Et si on jouait ? Un petit numéro de séduction... | Opaleye

Date de naissance : 31/10/1997

et si on jouait ? un petit numéro de séduction... ft @Opaleye Nepia

parler, se faire écouter, n'est-ce pas séduire ? une nation qui a ses deux chambres, une femme qui prête ses deux oreilles, sont également perdues. eve et son serpent forment le mythe éternel d'un fait quotidien qui a commencé, qui finira peut-être, avec le monde.

Pari de m*rde! Pensa Artémis en troquant ses vêtements civils contre sa tenue de sport. Simple pantalon léger avec débardeur et chaussures assortis. Elle pesta en se rendant compte qu'elle avait oublié de prendre une pince...Et crotte! Bon, de toute façon, elle était ici pour se défouler, il n'y avait pas d'entrainement!

Fin prête, Artémis flanqua ses affaires dans le casier à son nom avant de se diriger d'un bon pas vers terrain d'entrainement....Où son regard venait de tomber sur...Elle fit une mimique entre un sourire et une grimace. Putain de deal! Qu'est ce qui lui avait pris? Pensa-t'elle. Artémis respira un bon coup, puis ouvrant la porte en grand lança: Salut! Je suis pas la seule à profiter du gymnase vide à ce que je vois! Puis sans rien ajouter d'autres, elle alla chercher un tapis de yoga pour faire ses étirements.

Fermant les yeux, Artémis partait sur du yoga. La jeune femme en avait quelques notions, apprises il y a des années quand elle avait failli se noyer et avait développé une peur phobique de la noyade. Parfois, cette peur allait jusqu'à ce qu'elle n'ose même pas s'approcher de l'eau...Ennuyant. On lui avait donc donné des cours pour gérer cela et, aujourd'hui, elle pratiquait encore de temps en temps.

©crack in time

J’attrape les barres et me soulève à la force des bras complètement dans mes pensées. Je profite du gymnase vide le matin pour travailler seule. Même si je fais des efforts avec le club de gym, m’entraîner seule est ce qu’il y a de mieux. Je tire sur mes abdos et remonte mes jambes autour de la barre avant de m’installer dessus. Mes cheveux sont tressés et je porte un justaucorps à manches longues de gymnaste rosé avec un léger sort au lieu de la forme classique. Je suis plus à l’aise comme ça. Je me laisse retomber sur les matelas avec un soupir. Ça fait du bien. J’aime bien profiter du silence de cette heure-là. Je remonte sur les agrés avec la force de mes bras. Tête en bas entrain de faire le cochon pendu je vois quelqu’un entrer… Une jolie rouquine avec un tapis. AHHHHHH. J’ai pas mon carnet. Impro. Tu peux le faire Opaleye !

« … Bonjour…Oui… j’aime le matin. »

OUI ! Bravo Opaleye ! Tu l'as fais ! C'est bien ! Même si avec ton accent à couper au couteau… pas sûre qu'elle ait compris ! Mais ce'st cool le matin : il n’y a personne et je peux travailler seule et en silence. Mais l’autre n’a pas l’air d’écouter, elle est sur son tapis. Tant mieux. Je continue de mon côté mon entraînement sans lui adresser un mot. Ce n’est pas moi qui vais faire le premier pas. Je passe à la poutre et continue les enchaînements que la cheffe rousse du club nous a montré. Ça passe bien ! Je souris en les faisant. C’est dur mais c’est très gratifiant de les réussir. Je finis ma gourde et m’essuie le visage d’une serviette avant de reprendre. Allez ! J’ai encore vingt minutes avant de devoir partir ! Je travaille sur ma souplesse, quand on grimpe les montagnes chez moi il vaut mieux être souple ! Même si ici je ne m’entraîne pas à grimper. C’est mieux que rien.

Date de naissance : 31/10/1997

et si on jouait ? un petit numéro de séduction... ft @Opaleye Nepia

parler, se faire écouter, n'est-ce pas séduire ? une nation qui a ses deux chambres, une femme qui prête ses deux oreilles, sont également perdues. eve et son serpent forment le mythe éternel d'un fait quotidien qui a commencé, qui finira peut-être, avec le monde.

« … Bonjour…Oui… j’aime le matin. » Waw! Elle était toujours aussi nerveuse!? Plus ça allait, plus elle se disait que ce paris n'allait pas être des chocogrenouilles! Artémis n'y prêta plus attention, le temps de placer son tapis de yoga pour faire ses exercices de respiration.

Pas spécialement détendue, son esprit vagabonda jusqu'à un souvenir précis. Celui du paris. Artémis était dans la cafétéria avec Ezra et leur groupe d'amis quand, va savoir comment, ils parlèrent de leurs coups d'un soir. Et va savoir pourquoi - encore une fois! - Artémis s'était vantée de pouvoir séduire qui elle voulait. Ses amis ne la croyant pas - merci les copains - la rouquine les avait mis au défis de choisir quelqu'un. Et ils avaient désigné cette albinos! Dans le feu de l'action, Artémis avait accepté.
Bon ben, pari tenu hein! Elle ne serait pas une de Beaumont si elle ne respectait pas ses promesses!

Mais la cible semblait...Bon, voyez-quoi! Artémis avait un peu près tout vu tout entendu mais elle avait plus l'habitude des "rentres-dedans"...Si on veut!

Bref, dix minutes de relaxations - qui ne l'étaient pas réellement - plus tard, Artémis vit la table de DJ avec les musiques prévues pour leurs enchaînements. Ha! Leur chère cheffe de club avait-elle oublié de ranger les dossiers? Artémis en profitant pour y jeter un œil. Au pif, elle en brancha un qui raisonna un peu trop fort dans les enceintes. Artémis diminua la sono puis croisa le regard d'Opaleye. Désolée!

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Je suis dans mon monde à travailler les séries et les mouvements que nous a demandé de faire la rouquine… D’ailleurs elle me fait peur ! Elle s’agite dans tous les sens, cours partout, parle, rit chante, fait ses trucs… Sans jamais reprendre son souffle. Je suis sûre qu’elle n’est pas humaine. Ce n’est pas possible d’avoir autant d’énergie, de sourire et … de relations ? Je n’en sais rien. Moi je reste dans mon coin et dans mes pensées. Comme ça je suis tranquille. Je m’intègre doucement dans le club, Nyx et Blanche m’effraient sérieusement… Blanche a eut le droit a un câlin de stress. Je grimpe sur la poutre et commence mes enchaînements sans faire attention à l’autre rousse.

Je sursaute et manque de me casser la figure quand la musique déferle dans le gymnase. « Désolé » ?! Je la regarde avec colère. Je ne sais même pas son nom… Je secoue la tête et accepte ses excuses d’un geste de la main. Faut se calmer dès le matin… On a pas idée de faire peur aux gens comme ça ! C’est n’importe quoi. Je consulte l’heure. De toute manière c’est l’heure pour moi d’y aller. Je range ce que j’ai dérangé avant de finir de m’essuyer la figure. Bon, vestiaire puis je pourrais aller en cours. Je profite du gymnase pour prendre une douche brûlante sans faire attention à ce qu’il se passe autour de moi.

Je retourne dans le vestiaire et enfile mes sous-vêtements, blanc, comme ma peau on dirait que je suis nue en fait. J’enfile aujourd’hui une robe blanche et bleue avec une veste. Il ne me reste plus que mon collier… Mon collier ?! Où est mon collier en coquille d’œuf de dragon ! Je vide mon sac et fourrage parmi mes affaires, mais il n’y est pas. Et je ne le porte pas pendant les entraînements ! Merde ! Est-ce… Je me dirige vers le gymnase, la rouquine semble encore là. Je demande tout doucement.

« Tu… Tu n’aurais pas vu… un collier blanc… avec un point noir dessus… S’il te plaît ? »

Pitiée… qu’elle l’ait vu ! J’y tiens !

Date de naissance : 31/10/1997

et si on jouait ? un petit numéro de séduction... ft @Opaleye Nepia

parler, se faire écouter, n'est-ce pas séduire ? une nation qui a ses deux chambres, une femme qui prête ses deux oreilles, sont également perdues. eve et son serpent forment le mythe éternel d'un fait quotidien qui a commencé, qui finira peut-être, avec le monde.

Woups! Quand la musique déferla dans les enceintes, Artémis eu directement le réflexe de s'excuser quand Opaleye manqua de se vautrer en beauté. Elle la fusilla du regard et parti en trombe. Tant pis! Cela ne sera pas pour aujourd'hui! Et puis, l'expérience lui avait enseignée que ces choses-là prenait du temps.
Sifflotant sur l'air qui venait quasiment de lui exploser les oreilles, elle remit la console en marche, avec un son bien moindre, tout en regardant les notes que Nyx avait laissée là tout en se disant que si cette dernière lui tombait dessus, elle n'aurait qu'à lui rétorquer qu'il fallait faire attention avec ce genre de dossier et que l'ancienne cheffe et fondatrice, une sang-pure, n'aurait jamais fait cette bavure.

Prise dans sa contemplation et ses réflexions, Artémis sursauta violemment quand Opaleye lui tomba dessus comme un diable sortant de sa boîte. Hein?! Quoi?! « Tu… Tu n’aurais pas vu… un collier blanc… avec un point noir dessus… S’il te plaît ? » Ha! D'accord! Elle avait paumé son bijou. Soupirant, son instinct de préfète reprit le dessus - même si elles n'étaient pas de la même maison, et demanda: Tu l'as vu quand et où la dernière fois? D'un pas décidé, elle se dirigea vers les vestiaires. Elle demanda: Je suppose que tu as utilisé un sortilège de verrouillage pour ton casier? tout en sortant sa baguette. Elle s'exclama d'une voix claire: Appare Vestigium !!
Le sortilège d'empreinte. Il est appris par en dernière année à l'école quand les apprentis contrôlent leurs dons à la perfection. Il permet de mettre en évidence, dans un endroit précis, les récentes traces de magie. En résumé, si quelqu'un a utilisé ses particularités plus tôt dans la journée - et vu qu'on était le matin - et fin de nuit, Artémis le saurait.
Et bien évidemment, des traces de volutes dorées firent leurs apparitions dans la pièce et, plus précisément, accolées au casier d'Opaleye Nepia. La franco-écossaise soupira et dit: Ceci explique cela. Quelqu'un a utilisé un sort à côté de ton casier et je te parie que c'est un Alohmora... Ou un truc du style! La question c'était de savoir qui et pourquoi? L'albinos ne semblait pas avoir d'ennemis particuliers. Trop discrète pour ça!

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« Ce… ce… Ce matin, il y a une heure… Dans mon casier… »

Je ne le mets jamais pendant mes entraînements, j’ai peur de l’abîmer et de le casser. Ce qui est parfaitement hors de question ! Je la guide à mon casier sans rajouter un mot et hoche la tête : oui j’utilise un sort de verrouillage même s’il n’y a rien à voler dans mes affaires. Je m’écarte lorsqu’elle sort sa baguette et examine. Je bats des cils, complètement chamboulée. Je n’ai pas envie de pleurer, je ne suis pas une gamine, mais je veux comprendre.

« … Mais… mais… pourquoi ? C’était… juste… un collier en coquille d’œuf de dragon… on ne peut rien faire du tout… avec… C’est juste… joli… »

Une simple coquille d’œuf. Cela n’a absolument aucune valeur marchande ! Je passe une main dans mes cheveux en essayant de réfléchir. Qui pourrait bien vouloir faire ça ? Personne… Je n’ai pas d’ennemies, même la rouquine, il y a trop de roux ici…, japonaise se fiche de ce collier… Je soupire.

« Est-ce… est-ce … est-ce que ça pourrait… être… une blague ? »

Cruelle, méchante et inutile, mais une blague quand même. Je sais que ma timidité m’apporte beaucoup de moqueries. Mais quand même ! On ne me volerait pas un collier de la sorte juste pour se moquer ! … Si ? Les gens sont trop compliqués…

Date de naissance : 31/10/1997

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Acquiesçant à la réponse d'Opaleye, Artémis lança le sort de détection des traces récentes de magie. Sans surprise pour la rousse, des volutes de fumées dorées apparurent progressivement dont certaines allèrent s'aglutiner contre le casier de l'albinos, révélant que c'est là que la magie était la plus forte. « … Mais… mais… pourquoi ? C’était… juste… un collier en coquille d’œuf de dragon… on ne peut rien faire du tout… avec… C’est juste… joli… » Laisse moi deviner: Opalœil des antipodes ? Elle eu une risette et poursuivit: Pas besoin d'être surprise! J'ai appris jenesaisplusoù que des membres de ta famille travaillaient auprès des dragons et vu ton prénom, c'était pas compliqué. Surtout en sachant que c'est un des rares œufs à avoir une couleur blanche! Et pour une éventuelle remarque: je n'espionne pas. Je suis préfète: c'est mon travail de savoir!
Se postant devant le casier à la recherche d'indices, elle n'avait rien d'une inspectrice mais son poste de préfète lui avait appris d'être multifonctions: Mais soit! On s'en fiche! « Est-ce… est-ce … est-ce que ça pourrait… être… une blague ? »Elle se releva en disant: Très bonne question! Ce que je sais, c'est que si c'est quelqu'un de ma Maison, il va prendre cher! Continuant de regarder autour, elle dit: Mais pourquoi voler ce collier? Ce type d’œuf de dragon n'a aucunes valeurs à par sentimentale... Si c'était en œuf de Boutefeu chinois, j'aurais compris mais là...Dit-elle en réfléchissant à voix haute. Ces types d’œufs avait des vertus médicinales, ce qui faisait que des inconscients allaient en chercher à la source quitte à se heurter à une mère en colère.

Ha! Dit-elle en tendant le bras sous un meuble. Elle se contorsionna pour atteindre ce qu'elle avait repéré et brandit quelque chose. Une boucle d'oreilles. ça peut être à quelqu'un qui l'a perdu...Comme notre coupable.

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Je reste surprise qu'elle sache tout ça de ma famille. Pas qu'on se cache d'avoir un père soigneur de dragon, au vu de nos noms avec mes frères cela serait ridicule, mais nous ne sommes pas connus ... Je hoche donc juste la tête pour confirmer ses dires sans rien rajouter. Qu'est ce que je peux bien dire d'autre ? Puis c'est étrange qu'on parle de moi quand même. Ou de ma famille ... Bon. Je chercherais à comprendre plus tard. Parce que même si elle est préfete quand même. Pour l'instant retrouver mon collier ! On verra le reste plus tard. Je veux juste trouver mon collier. On verra le reste plus tard. Je hausse les épaules. À part pour les collectionneurs et encore. Sa maison.... Elle doit être serpentard. Peut-être que c'est une copine d'Aedyrn... Moi je suis serdaigle. Je me penche pour examiner la boucle d'oreille qu'elle a trouvé. Elle est particulièrement jolie un entrelace d'or et d'argent avec des pierres jaunes.

« J'ai jamais vu... Une comme ça... C'est encore plus beau que le collier ...»

Je ne comprends définitivement plus les gens. Déjà que je ne les comprenais pas de base alors maintenant... Non c'est complètement stupide. Je tends les doigts et saisi délicatement la boucle en frôlant les doigts de la rouquine au passage. Si on avait un chien pisteur on pourrait trouver le coupable.

« Tu ... Tu.... Tu ...as un sort pour.... Pister ? »

Elle a l'air de s'y connaître en sort quand même ! Même moi dans ma gamme je n'ai aucune idée Si un tel sort existe.

Date de naissance : 31/10/1997

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parler, se faire écouter, n'est-ce pas séduire ? une nation qui a ses deux chambres, une femme qui prête ses deux oreilles, sont également perdues. eve et son serpent forment le mythe éternel d'un fait quotidien qui a commencé, qui finira peut-être, avec le monde.

« J'ai jamais vu... Une comme ça... C'est encore plus beau que le collier ...» A la réflexion, elle était plutôt mignonne l'albinos avec son petit air timide! Se disait Artémis. Avant de se coller une bonne gifle mentale! Elle revint à ses pensées de base: l'affaire du collier en coquille d’œuf de dragon perdu! C'est vrai... Dit-elle en observant le bijou. Mais je ne sais pas à qui il appartient! Opaleye toucha sa main...Enfin, plutôt le bijou mais elle avait effleuré sa main au passage. En réponse, Artémis lui fourra la boucle dans les mains, l'air de dire "tiens, elle ne m'intéresse pas" pendant que l'albinos disait: « Tu ... Tu.... Tu ...as un sort pour.... Pister ? » Elle soupira: Ouaiis. j'dois avoir ça! C'est un sort qu'elle avait appris à BeauxBâtons. Mais je me demande si je n'abuserais pas de ma position de préfète si je venais à trouver et faire justice moi-même! Elle réfléchit: La préfète en chef est de ma Maison. Et on s'entends plutôt bien. J'irais la trouver pour lui dire qu'une de mes camarades de club s'est fait volée son collier!

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Je regarde la boucle sans savoir quoi en faire. Elle connait un sort pour pister ? Ouf ! Je vais retrouver vite mon collier ! Mais la suite de sa phrase fait faner le sourire qui avait fleuris sur mon visage. Je peux pas attendre ! Même si j'ai mon carnet de dialogue, que je sers dans ma poche, mon collier est antistress ! Cela m'aide moi ! Je me sens toute nue sans mon collier. Je bredouille

" Mais... Mais.... Mais ... C'est dans longtemps ! Et si elle.... Elle.... Elle... Le jette ?! Je... Peux pas le perdre ! C'est un cadeau !"

Je fixe la boucle dans ma main sans savoir quoi en faire. Et si.... J'ai une idée !

" Si tu me dis le sort... Et que tu m'accompagne... Est-ce que c'est bon ?"

Je crispe les orteils en basculant d'un pied sur l'autre sans savoir quoi d'autre faire. Ne pas sentir le poids du bijoux à mon cou est perturbant. Cela m'inquiète j'aime le garder dans ma paume pendant des heures. Puis c'est un petit bout de chez moi aussi !

Date de naissance : 31/10/1997

et si on jouait ? un petit numéro de séduction... ft @Opaleye Nepia

parler, se faire écouter, n'est-ce pas séduire ? une nation qui a ses deux chambres, une femme qui prête ses deux oreilles, sont également perdues. eve et son serpent forment le mythe éternel d'un fait quotidien qui a commencé, qui finira peut-être, avec le monde.

" Mais... Mais.... Mais ... C'est dans longtemps ! Et si elle.... Elle.... Elle... Le jette ?! Je... Peux pas le perdre ! C'est un cadeau !"Elle soupira. Normalement, ce n'était pas à elle d'agir. Un élève n'a pas à faire justice lui-même! Si il y avait un problème, c'est sur Artémis que ça allait retomber! Et elle n'avait aucune envie d'être punie...Puisqu'elle pourrait très bien être radiée de son titre de préfète. " Si tu me dis le sort... Et que tu m'accompagne... Est-ce que c'est bon ?" Et c'était ce qu'elle voulait éviter! Si, en plus, elle se mêlait à cette histoire! Surtout pour une bête collier! D'un autre côté.... Artémis murmura un des rares jurons qu'elle connaissait en gaélique en rebrandissant sa baguette. La seconde d'après, elle murmura une incantation qui matérialisa une sorte de fumée bleue très claire. La piste est encore fraîche. Au bout, se trouve notre voleur...Ou notre voleuse! Voyant du mouvement de la part d'Opaleye, elle lui saisit le bras en disant: Hop! Hop! Tu comptes faire quoi là? Trouver ce petit malin est lui dire "Vous avez ma coquille d’œuf...Pouvez vous me la rendre s'il vous plait?"
Elle imaginait déjà Opaleye dire ça devant l'armoire à glace de service. Cela aurait drôle si il n'y avait pas des risques de la ramasser à la cuillère. Rassure-moi. Tu as bien une baguette sur toi? Normalement oui, mais sait-on jamais! Bon, voilà ce que je te propose! On va voir qui c'est puis on va voir rapidement dans la salle des préfets si celui de ta Maison est là pour l'en informer. Puis je retournerais avec lui pour récupérer ton collier! Ok?

Artémis était légèrement frustrée de voir sa matinée sport passer aux oubliettes. Mais, finalement, elle se retrouvait seule avec l'albinos et, en plus, la voilà en train de jouer au détective.

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J’ai peur de contrarier la rouquine… Je ne le veux pas ! Elle m’aide gentiment à récupérer mon collier ! J’ai l’impression de la fâcher à chaque fois que j’ouvre la bouche, moi… Je me retiens de me ronger les ongles, Léni ne serait pas contente… Déjà que je fais de gros efforts pour parler et essayer d’être gentille et pas trop idiote… Je plisse le nez en l’entendant jurer avant de la regarder lancer le sort. Allez mon collier ! Je la regarde quand elle me saisit le bras. Quoi ! Il faut y aller quand la piste est fraîche. C’est pareil quand on traque un dragon ! Je rougis avec violence face à sa remarque… Oui c’était exactement ce que je voulais faire. Il n’y avait pas de mal à être gentille quand même. Ou polie. Puis je sais me défendre ! Je sors ma baguette de ma manche et lui montre. Bois de pin Épine du monstre du Fleuve Blanc Fine et rigide, 27,3 cm, je pourrais réciter ça les yeux fermés. C’est ce que je me fais intérieurement d’ailleurs. Comme si cela pouvait changer quelque chose. Je soupire, mais hoche la tête.

« D’accord. »

Je sors ma baguette et la serre avant de suivre le sortilège sans bruit. C’est comme quand on traque du dragon. Il faut être calme, silencieux et discret. Et ça : je sais faire. J’observe cachée la jeune serpentard à qui il manque une boucle d’oreille. Je la scanne d’un regard. Mais je ne vois pas mon collier. Mais la fumée est formelle : c’est elle. Direction la salle des préfets. Et ce n’est pas Léni qui est là. C’est Karim. Et je bafouille devant lui incapable d’aligner deux mots… Si bien que je préfère lui écrire toute la situation sur un bout de papier et de lui fourrer dans la main pour le laisser régler l’affaire avec… Avec… je ne sais même pas son nom… Elle ne me l’a pas dit et je n’ai pas pensé à lui demander… Tant pis ! Je vais avoir l’air idiote si je lui demande maintenant. Je préfère me taire et ne rien dire… J’aviserais plus tard.

Date de naissance : 31/10/1997

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Opa & Arté

Les deux étudiantes étant arrivées à un accord, elles se mirent à suivre le sort qui les conduirait tout droit au voleur. Opaleye semblait à la fois nerveuse et surexcitée comme si c'était le première fois qu'elle se mettait "en danger".
Cette dernière au talon, Artémis continuait à suivre les volutes de fumée qui s'arrêtèrent à quelques mètres du responsable de l'affaire du collier. Facilement reconnaissable au vue du manque de sa boucle d'oreille. Et ben voilà! murmura-t'elle avant de faire volte-face et de se diriger vers la salle des Préfets où Artémis espérait tomber sur le préfet des Serdaigles ou la préfète en chef.
D'un oeil curieux, elle vit Opaleye écrire quelque chose sur un bout de papier avant de se diriger vers le préfet, Karim. Artémis l'arrêta pour lire ce qu'elle avait écrit. En résumé, c'était "on a volé mon collier porte-bonheur dans mon casier pendant que j'étais au gymnase. Artémis et moi, on a découvert qui avait fait ça. Pouvez-vous nous aider?" Non mais sérieusement? Elle ne savait pas se faire comprendre autrement que par écrit? Et puis, elle ne connaissait pas spécialement Karim mais...Il n'était pas méchant. Elle soupira et dit: Je m'en occupe! Elle alla toucher deux mots au préfet Serdaigle en lui demandant que, comme le voleur était de sa Maison, si elle pouvait s'en charger elle-même. Merci bien, il accepta!

Ainsi, les deux filles quittèrent la Salle et, relançant le sort de pistage, retrouvèrent la jeune femme qui avait le collier en sa possession. Excusez-moi, jeune fille mais je crois que vous avez quelque chose en votre possession qui ne vous appartient pas! Evidemment, la demoiselle fit genre "j'ai pas entendu". Ainsi, Artémis s'approcha et se positionna devant elle pour lui faire comprendre "oui, c'est à toi que je parle alors ne fais pas comme si tu ne m'avait pas entendu, ne me prends pas pour une bille!" La demoiselle, bien idiote pour une serpentarde - elle portait le collier d'Opaleye autour du cou, joua la fille scandalisée. Ne me prends pas pour une idiote! Ce collier n'est pas à toi! Je le sais pour l'avoir vu autour du cou d'une autre! Alors soit, tu me le donnes et on en parle plus. A part une lettre à tes parents. Soit je préviens les préfets des Serdaigles ainsi que la Préfète en chef; et tu ne t'en sortiras pas à si bon compte! Elle tendit la main. Alors?
LittleJuice

Je laisse la rouquine gérer sans trop oser m'approcher. La fille est très impressionnante mais je n'aime pas voir mon collier autour de son cou. Ça ne lui va pas du tout en plus et c'est du vol. Ce n'est pas bien. Ce n'est pas elle qui est allé le chercher ! Je sers les doigts autour de ma baguette avec attention. Je suis en colère parce que j'y tiens très fort à mon collier il est en commun avec Leni et en plus il vient des œufs de mes dragons. Artémis semble gérer mais l'autre ne veut pas. Elle sort sa baguette.

J'agis instinctivement. Et mon experliarmus informulé frappe sa main. J'attrape habilement sa baguette et grimace un peu. Je n'aime pas le bois sous mes doigts. Je la glisse dans les doigts de la rouquine avant de puiser un peu dans ma colère pour réussir à parler sans bégayer et d'une voix claire. Pour moi. Je garde ma baguette bien en main toujours pointée sur elle.

« Rends moi mon collier ! »

La fille hésite un peu mais finalement obéit en me regardant de la tête aux pieds en fronçant les sourcils. Je lui arrache des mains dès qu'elle me le tend. Je l'attache immédiatement à mon cou en lui jetant un regard noir avant de laisser la préfet finir de régler le problème. Moi je m'efface en gardant une main autour de mon collier. Je ne veux plus le perdre. Je vais devoir jeter un sort pour que plus personnes d'autres que moi n'y touche ! C'est hors de question qu'on me le vole. Je reste un peu dans le vague sans écouter ce qu'il se passe me focalisant sur la sensation du collier dans la main. Je sursaute un peu quand on s'éloigne enfin avec Artémis. Je lui souris timidement.

« Merci.... Pour l'aide »

Date de naissance : 31/10/1997

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Opa & Arté

Heureusement, la voleuse se montra enfin raisonnable et rendit son collier à Opaleye. Cependant, quelque chose avait énervé Artémis. Cette. Fille. Avait. Tenté. De. Lui. Jeter. Un. Sort! Comme ça, sans pression, en plein milieu d'un couloir de la MUL.

Remerciement mental à la très jolie albinos - possédant un charme dont elle n'avait visiblement pas conscience - qui désarma leur adversaire.

Sans qu'elle ne demande quoique ce soit, elle se retrouva avec la baguette de l'agresseuse dans les doigts. Artémis se surprit, néanmoins, à sourire quand Opaleye la remercia mais elle ne répondu rien...A part ça, elle fusilla du regard la dite voleuse et dit: Dis moi... J'ai rêvé ou tu tentais de me lancer un sort? à sa question, sa potentielle agresseuse perdit quasiment toutes ses couleurs, à deux doigts de la syncope, et ne répondit rien. Sauf erreur de ma part, il est interdit d'user de la magie dans les couloirs sauf en cas de duel - ce qu'il n'y avait pas - et, surtout, sans la présence d'un professeur. Elle avait agit sous l'oeil de témoins et vu la position d'Artémis - préfète et fille d'une famille de sorciers nobles - elle savait que la situation n'était pas en sa faveur. Artémis continua d'entretenir le silence glacial et pesant avant de soupirer d'un art théâtrale tout en balançant, sans pression: mais bon! Laissons tomber! Je suis dans mon jour de bonté...Alors je passe l'éponge pour cette fois! Tu seras déjà engueulée par tes parents. C'est pas si mal! Puis elle se tourna en demandant à Opaleye: on va chercher nos affaires? Avec tout ça, elles avaient laissées leurs affaires civils dans les vestiaires du gymnase!
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Et si on jouait à un jeu de séduction

Dés qu’Artémis a à nouveau la situation bien en main je me renferme et me tait sagement. Je la laisse terrifier, bien fait !, la fille m’ayant volé mon collier. Je ne suis pas méchante, mais je n’aimais pas qu’on touche à mes affaires. Et puis quoi encore ! Déjà que je n’avais pas grand-chose si en plus on me volait ce que j’avais de plus précieux… C’était pas du tout gentil !… Dis comme ça, j’avais sept ans et demi d’âge. Alors que j’en avais vingt. La logique… Enfin avec moi la logique c’était fait la malle depuis très longtemps ! Je levais la tête vers Artémis et lui rendis son sourire. Ah oui… nos affaires. Je hochais la tête.

« Allons-y. »

je la suivis sagement jusqu’aux vestiaires et l’aidais à rassembler ses affaires avant de prendre les miennes. Je sursautais quand j’entendis mon nom lancé à voix claire. Un garçon très grand, torse nu, cheveux noirs, et yeux noirs me fit signe depuis une porte. Belly ! Il s’approcha à grand pas et du haut de son deux mètres dix, dit bonjour à Artémis en passant un bras autour de mes épaules et m’embrassa le front. Il m’interrogea du regard en désignant Artémis.

« C’est Artémis, elle m’a aidé. »

Il hocha la tête et se présenta comme Ironbelly et mon grand frère. Je le laissais discuter un peu avec Artémis et il me tira gentiment les cheveux en me demandant de secouer ma laine de fesse de mouton pour aller en cours. Je levais les yeux au ciel en souriant. Je répliquais que c’était à lui de s’habiller. Il ébouriffa mes cheveux et m’indiqua la sortie. Je souris à Artémis.

« Merci Artémis ! Prends soin de toi ! »

Je tournais les talons avant de filer comme un petit dragon pressé vers la sortie.
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