I'm running with the woLVES •• Vincent

Eh Oh.Voglio vederti danzare Come le zingare del deserto Con candelabri in testa O come le balinesi nei giorni di festa !Mission forte étonnante, que l'on t'avait donné. A vrai dire, en étant professeur de métamorphose, tu ne pensais pas que cela comprenait également la surveillance d'élèves devenus loup-garou hm. Ce n'est pas ton domaine de prédilection, mais cela ne te dérangeait pas pour autant, surtout que tu connaissais l'élève en question. C'était le cousin de Leryot. Un élève qui t'est resté en tête dû à son caractère. Mister Rosier était devenu loup-garou très tôt, à quinze ans. Malheureusement pour lui, c'est sûr. Surtout qu'au début, les transformations ne sont pas simples à contrôler, alors cela doit être d'autant plus difficile pour lui. Soit.

Tu avais donné rendez-vous au jeune garçon dans l'un des couloirs, qui ne laissent pas les rayons lunaires passer, pour l'instant. Bien que tu savais très bien que cela n'allait pas être efficace à 100% c'est sûr. Mais autant prendre toutes les précautions que vous pouviez avoir sous la main, cela pourrait vous être bénéfique, à vous deux. En soi, tu te dis que tu pourras toujours rester sous la forme d'un renard si jamais cela dérape, mais bon, vaut mieux espérer que cela ne dérapera pas. Ce n'est clairement pas le but tout de suite dans l'immédiat. Le but est d'assurer la "bonne santé" de Rosier. D'avant tout faire attention à ne pas qu'il se blesse en courant ou tu ne sais quelle autre activité. Tu avais vu au loin un élève arriver. Tu t'étais mis à sourire, t'approchant de lui.

« Mister Rosier ! J'espère que vous allez bien ? Je pense que vous savez pourquoi on est là ? »

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If you were dead or still alive,
I don't care. T’avais enfin pu regagner le château, depuis quelques semaines. Même si franchement, ça ne t’aurais pas trop dérangé de continuer de rester encore un peu chez toi. T’avais passé trop de temps à l’hôpital de ton point de vue, et clairement pas assez dans la bâtisse que ta famille détenait. T’y serais même bien resté toute l’année. Certes t’avais eu le temps de prendre un peu tes marques à Poudlard, mais quand même. Clairement pas la même chose que chez toi. Et c’était toujours ça le plus gros problème. En plus, tout allait encore être différent désormais. Comme tu le détestais tant. Tu ne savais pas pourquoi le sort s’acharnait à ne pas te donner une vie bien droite et paisible, ça serait quand même bien plus simple. Que t’aies une routine, et qu’elle se tienne. Que tu n’aies pas à changer tes habitudes tous les mois, les ans, ou tu ne savais quoi. Même si t’allais pas cacher le fait que t’appréciais être devenu un lycanthrope, tes parents t’avaient bien fait comprendre que c’était souvent quelque chose de mal vu, qu’il fallait éviter d’en parler le plus possible et surtout faire comme si de rien était.

Heureusement les seuls proches que t’avais étaient au courant, parce que t’aurais pas pu t’empêcher de le leur dire, tu ne savais clairement pas mentir. Par contre, ce qui se compliquait, c’était pour tes transformations. Là c’était autre chose. T’en avais même pas eues énormément, une, en fait. Et même toi tu pouvais comprendre que dans une école, ça pouvait être dangereux, même très, avec toutes les personnes que tu pourrais blesser. Tes parents avaient bien été forcés de mettre l’équipe pédagogique au courant, et ils avaient cherchés un moyen de rendre ça plus facile pour tout le monde, de gérer ça le mieux possible, en ayant le moins de blessés possible surtout. Apparement un nouvel enseignant était animagus, Et pourrait sans doute un peu mieux veiller sur toi et te suivre aussi lors des soirs de pleine lune. Un soir comme celui-ci. T’arrivais pas à être stressé, même si t’avais plein de questions en tête. Ce qui te gênait le plus, c’était de devoir parler à ce que tu considérais comme être un inconnu. Chose que t’appréciais très peu. Pas du tout. Déjà qu’il commençait avec des questions. T’avais posé une de tes mains sur ton bras, en évitant d’ores et déjà son regard, en acquiesçant un peu.

« ▬ …Oui, je, je crois. C’est vous, vous qui allez m’accompagner? Est-ce qu’on va, va…aller dehors du coup?»

Très bonne question. Que t’avais déjà eu du mal à formuler, parce que tu ne savais pas par où commencer, parce que tu détestais devoir parler à une personne que tu ne connaissais pas, et que ça te mettait affreusement mal à l’aise, t’avais déjà l’impression de ne pas dire ce qu’il fallait, et qu’il était possiblement capable de s’énerver à n’importe quel moment.

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