibles, mais je ferai de mon mieux pour te les retranscrire comme je peux ! Ehe, tu sais très bien que tes désirs sont des ordres. »
Surtout ceux de ce genre, que tu pouvais directement accomplir. Ou en partie, en tout cas. Parce que si t’adorais lui en faire, les regarder, t’aimais tout autant tout ce que tu pouvais faire le concernant. T’avais envie de te rendre aussi inoubliable qu’il pouvait l’être pour toi, t’avais envie de tellement de choses le concernant. Surtout de ne pas t’éloigner de lui. T’étais beaucoup trop avide de chaque contact que vous pouviez avoir, tu ne comprenais même pas pourquoi tu te mettais dans un tel état alors qu’il t’embrassait le torse, qui s’était empiré avec son baiser, e surtout le contact de ses dents, qui t’avais fait donner malgré toi un coup de bassin plus violent que ce que tu ne l’aurais voulu, t’avais quand même réussi à t’excuser, même si c’était avec un peu de mal, tu ne doutais pas du fait qu’il soit assez proche que pour l’entendre.
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