Hear the rumble, Hear my voice •• Vincent ♥

"But the Lord said go to the Devil."Bien trop de choses se produisait durant ton été. Durant cette année. Tu avais un peu de mal à tout gérer, surtout quand tout te tombe sur la gueule, sans même te laisser quelques moins de repos pour souffler. En premier lieu, le décès de Misam était une nouvelle dont tu ne t'attendais absolument pas. Qui ne te plaisait pas non plus.  Mais tu ne pouvais rien n'y faire. Si. Tu pouvais déjà apporter tout ton soutient à sa famille. A la famille que tu considères comme la tienne à certains égards. C'est en parti grâce à Eltanin oui. Ton meilleur ami, ton frère. Pas de sang, mais tu le considères comme tel. Si cela est déjà assez gros, quand tu as découvert les marques de scarifications sur les bras de ton meilleur ami, tu eus aussi un pincement au coeur. Une envie de vouloir l'aider. Ne pas l'abandonner. 


Et alors que les jours suivant commençaient à s'atténuer. Tu collais Eltanin, le rejoignant à la sortie des cours que vous n'aviez pas en commun, sauf que ce jour là, c'était un peu plus bizarre. Tu n'avais pas vu Vincent depuis trois, quatre jours. Ce qui était assez étonnant, car tu t'assurais toujours de le croiser, de rester un peu avec lui durant la journée. Mais là, c'est comme si il avait réellement disparu. Ce qui t'inquiétait réellement.


Alors tu avais eu la bonne idée d'envoyer une lettre, à ton oncle et ta tante. Tu attendais leur réponse avec une énorme impatience, et aussi un peu de peur. Tu t'attends à tout comme à rien. Et le jour où les lettres étaient arrivées était sans doute le pire jour de l'année également. En ouvrant la lettre, tu reconnaissais l'écriture si féminine et si épurée de ta tante. Quand tu avais finis de lire cette lettre, tu avais bien senti ta gorge se nouer. Alors sans même daigner expliquer quoi que ce soit à ton meilleur ami, tu t'étais mis à marcher jusqu'au bureau du proviseur. Tu as réussi à pouvoir lui parler, et après quelques explications sincères, tu avais quand même pu quitter l'école et te diriger à l'hôpital où était Vincent.


Tu avais rapidement vu ta tante et ton oncle. Ils t'avaient laissé aller au chevet de ton cousin. Le voir si "paisiblement endormi" te faisait quand même énormément mal au coeur. Tu avais pris place sur une chaise à côté, te mettant à lui caresser le nez de ton index, n'étant vraiment pas rassuré de son état. Mais, telle un signe du Destin, tu l'avais senti légèrement bouger, tu avais décalé ta main, pour la mettre au bord du lit, et ainsi éviter de lui faire peur avec des gestes brusques. Tu n'osais pas vraiment parler, tu voulais juste le laisser se réveiller, après tout, ce qu'il avait vécu était pire que tout.

"But the Lord said go to the Devil." Tu ne savais pas trop non, en détail, ce qu'il était arrivé à ton cousin. Tout ce que tu sais, c'est que ce n'était absolument positif. Le retrouver à moitié mourant dans la forêt n'était jamais une chose bien à savoir. A découvrir. Et dès que tu l'avais appris, ton cerveau  a bugué, tu ne savais pas trop quoi faire, avant de prendre une décision raisonnable. Aller voir ton cousin, malgré que dans la lettre, il était bien dit qu'il était inconscient. Encore moins rassurant c'est sûr. Cela t'avait fait peur, de le savoir limite aux portes de la mort. Tu as vécu déjà deux trucs peu sympas en un seul été, alors si tu pouvais éviter d'avoir une autre mort à ta connaissance, ce serait pas mal. Sinon tu finiras pas songer pour la tienne, de mort. Vraiment pas une chose dont tu as l'habitude de te tarauder l'esprit avec. Mais bon. Au bout d'un moment, tu restes un minimum humain, et parfois, ton cerveau d'humain supportait mal certaines choses.



Mais il s'était réveillé quand tu étais arrivé. Ce qui t'avait tiré un sourire, ce qui t'avait retiré tout ton stresse. Même si tu n'es pas trop rassuré non plus. Tu ne savais pas si il se sentait bien ou non, si il avait mal ou pas. Tu ne sais pas, tu ne sais rien, ce qui te fait tout de même un peu peur. Mais tu ne vas pas le faire paraître, surtout quand il y t'avait reconnu. Tu avais bien vu ses mouvements, un peu vagues, un peu flous. Tu avais légèrement remis la couverture sur lui, et tu n'avais pas pu t'empêcher de lui caresser légèrement les cheveux, rassuré qu'il soit encore là. Tu t'étais mis à doucement lui murmurer.


« O-Oui, c'est moi. O-On est à l'hôpital, tout le monde a-a eu si peur pour toi... A vrai dire, ç-ça a l'air d'être un peu complexe, mais ne t'occupe pas de ça maintenant, d'accord ? T-Tu as mal quelque part ? »

"But the Lord said go to the Devil." Tu respirais calmement, faisant passer ton stresse et ton inquiétude, bien que cela n'était pas si évident que ça non plus, faut pas croire. Tes nerfs, ton cerveau, ton coeur, tes pensées, tout étaient pris d'assaut ces derniers temps. De manière un peu brutale et violente, ce que tu ne cautionnes pas. Tu en as marre. Marre d'empiler, encore et encore. D'empiler les doutes aussi. Tu ne sais pas si tout ce que tu fais, tout ce que tu dis, tout ce que tu entreprends, sont bien. Si tu fais les choses comme il le faut. Tu ne sais plus du tout. Tu avais juste peur. Tu avais beau te montrer fort. Te montrer nonchalant et ignorant face à quelques soucis de la vie, malheureusement ce n'est pas le cas. Cela te prends, généralement et facilement aux tripes. Mais tu te tais, te disant que tes misérables plaintes ne valaient pas le coup d'être dites, d'être écoutées. 


Comme là. Tu avais presque la nausée. Tu ne sais pas si tes gestes sont bons, si il apprécie ou pas. Si il souffrait le martyr, mais qu'il n'osait pas le dire, le signaler. Tu ne sais pas non plus si tu dois prévenir ses médecins, ou ton oncle, ou ta tante, de son réveil. Tu as peur que cela ne soit trop brusque pour lui, qu'il y ait autant de monde, autant de bruit autour de lui. Chose stressante, pour toute personne venant de se réveiller d'une inconscience de quatre jours. Mais au moins, il savait encore parler, rassurant, donc tu allais l'écouter, attentivement. 


« O-On ne m'a pas expliqué... Je viens d'arriver, j'étais à Poudlard il y a quelques minutes, e-et je suis venu auprès de toi aussi vite que j'ai pu... Oui, tu as dormi, pendant quatre bons jours. Aaah, laisse moi arranger tout ça... Les gens, dans le couloir ? T- »


Tu te taisais, voulant éviter de le noyer sous tes questions débiles, il n'a pas besoin de ça. Par chance, il semblait y avoir un gant avec une bassine d'eau, fraîche, juste à côté de son lit. Tu avais donc saisit ce dernier, le trempant dans l'eau, avant de l'essorer et ainsi le poser doucement sur la tête de Vincent. Suite à cela, tu redescendais sa couverture, au niveau de ses hanches, qu'il ait au moins un peu moins chaud. Pour les lumières par contre, tu ne sais pas. Enfin, tu ne sais pas si tu as le droit d'y toucher. Mais au pire, tu t'en moques pas mal. Tu t'étais donc levé, pour baisser un peu les volets de la chambre, en tentant de faire le moins de bruit possible, pour éviter d'alourdir son mal avec les sons autours. En parlant des sons, tu ne pouvais pas te permettre d'ordonner aux gens du couloir de fermer leur gueule. Alors tu t'étais juste assuré que la porte était un peu plus fermé, un peu plus coupée des gens devant. Quand tout ceci fut fait, tu retournais auprès de ton cousin, essayant d'esquisser un sourire. 


« J-Je suis si rassuré que tu n'ais ... Rien. »

"But the Lord said go to the Devil." C'est dingue, à quel point tu peux te sentir concerné pour quelque chose, ou par quelqu'un. En l’occurrence, rien ne t'avait obligé à rejoindre ton cousin dans cet hôpital. Mais tu l'as pourtant fait, sans même avoir une raison totalement précise. En y réfléchissant un peu plus, tu saurais trouver une raison. Tu fus pris d'une émotion, d'un sentiment totalement humain : l'inquiétude. Celle de perdre un proche. Ou alors que tu le retrouves dans un état catastrophique. Ce qui n'était pas totalement le cas, au final. Il avait l'air totalement en forme, ou presque. Intérieurement, tu ne sais pas ce qu'il pouvait ressentir, mais tu feras en sorte que ce soit positif. Tu essayeras du mieux que tu peux en tout cas. Tu ne peux décemment pas le laisser se démerder, tout seul, en ayant mal ou tu ne sais quoi d'autre de relativement pas agréable. Mais cela avait l'air d'aller, si tu te fiais rien qu'à son physique. Tu lui souriais doucement. Tu avais tellement envie de le prendre dans tes bras, ou juste lui caresser les cheveux. Mais tu ne sais pas si il approuverait, alors dans le doute, tu ne te contentais que de léger rictus.


« Dans la forêt ? Je vois... J'me sentais bien obligé de venir, tu restes quand même mon ptit cousin. Oui... Mais tu t'es réveillé, c'est le principal. A ce point...? Ca va s'arranger. Tu viens de te réveiller et tout... »


Tu espères que cela va s'arranger oui. Tu n'étais pas médecin après tout. Donc tu ne sais pas à quoi correspondent ces symptômes, mais tu veux juste pour l'instant, le rassurer. Lui dire que cela va aller, qu'il n'a pas à s'en faire. De toute manière, cela ne pouvait qu'aller mieux déjà, vu qu'il était réveillé, qu'il n'était plus dans l'inconscience, un état corporel qui peut être dangereux selon les soucis du patient. Enfin, cela avait l'air d'aller mieux, avec son gant sur le front, et les volets fermés. C'est ce que tu cherchais au fond. Quand il avait penché la tête, ta main était allée d'elle-même vers cette dernière, lui caressant les cheveux, du bout des doigts, quelques secondes. 


« Tu as encore un peu mal aux bras ? T-Tu veux que j'aille le dire à tes médecins, ou tu veux j-juste rester tranquille quelques temps ? Hmm, c'tait y'a quatre jours. Ils t'ont retrouvé le ... Lendemain, ou je sais plus trop quoi, de la pleine lune du mois en plus...  »

"But the Lord said go to the Devil." Tu sentais bien ton cœur, qui commençait à se calmer, à se détendre doucement. Il faut dire que ce petit instant, privilégié avec ton cousin te permettait de te rassurer toi-même. Te dire que tout peut aller qu'en s'améliorant. Du moins, encore une fois, tu l'espères. Ce n'est qu'en l'espoir, que tu crois pour l'instant. Ce n'est pas quelque chose de très rassurant. Comme tu peux le constater, l'espoir peut parfois très vite partir en fumer, pour laisser place à des émotions beaucoup moins positives et tu en passes. Mais tu essayes de ne pas être négatif, pessimiste. Ton cousin a l'air d'aller bien, il peut te parler, un peu bouger. Il respire, cligne des yeux. C'est que rien n'est perdu. Tout est à y gagner, à se dire qu'il ne peut aller que mieux. 


« Oui, je vois... Ne t'en fait pas, cela devrait s'arranger. Si ce n'est pas le cas, on verra pour faire en sorte que ce ne soit plus insupportable pour toi, fait moi confiance. »


Comment pouvais-tu lui promettre une chose dont tu n'étais même pas sûr toi-même. Peut-être avec l'espoir, encore une fois. Encore et toujours l'espoir. En tout cas, il n'avait pas l'air de désapprouver les gestes d'affection que tu lui faisais, alors que tu sais pertinemment qu'il haït ça en temps normal. Cela te faisait plaisir, et cela te permettait aussi de te rassurer, encore et toujours. De le voir, presque détendu, en presque bonne santé. Si seulement ces « presque » pouvaient disparaître, ce serait encore mieux. Mais seulement le temps vous en dira des nouvelles. En attendant, tu pouvais veiller sur lui, déjà au présent, avant de songer à son avenir oui. Tu hochais la tête, avant de la pencher au moment où il avait tiqué à « pleine lune ». Sincèrement, à force d'y réfléchir, sûrement que tu commençais à comprendre ce qu'il s'était passé. Mais tu n'avais pas envie de comprendre, et surtout, tu n'avais pas envie d'avoir raison, cette fois-ci. 


« Je vois. D'accord, restes tranquille alors hm. C'est très long oui... Hmm, oui, la pl-pleine lune. Tu te ... Souviens de quelque chose ? »

"But the Lord said go to the Devil." On voyait bien là ton incroyable investissement pour les cours. Cours que tu n'hésites pas à quitter pour aller voir ton cousin à l'hôpital. Une raison assez validée pour le coup oui, de toute manière, tu avais eu l'autorisation pour sortir. Donc tu n'allais pas avoir de représailles, cette fois ci. Tu n'avais pas l'habitude faire faire quelque chose sans conséquences derrière, et cela est presque... Agréable. De ne pas sentir le danger d'une lettre à tes parents, au-dessus de ta tête là. Non, rien de tout ça n'allait t'arriver cette fois-ci. De plus, tes parents étaient bien au courant que tu étais là. Après tout, connaissant ta mère, elle n'allait pas rester très longtemps inactive face à l'état de son neveu hein. Ce n'est pas son genre, bien que tu étais étonné de ne pas les avoir croisé en venant voir Vincent. Vincent qui d'ailleurs te parlait.


« Oui, je pense bien. J-J'suppose que c'est parce que tu viens de te réveiller, le temps que tous tes sens reviennent à la normal, ça doit prendre quelques minutes, voir heures... Et bien, je pense oui ? Au pire des cas, on fera en sorte q-que ce soit le cas. »


Tu aimerais même lui promettre que tu voudras l'aider malgré tout. Mais promettre une chose dont tu n'es pas sûr de pouvoir tenir n'était pas dans tes cordes. Au contraire, tu préfères promettre, jurer tant que tu en es certain, de ce que tu avances. C'est une règle personnelle.


Tu étais tout de même étonné qu'il ne s'offusque pas, ou ne refuse pas tes contacts. Tes gestes qu'habituellement, tu le connais, qu'il aurait repoussé sans hésiter une seule seconde. Autant en profiter oui, en continuant de lui caresser les cheveux. Cela te rassurerait et te faisait du bien, et tu espérais que ce soit réciproque. Sinon ce serait un peu triste. Mais tu avais cessé assez vite, pour légèrement te redresser, quand Vincent semblait regarder avec insistance ses bras. Et qu'il avait relevé la tête. Ca t'avait inquiété, tu avais cru qu'il avait un problème. Mais au vu du sourire qu'il avait sur les lèvres, cela avait l'air d'être positif, tu penses. Bien que tu avais dégluti en l'écoutant, joignant tes mains, en te mettant à les triturer légèrement. 


« ... O-Oui, je les vois... J-Je... A vrai dire je sais pas trop... »


Tu avais très bien entendu quelqu'un toquer à la porte là. Tu avais légèrement soupiré, avant d'entre-ouvrir la porte. C'était l'un des médecins de Vincent qui demandait si il était réveillé. Bien sûr, tu avais menti, disant qu'il dormait encore, mais qu'il n'y avait rien d'anormal. Le dit médecin t'avait tendu un dossier. Contenant les résultats sur ce qu'il s'était passé. Les conséquences aussi. Tu avais refermé la porte, ayant assez peur. Tu ne t'étais pas retourné dans l'immédiat vers ton cousin, ouvrant son dossier, pour bien voir qu'il avait été mordu, attaqué, tu comprends pas trop, par un loup-garou. Et donc, ce qu'il avait avancé était juste. Tu avais refermé le dossier, te retournant vers ton cousin, essayant d'esquisser un sourire, malgré ton inquiétude. 

"But the Lord said go to the Devil." Ton coeur battait un peu trop vite à ton goût. Certainement pas de manière positive, c'est sûr. C'est même le contraire. Si il battait comme ça, c'était dû à ton inquiétude, qui se faisait grande. Beaucoup trop grande. Tu as, déjà, toujours haïs les hôpitaux. Le milieu médical t'avait toujours fait peur, au point que tu en as sûrement développé une certaine phobie. Pas non plus au point où il faut limite te foutre dans l'inconscience pour que tu acceptes une prise de sang, mais pas loin. Bon déjà, tu n'as jamais eu besoin d'aller à l'hôpital pour l'instant, donc tu ne vas pas t'en plaindre. La chose la plus triste, c'est que dès que tu y vas, ce n'est pas pour toi mais bel et bien pour une personne de ton entourage. La dernière fois, c'était pour ton père, qui avait fini empoisonné sans raison particulière, soit. Peut-être qu'un jour, ce sera à cause de toi, que tu devras aller à l'hôpital pour quelque chose de grave. Ou peut-être pas non. Et tant mieux en soi. 


« Sûrement oui... »


Tu paraissais pas réellement convainquant là tout de suite. Mais tu étais toujours autant paniqué en fait. Ce qui n'était pas fortement agréable, de un, et surtout, c'était frustrant. De s'inquiéter pour une chose dont tu ne sais même pas l'existence. Tu sais que tu as peur, du moins, tu as eu peur de perdre ton cousin. Peut-être là le seul membre de ta famille que tu supportes, que tu aimes aussi. Et juste imaginer un seul instant, un moment où l'on t'annoncerait qu'il serait décédé, sincèrement, tu ne penses pas que tu t'en serais remis. Maintenant, tu commences à comprendre, ce que cela fait, de perdre quelqu'un de sa famille, ou du moins, tu arrives maintenant à t'imaginer la douleur que cela peut produire en une personne concernée.


Tu avais peur d'autre chose aussi. Une chose de plus en plus plausible maintenant que tu observes ton cousin, que tu réfléchis aux symptômes qui le font souffrir. Qu'il soit devenu un loup-garou n'était vraiment pas impossible. Bien que cela ne te faisait pas plaisir, et tu te jures, de retrouver ledit loup-garou, pour lui faire payer le fait de s'être attaqué à Vincent.


Quand tu avais vu les résultats finaux, le fait que Vincent était bien un loup-garou, cela t'avait fait mal. Très mal. Mais le son de sa voix t'avait ramené à la raison. Tu n'étais approché de nouveau de lui, le regardant quelques secondes, avant de t'asseoir sur son lit, à côté de lui, posant une main sur ses cheveux, les caressant en souriant, retenant des larmes de peines. Un jeu des sentiments. Tu te bats contre ce que tu penses réellement. Pour éviter qu'il te voit faible. Éviter qu'il ne te voit pleurer, éviter qu'il ne remarque que tu n'es pas aussi fort que tu ne le fais penser.


« Oui... Tu avais raison, tu es bien un... Loup-Garou, tu t'es fait attaquer durant cette nuit là... Je crois. »


Tu t'étais mordu la lèvre, avant de te pencher, le prenant dans tes bras, le serrant contre toi, sans penser à sa non passion des contacts. Mais là, bizarrement, tes larmes étaient bien mieux là, en train de couler sur tes joues alors que tu essayais juste d'étreindre ton cousin.