Cassian Verlac | Lucky Blue Smith

Sujet: Cassian Verlac | Lucky Blue Smith Mer 8 Mai - 13:08

Cassian Cam Verlac

Feat. Lucky Blue Smith

Âge : 17 ansSexe : Masculin, jusqu'à preuve du contraire Date de naissance : 13 décembre Nationalité/Origines : Anglais pur souche Orientation sexuelle : Hétéro Statut civil : Célibataire depuis peu Maison : Serdy Groupe : / Profession/Études : 7ème année à Poudlard Statut de sang : mêlé Baguette magique : 28,5 cm, façonnée dans du bois de rose. Plutôt rigide elle est parfaite pour les sorts d'attaque en harmonie avec son cœur en ventricule de cœur de dragon Patronus : Un chien loup Sa relation avec la magie : Cass a grandi avec un père sorcier, la magie a toujours gravité autour de lui comme l'oxygène circule dans son sang et lui permet de respirer Signe(s) distinctif(s) :Cassian a toute une longue chaine représentant une rose des vents et une bague de famille sur son index de la main droite

Caractère

Cassian n'est pas quelqu'un de très compliqué à cerner. Enfin, c'est ce que les gens pensent. Mais c'est comme un rôle qui lui colle à la peau, qui lui convient. Pourquoi laisserait-il des gens savoir qui il est réellement ? C'est leur donné du pouvoir, il s'est trompé une fois, il n'est pas prêt à recommencer. Pour la plupart des gens, Cass n'est qu'un petit c*n arrogant. Il ne cherche pas bien loin, n'est pas passionné par ses études. Il enchaine les rébellions comme certains le ferait de bonne note, il plonge tête la première dans des bagarres et semble prendre les filles en comparaison avec des paquets de kleenex. Une énième cause perdue qui veut se la jouer mauvais garçon et qui finira avec un boulot naze pour pouvoir vivre.

En réalité, Cassian est plutôt intelligent. Il n'a pas le cerveau de Merlin, ni de Flamel, mais il se débrouille. Il retient simplement ce qui l'intéresse. Le blond lit énormément. Romans sorcier ou moldu, ce qui lui passe entre les mains. Il aime les vieux livres abimés, le dos cassé, les coins cornés, les pages jaunies, qui semblent renfermer une histoire, et pas seulement celles qu'ils racontent. Qui sont passé de main en main ou bien ont appartenu à un propriétaire obsédé de leurs contenues. Les classiques sont souvent sa cible. Le paradis perdu, la divine comédie, Roméo et Juliette, les fleurs du mal, les misérables, voyage au centre de la terre, mais aussi les recueilles des grands du monde de la magie, comme les fondateurs de Poudlard, les théories de Flamel se mélangent à Edgar Poe chez les moldu et Oscar Wilde… Bien souvent, les livres finissent par s'entasser dans un coin de sa valise ou son armoire, réduits à l'aide d'un réducto.

C'est un jeune homme qui a déjà perdu confiance en l'amour et à ce que les gens en disent. Un pantin brisé par de beaux yeux, pourtant le cœur trop fragile pour la chasser totalement. Stupide ou chanceux, le débat fait encore rage dans sa tête. C'est une âme sardonique, pas franchement très sociable, toujours en surface en tout cas. Sa confiance, il la garde comme un dragon garderait jalousement son trésor. Pourtant loyal et protecteur, il a décidé de se protéger lui-même avant de le faire pour quiconque d'autres désormais. .

Histoire

Installé sur l'un des rebords intérieurs de l'une des nombreuses grandes fenêtres de l'école de magie, Cassian gribouillait dans son carnet relié de cuir qui semblait avoir appartenu à une personne avant lui tant le morceau de peau semblait avoir souffert du temps. La réalité était que ces pages referment les pensées de l'aigle et que c'est un objet qu'il emmène toujours avec lui. Le blond leva un instant son crayon de papier du parchemin pour jeter un coup d'œil à travers les vitraux où les gouttes d'eau venaient s'écraser, reflétant son humeur de la journée. Le couloir bourdonnait d'élèves se déplaçant d'un cours à un autre, vacant à leur vie, sans prêter plus attention au brun, tout comme lui semblait bien loin de cette agitation. Détournant les yeux du spectacle de la nature, le jeune Verlac en retourna à ses pensées, laissant de nouveau la mine noircir le papier.

"Ma vie n'a rien de bien intéressant, du moins, pour les sorciers, j'imagine. La plupart des moldus seraient sans doute ravis de quitter leur monde de métro-boulot-dodo pour se plonger dans le monde de la magie. La vérité étant, que mon métissage n'a pas forcément était très bien prise par ma génitrice. Je suis né comme tout le monde dans un hôpital, moldu. Mon paternel n'ayant pas eu le courage de révéler sa nature, Morgane, celle qui a simplement servi de mère porteuse dans le fond, n'a jamais sû ce qui l'attendait. C'est seulement quand elle s'est rendu compte que son petit monstre de fils arrivait à faire voler des objets durant ses crises de colère qu'elle a commencé à penser qu'elle devenait folle. Ou bien que son rejeton était le descendant du Diable. Qui sait.

Enfin, elle s'est décidée à en parler à Darrow, mon paternel. Qui a enfin eu les glandes nécessaires pour admettre que non, il n'était pas banquier, mais travaillait au ministère de la magie de Londres. Que j'étais un sang mêlé. Je me souviens du silence qui a plongé la maison dans une sorte de coma. Seulement quelques secondes. Avant que Morgane n'explose, hurlant à qui voulait l'entendre que les sorciers venaient les asservir. Une connerie dans le genre. Il a fallu faire appel aux oubliators, et oublietter celle qui a pour titre d'être ma mère. Jugeant préférable, papa Verlac a pris nos valises, à laisser ma mère sans aucun souvenir de nous, et déménagé pour vivre "entre hommes". Je me retrouve donc avec une génitrice sans souvenir de son marmot, et un père qui a plus comme statut de tuteur, présent pour le nécessaire, absent pour le rôle de figure masculine.

Ce n'est pas la fin du monde. Lui et moi avons probablement un caractère bien trop semblable pour pouvoir nous entendre sans en venir aux conflits de toute manière. Malgré tout, je sais que si j'ai besoin, il assumera son rôle. Pas comme l'autre folle. Mais puis-je seulement lui jeter la pierre ? Les moldus sont tellement tordus pour certains. Après tout, on en voit dans les rues, passer leur temps à hurler que la fin du monde est proche. Que le Diable est à notre porte. Que Dieu est en colère, comme lors de la bataille de Poudlard. Les Moldus ont été touchés aussi, tout le monde en a souffert, mais jamais ils n'ont pensé à la magie. Ils ont une obsession un peu dérangeant pour un quelconque créateur. Alors exposer le monde des sorciers . Pourtant, il semble que cela pourrait se produire. Petit à petit les non sorciers pénètrent de l'autre côté, et peut-être que nous aurons droit à un deuxième Salem. Certain que ma petite maman sera dans les premières à brandir sa fourche et sa torche."

-CASS !

Le sang mêlé releva la tête de son journal pour les poser sur le grand brun qui l'avait hélé à l'autre bout du couloir, lui faisant signe de sa tête que le cours allait commencer. Attrapant son sac de sa main libre, le jeune homme releva sa grande carcasse pour aller rejoindre le reste des érudits, et balancer ses affaires sur une table libre, avant de se remettre à écrire.

"Ma lettre à Poudlard a sans doute été un soulagement pour moi comme pour mon père. Nous n'avions plus à entretenir des silences gênés, j'allais enfin prendre mon envol, et peut-être qu'à mes vacances, quelque chose aurait changé. La distance, voilà ce qu'il fallait. Ou pas. Malgré tout, j'ai fait mes bagages et je suis monté dans le train en direction de l'école. Darrow m'a quand même accompagné et m'a maladroitement dit au revoir. Un moment très gênant. Les hommes ne sont pas doués pour ça. J'ai fini par atterrir chez les bleus, aller savoir comment. Une maison ou un autre, quelle importance de toute façon. J'ai fini par me lier d'amitié. Des gens de mon âge, des gamins un peu cons, avide d'explorer ce grand terrain de jeu et d'apprendre à faire exploser quelques trucs. Mais s'ouvrir aux autres peut aussi causer sa propre chute."

...La chute….

La grande salle était plongée dans un certain silence, seulement troublé par le murmure incessant des plumes grattant les parchemins, parfois ponctué par des chuchotis et des pages qui se tournent. Pendant que les trois quarts des élèves de la salle étaient plongés dans leurs devoirs, Cassian replongeait dans son journal, laissant son travail scolaire au second plan.

"Elle. Il a fallu que je me lie à elle. Idris [Nom facultatif]. Elle a le prénom aussi enchanteur que le reste. Une sorcière de la pire espèce. Elle n'a eu besoin d'aucun sortilège ni de potion pour m'ensorceler. Il lui a suffi d'un sourire espiègle et de cette étincelle dans ses yeux pour me mettre à genoux devant elle. La laissant tout prendre aussi facilement que l'on arrache les pétales d'une fleur. On avait que 16 ans, pourtant elle avait déjà tout d'une sirène, attirant les marins jusqu'à faire chavirer cœurs et navires. Je me suis laissé entrainer par le son enjôleur de son rire résonnant dans les couloirs pendant que je lui courais après. Le flottement de ses cheveux aussi sombres qu'une nuit sans étoiles dans lesquelles je voulais y perdre mes mains et l'éclat perle de sa peau qui me murmurait l'appelle de mes caresses. Des mensonges enjôleurs pour m'endormir. Je ne savais pas encore qu'elle n'avait rien d'une sirène, mais plus d'une Succube.

L'amour pourrait être étiqueté poison qu'on le boirait quand même. Alors je l'ai bu. Jusqu'à la dernière goutte. Comme les autres pigeons, je suis tombé amoureux. Pourtant, même l'expression ne devrait pas nous donner envies. On est tous là, à attendre, pour venir se fracasser la gueule avec violence sur le trottoir. Ses promesses voilées avaient le don de me faire oublier la bêtise de ma chute, alors que je tombais toujours un peu plus pour elle. Jusqu'à ce que l'attrape enfin. Jusqu'à ce qu'elle soi mienne. Jusqu'à ce qu'elle m'y fasse croire. Je me suis confié à elle, je me suis mis à genoux comme un guerrier devant sa reine. Je me souviens encore douloureusement de la douceur de ses cheveux quand je lui agrippais. La douceur de ses lèvres quand elle dévorait les miennes, maîtresse de la situation. La chaleur de sa peau quand je me fondais en elle, et la délicieuse sensation que son corps s'emboîtait à la perfection avec le mien. Son naturel sauvage quand ses ongles s'enfonçait dans mon épiderme et la luxure dans sa voix quand elle murmurait mon nom. Ce sentiment de joie stupide quand j'arrivais à la faire sourire, la faire rire. Quand elle venait se nicher dans mes bras. Qu'importe le nombre d'étoiles qui brillaient dans le ciel, alors qu'elle était mienne."

Le sorcier releva la tête, et ses yeux trouvèrent aussitôt l'objet de son sujet, quelques tables plus loin. Il avait beau vouloir ignorer jusqu'à son existence sur la surface de cette Terre, son être semblait toujours la trouver au milieu de la foule. Qu'importe l'endroit, il y avait toujours quelque chose qui le ramenait à elle. Son odeur qui flotte au détour d'un couloir, un frôlement quand ils se croisent la foule des élèves, son rire qui chante comme la plus belle des mélodies. Une attraction pénible dont il se débattait chaque jour. Entre l'envie de plonger sa main dans la poitrine de la belle Idris pour lui arracher le cœur, si tenté qu'elle en ait un, et celui de l'écraser du point de son corps pour la faire sienne de nouveau. Persuadé de lui infliger une punition, lui maître de leurs rôles respectifs pour une fois, alors qu'il ne serait toujours que le marin simplet suivant la chanson de la sirène, s'abandonnant à son désir de la sentir de nouveau. Sa mâchoire se contracta quand ses prunelles rencontrèrent les siennes, la fausse douleur habilement joué dans les yeux bruns d'Idris, avant qu'il ne détourne les yeux pour retourner à son occupation, pourtant bien trop conscient de son regard posé sur lui. Comme un contact brulant, alors que plusieurs dizaines de mètres les séparent. Plusieurs mètres et une rage bien trop proche du désir.

"Mais les mensonges ne durent qu'un temps. Le sien est tombé quand je l'ai vue dans une salle de classe vide, accroché à la nuque de Gryffondor, alors que lui avait les mains posées sur celle que je croyais à moi. Elle n'a pas détourné les yeux quand elle m'a vue. Elle m'a sourit e j'ai vu dans son regard comme une invitation à me joindre à leur petit jeu. Voilà ce que c'était pour elle. Rien à voir avec de l'amour. Ni l'évidence que j'étais sien, ni un lien d'une quelconque importance. Juste des jouets dont elle pouvait disposer pour tromper son ennui du moment. Malheureusement pour sa seconde- ou dixième, vingtième- victime, c'est lui qui a pris l'impact de ma fureur. La voix d'Idris ne m'a jamais paru aussi loin que quand mes poings s'abattaient sur le visage de ce pauvre type comme on le ferait d'un sac de sable. Au contraire. Les rares fois où l'appelle de mon nom résonnant de son timbre m'atteignaient, elle attisé ma rage d'effacer cette scène et les acteurs, quitte à y faire couler le sang. Quand on nous a finalement séparés, mon adversaire était en sale état, et moi j'avais cette rage qui me brûlait les veines alors que je la voyais enfin. La succube en fasse de moi qui semblait effrayée de mon comportement. Comme si je n'avais jamais eu aucun droit sur elle, comme un simple taré ne voulant pas partager l'objet de son obsession. Parce qu'elle ne m'avait simplement jamais appartenu. Comme si c'était une évidence…"

…. La fin.

Ni les vacances d'été, ni la distance n'ont pu changer ça. N'a pu effacer sa présence dans mes rêves et mes pensées de s'envoler pour elle. Persuadé que je pensais à elle simplement en lui souhaitant de souffrir à son tour, alors que je me torture moi-même à me demander dans les bras de qui elle est glissée cette fois. C'est une folie qui se répand dans mes veines et pulse dans ma poitrine, comme le plus mortel des venins. L'amour n'a pas d'âge. On peut aimer une personne plus que soi qu'on est 60 ans, ou 17. Mais ce n'ai pas forcément une bénédiction. Et celui qui vous dit qu'il n'y a pas plus douce folie que l'amour; n'a probablement jamais croisé de vipères de sa vie.

Pseudo : HalfBlood Âge : 23 ans Scénario/Inventé :Inventé Comment as-tu connu le forum ? : PRD Que penses-tu du forum ? : Z'aiiiiime Un petit mot pour la route ? : Bloop ? Code à remplir pour recenser l'avatar :

Code:: [color=#dc2828] Lucky Blue Smith[/color] ◊ [i][url=http://magichappensonlyonce.forumactif.com/u117]Cassian Verlac[/url][/i]

Date de naissance : 21/11/1978

Bienvenue petit poussin !
J'espère que tu te plairas parmi nous Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 367680576

ça a l'air bien parti !

Date de naissance : 15/12/1994

Coucou again Cassinours 8D

(bon choix d'avatar *tousse tousse*)

Date de naissance : 16/10/1998

Bienvenue à toi Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 2025503192

Bienvenuuuue par ici Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 3022045206

J'approuve le choix d'avatar de ce petit mignon !

Merci les petits chats Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 3022045206

Jesus : Je connais pas du tout ton vava mais il a l'air choupi Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 2924906702

◊ Félicitation ! Tu es désormais des nôtres !◊

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Pauvre lui et méchante Idris è_é J'espère que quelqu'un viendra soigner son petit cœur brisé, que ce soit avec un nouvel amour ou de belles amitiés Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 984141550

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Voilà, ça y'est, tu es des nôtres, bienvenue parmi nous ! En tout cas, bravo pour ta validation :hearts: Pour fêter ça, bierraubeurre, chocogrenouille & câlins à volonté !

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Sur ce, gros bisous sur tes fesses & bienvenue parmi nous ! Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 3465098450

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Bienvenue et félicitations pour ta validation. Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 1453571950

Date de naissance : 09/08/1993

Comment ça j'arrive en retard ? Cassian Verlac | Lucky Blue Smith 3245848995

BIENVENUE

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