T’avais eu un peu de mal à sortir de ton lit, ce matin. T’y étais tellement bien en même temps, et tellement bien installé surtout. Sauf que tu n’allais pas pouvoir y rester indéfiniment. Malheureusement. Bon tu te serais fait chier aussi à partir d’un moment, mais t’étais certain que rester chez toi n’aurait pas du tout été un problème non plus. Mais t’avais réussi à te motiver un minimum et en te bougeant un peu le cul, t’étais arrivé même en avance. Et t’en avais profité pour manger là-bas. C’était toujours mieux que de commencer le ventre vide hein. T’aurais peut-être même pas tenu très longtemps.
Surtout que t’avais dû enchaîner plusieurs patients l’un à la suite de l’autre, une bonne dizaine avant d’avoir enfin un peu de temps pour toi. T’allais pas non plus glander, mais au moins t’avais pu prendre un peu plus ton temps, en remplissant quelques dossiers, même si ça n’avait strictement rien de bien passionnant. Il fallait bien que ce soit faire un jour, de toute manière, et tu n’allais pas non plus déléguer ça à quelqu’un d’autre. Ca n’aurait pas lieu d’être, déjà. Puis si tu devais faire encore preuve de sociabilisation forcée là tout de suite, tu finirais par juste envoyer chier la première personne qui commencerait à te fatiguer ou t’ennuyer. Pas méchamment, mais autant éviter, on ne savait jamais que tu tombes sur une personne qui soit plus sensible que les autres, ou qui le prendrait mal. Et franchement t’avais pas besoin de ça.
Quoique, ça pourrait être mieux que de t’en tenir à une espèce de routine qui commençait un peu trop à s’installer, et qui, tu n’en doutais pas, te tuait à petit feu. Pas littéralement, fort heureusement, mais ça ne t’empêchait certainement pas d’essayer de trouver moults moyens de la briser au plus vite. Histoire d’éviter que tu n’accumules trop et que tout n’explose d’un coup. Même si tu ne doutais pas un seul instant que ton esprit trouverait malgré le manque de réflexion, une idée incroyable, si tu pouvais éviter de perdre ton travail et même quoique ce soit au passage, ce serait quand même un peu mieux. Même énormément.
Au final, actuellement, t’avais juste besoin de t’occuper, de t’occuper l’esprit si possible d’une manière un tant soit peu distrayante. Y avait bien ce local, aux grandes vitres juste à côté de l’entrée de l’aile. Si on arrivait à avoir une bonne place, c’était l’endroit idéal pour pouvoir regarder les allers et venues de chacun, et encore mieux, de pouvoir juger à peu près tout ce qui bougeait aussi. Et faute de mieux, t’allais te contenter de ça pour le moment.
On aurait même dit que la chance te souriait un minimum, étant donné que la pièce était parfaitement vide. T’avais bien pu t’étaler et surtout te mettre au meilleur endroit. Là déjà, c’était un peu mieux. T’aurais presque trouvé de la motivation. Si ton attention s’était un peu amoindrie, étant donné que ton regard allait du mouvement des gens à tes dossiers, ta concentration n’en était pas spécialement perturbée, au moins t’était un peu plus productif, mine de rien. Du moins tu l’étais, jusqu’à ce que tu n’aperçoives une silhouette familière. Qui n’était clairement pas celle d’un des patients que t’avais l’habitude de venir voir ces derniers jours.
Il n’était pas rare qu’Isaac ne passe à l’hôpital de temps en temps, mais tu ne te souvenais pas qu’il ait spécialement un rendez-vous aujourd’hui. Ca faisait clairement moins d’un mois que tu ne l’avais vu à propos de sa santé. A moins qu’il ne soit là pour venir voir quelqu’un d’autre, mais dans l’incertitude, tu préférais toujours aller voir, si jamais il y avait un problème, et que tu pouvais être utile. C’était toujours pas mal. T’avais pas trop tardé à te lever, pour aller à sa rencontre, laissant derrière toi tes dossiers et autre, clairement ça t’arrangerais en fait si quelqu’un te les subtilisait, donc bon.
« ▬ Isaac ? Qu’est-ce que tu viens faire ici, tu as…eu un problème ? »
Sujet: Re: Hang in there || Isaac Sam 17 Aoû - 19:20
You can be My King, please?Au début, tu avais cru à une simple fièvre de passage. Au fait que, hier soir, tu étais rentré sous une pluie froide, et que tu avais peut-être très certainement oublié de te sécher correctement, trop fatigué pour y penser. Tu avais couru vers ton lit, et tu t’y étais laissé tombé, épuisé comme tout de la fatigue de boulot. Après tout, tu avais eu une journée très chargé, entre tes trois séances de photo à différentes endroits de la ville : Le boulot de photographe pouvait être vraiment chargé des fois. Tu avais donc profité de voir ton lit pour simplement y tomber dedans, sans penser aux conséquences de garder tes vêtements mouillés toute la nuit. De tout, tu avais toujours été doué pour oublier de prendre soins de toi. Ou, simplement, pour ne pas prendre conscience des dangers que pouvait amené certaines choses. La marque de brulure sur ta main, qu’heureusement Eltanin t’avait guérit, en étant bien la preuve. Tu n’étais en aucun cas en mesure de comprendre, ni de gérer le niveau de danger que pouvait comporter une action. Tu avais apprit à te considérer intouchable, mais en te réveillant ce matin, la réalité t’avait ramené au droit chemin. Tu étais capable de tomber malade, et même, bien plus que les autres du à tes problèmes de santé. Quand tu t’étais réveiller le lendemain matin, tu avais cru à un petit mal de tête, qui allait s’effacer avant d’aller au travail. Mais plus les minutes s’écoulaient, plus la douleur augmentée. Le mal de tête, les frissons, la fièvre qui montait, la difficulté à se lever…
Tu avais cru n’être pas capable de bouger de ton lit, pendant un moment. Tu avais cru que la douleur allait être si forte qu’elle t’aurait empêché de te lever. Mais tu savais aussi que tu devais te lever, au moins pour aller à St-Mangouste. Pour aller voir le seul médecin dont tu faisais confiance à ses traitements : Eltanin. Il avait été le premier, lorsque tu étais en première année à Poudlard, à réellement soulager ta douleur. Il avait été le première à venir apaiser réellement ta douleur. Et depuis, il était le seul médecin en mesure de comprendre ce que tu vivais, ressentais, ce que tu avais comme problème. Ou plutôt, il était le seul dont tu avais envie de voir. Le seul que tu faisais confiance pour te guérir. Le seul que tu avais envie de partager ta plus grande faiblesse : Ta santé.
Avec tu ne sais qu’elle force, tu avais sortit du lit. Tu t’étais rapidement changé, tu avais attrapé ton foulard, puis tu étais sortit dehors, le pas tremblant. Pour la majorité des cas, une fièvre pouvait se guérir avec quelques médicaments et du repos : mais dans ton cas, cela pouvait aussi amené des problèmes en plus, donc il était toujours nécessaire d’observer pour s’assurer que rien ne s’aggrave. Tu t’étais rendu à St-Mangouste, en espérant que Eltanin te voit arrivé de loin et que tu n’ailles pas à mentionner son nom, que tu n’ailles pas à parler avec d’autres personnes. Et ce fut chose accomplit lorsque tu le vis arrivé, lorsque tu croisa son regard parmi les autres. Et sa voix retentit, et tu aurais presque sourire tant tu étais heureux de le voir. « Eltanin… » Tu murmures son prénom, alors que tu viens secouer lentement la tête, passant ta main sur ton front. « Je crois que j’ai attraper froid… » Ta voix est plus faible que d’habitude, plus douce, par faiblesse, par fatigue, surtout. Ton regard s’attarde sur le sol un moment, puis sur les mains d’Eltanin. Des grandes mains. Fortes. Puissantes. Tu viens en attraper une, sans vraiment le remarquer, et tu glisses tes doigts entre les siens, lentement, avant de venir la soulever pour la poser sur ton front. « Ta des mains… Superbes… » :copyright:️ 2981 12289 0
Invité
Sujet: Re: Hang in there || Isaac Mer 21 Aoû - 9:49
I was born sick, and I love it.
Faudrait vraiment qu’un jour, tu te trouves un hobby qui pourrait facilement t’occuper voire te distraire lorsque tu commencerais sérieusement à t’ennuyer ou que tu risquais de ne plus faire attention à quoique ce soit à cause d’un manque d’intérêt grandissant comme maintenant. Tu savais que même te concentrer sur quelque chose de plus léger, de plus agréable pendant quelques minutes suffiraient. Et en soi, t’aurais juste pu prendre une pause pour aller faire un tour dehors, de quelques minutes. Mais à cette heure, il y avait plein de gens, et en plus tu savais qu’il suffirait à certaines personnes d’apercevoir ce qui ressemblait à un habillement de guérisseur pour se permettre d’aller t’aborder et essayer de pouvoir passer devant d’autres. Ce que tu comprenais, mais tu ne pouvais pas y faire grand-chose, à moins qu’ils ne soient réellement aux portes de la mort. Puis même, se balader sans aucun but, ce n’était pas vraiment ce que tu préférais non plus. T’aurais l’impression de perdre ton temps. Ce qui était loin d’être agréable. Bon, peu de choses l’étaient à tes yeux, oui. Mais est-ce que t’en avais quelque chose à faire. Au moins quand t’en faisais une, t’étais d’autant plus heureux.
Alors même si c’était assez triste à dire, t’avais été heureux de voir une tête familière se pointer. Même si ça pouvait annoncer quelque chose de relativement mauvais, ça avait anéanti ton ennui en un rien de temps. Et tu n’allais vraiment pas t’en plaindre. Pour le moment. Tu changerais peut-être d’avis en écoutant ce qu’il avait. Mais t’allais pas commencer à t’imaginer moults maladies, ça ne servirait à rien hormis stresser encore plus. T’as quand même un air assez concerné sur le visage assez rapidement. Tu le vois à sa manière de se tenir, à son attitude générale. Ca te rassure un peu, lorsqu’il te dit qu’il a attrapé froid, certes dans son cas, cela peut se montrer assez grave, mais ce n’était pas non plus mortel. T’avais un peu acquiescé de la tête en le regardant.
« ▬ Tu as…des symptômes depuis longtemps, ou tu es venu directement ? »
Autant poser la question tout de suite, même si t’étais déjà prêt à le faire entrer dans une salle plus appropriée pour pouvoir l’ausculter, ce serait un bon début. Sauf qu’il avait pris tes mains, une de tes mains même, venant la prendre et la mettre sur son front presque brûlant. Ca t’avait un peu fait sourire, même si ça pouvait être assez inquiétant, qu’il ne devait pas se rendre compte de ce qu’il disait non plus.
« ▬ C’est gentil, merci ! Elles te retournent le compliment ! »
T’en avais profité pour te placer à côté de lui et mettre ta main libre sur son épaule pour pouvoir le guider dans le couloir, jusqu’à trouver une chambre de libre, le laissant s’asseoir, ou se coucher sur le lit, comme il le préférait. Tu l’avais un peu dévisagé, pour essayer de voir s’il y avait des symptômes assez visibles, comme sa fatigue, par exemple.
Sujet: Re: Hang in there || Isaac Lun 9 Sep - 8:45
You can be My King, please? Si tu attendais toujours un peu avant de venir voir Eltanin, c’était surtout parce que tu avais vraiment l’impression parfois de penser plus de temps à l’hôpital qu’à ton appartement. En même temps, cela n’allait pas vraiment te déranger, vu combien tu adorais passer du temps avec Eltanin : Sauf que tu n’avais pas non plus envie d’empiéter toujours sur son travail, et de devenir une plaie plus qu’autre chose. Tu avais espéré, donc, au début que la douleur ne s’en aille. Mais rien à faire : les symptômes ne se calmaient pas, pire, ils s’empiraient. Donc tu avais enfin décidé de te bouger de chez toi pour te rendre dans ce lieu que tu ne connaissais que trop. Les murs blancs, l’odeur, les gens, tu savais très bien comment était Saint-Mangouste depuis le temps. Mais la joie d’avoir un médecin attitré, vu que c’était bien ça que tu avais, ça t’aidait à avoir rapidement des soins et pouvoir fuir cette endroit que tu n’aimais pas vraiment, tu devais avouer. Ce n’est pas parce que tu étais toujours entre ces murs que tu les appréciais plus pour autant, au contraire. Mais s’il y a bien une chose qui te faisait aimer cet endroit, c’était bien de voir Eltanin, avec ce visage toujours un peu inquiet. Être inquiet, ça voulait dire qu’on tenait à quelqu’un, non? C’était … rassurant. D’une certaine façon. Rassurant de le voir toujours inquiet pour toi, malgré ces années. Malgré toutes ces années, il était toujours le premier à venir te soigner. Le premier à te rassurer. Alors quand tu le vois arriver, tu ne peux empêcher ton cœur d’en être soulagé un peu. « Euh… Depuis ce matin, je crois. Je suis rentré… tremper hier… » Tu gémis un peu, lentement. C’est plus fort que toi, tu croises le regard de Eltanin et tu lui adresses un sourire. Il est le seul à te voir sourire aussi sincèrement. Tu es doué pour faire semblant, pour sourire pour faire « beau », mais des vrais sourires sincères, tu les réserves aux gens comme Eltanin, que tu aimes particulièrement fort.
Tu le suis dans la petite chambre, tout en retirant ta main après un instant, relâchant lentement celle d’Eltanin en riant un peu. Tu es épuisé. Tu ne te sens vraiment pas bien. Tu as un air fatigué, et ton front est brulant. Tu t’installes sur le petit lit présent, t’assoyant dessus lentement. « Ouaiiiis…. » que tu souffles lentement, avant de venir te coucher sur le lit, soupirant un peu, glissant ta main sur ton visage fatigué, fermant un peu les yeux, tout en balançant ton autre main dans le vide. « T’était pas trop occupé, j’espère….? » que tu finis par souffler en rouvrant les yeux, pour les poser sur l’ancien Serdaigle. « Je sais bien que tes mon médecin personnel, mais j’aurais pu attendreeeeee… » Aaaah ça tourne. Tu fermes les yeux à nouveau, grimaçant. Ça fait vraiment mal, tout ça. Tu viens te tourner un peu sur le côté pour essayer de garder un œil sur Eltanin, soufflant un peu. « Dit Elta… T’a déjà penser qu’on méritait plus…? Tu sais, faire plus… » Waw. C’est super clair ta question, vraiment. Ta surtout pas l’air complètement bourré?! « Tu sais avec nos talents et nos connaissances… » que tu finis par murmurer, lentement.
Sujet: Re: Hang in there || Isaac Mer 25 Sep - 10:03
I was born sick, and I love it.
Est-ce que t’étais conscient qu’en faisant ça, tu te rajoutais du travail, étant donné que t’allais de toute manière devoir les faire, ces dossiers et que si tu prenais trop de temps, tu n’aurais plus que le temps de les faire en dehors de tes heures. T’aimais peut-être pas te faire chier, mais quand même. Si tu pouvais t’occuper autrement qu’en replongeant ta tête dans de la paperasse, ça pouvait être pas mal. Parce que à ce train-là, t’allais finir par simplement trouver un moyen de relâcher la pression de manière un peu plus radicale que juste sortir de temps en temps. Déjà que tu sortais de plus en plus, que tu supportais encore moins qu’avant de rester enfermé. Vu comment ça avait pu finir une des dernières fois aussi, t’allais réellement t’attirer des problèmes un jour ou l’autre. Peut-être incessamment sous peu.
T’arrivais pas à t’en inquiéter, t’arrivais pas à te dire que tu pouvais courir gros pour ce dérapage que t’avais un peu trop apprécié. Certes ton but premier n’avait pas du tout de tuer ces moldus, mais le résultat était là. Le résultat était aussi que t’avais un peu trop apprécié ça. Beaucoup plus que tu ne l’aurais dû, en fait. Pas juste de les voir inanimés sur le sol, mais ce moment, où t’avais eu le contrôle entier de la situation, juste le fait de pouvoir les faire souffrir gratuitement, d’avoir la possibilité de décider de s’ils vivraient ou non. Ca ne t’étonnait clairement pas, ce n’était pas nouveau, que t’aimais avoir le dessus, le contrôle d’un peu tout. Mais si tu pouvais deux minutes arrêter de faire attention à tes propres délires d’égocentrisme pour te focaliser un minimum sur une personne souffrant réellement de quelque chose, ça pouvait être pas mal aussi.
« ▬ Mh, tu ne t’es pas changé ou séché avant de te poser ? T’avais la flemme de te doucher et tu t’es dit que ça ferait l’affaire ? »
Pas du tout la meilleure des choses à faire vu son état actuel. Tu reprends un peu plus ton sérieux, surtout ne l’entendant geindre un peu, malgré son sourire. La priorité était de trouver une salle plus calme pour pouvoir le poser là où il pourra être installé plus tranquillement, et où peu importe son état, il ne risquerait pas de tomber, ou de se faire encore plus mal. Ca n’avait pas été vraiment une chose facile, il fallait dire qu’après l’attaque, pas mal de gens s’étaient retrouvés ici, et devaient y être pendant encore un bon bout de temps. Une chance que ta cheville ne te fasse pas plus mal que ça. Elle te lançait encore un peu, surtout maintenant, en fin de service. Ca irait mieux une fois que tu serais posé, une fois que tu serais rentré, si tu n’avais pas encore une autre merveilleuse idée.
Tu le laisses s’installer sur le lit, surveillant quand même qu’il ne fasse pas un faux mouvement, ou qu’il ne finisse pas par tourner de l’œil, secouant légèrement la tête de gauche à droite lorsqu’il te pose une question.
« ▬ Non, t’inquiètes pas pour ça, tu m’as plutôt sauvé d’une attaque de dossiers particulièrement ennuyeux. Bien sûr, t’en as d’autres des idées géniales comme celles-là ? J’aurais pu te faire attendre entre le couloir et mon bureau, et t’aurais fini par servir de tapis ? Je sais que j’en aurais bien besoin d’un neuf mais quand même. »
T’avais un peu souri, avant de t’installer sur une chaise non loin du lit, en étendant un peu ta jambe, et en venant prendre une éprouvette que t’avais déjà sur toi. Autant être pérvoyant, c’était toujours plus simple de garder quelques potions basiques sur soi plutôt que de devoir aller les chercher, ou les faire venir en dernière minute. Mais alors que tu étais en train de l’ouvrir, il te pose une question qui te fait un peu hausser un sourcil. Tu ris légèrement, en même temps, ça te décompresses un peu, en voyant que même s’il n’est pas au meilleur de sa forme, il arrive encore à parler. Peut-être pas à filtrer exactement ce qu’il voulait dire, mais c’était toujours mieux que rien.
« ▬ Bien sûr que si, je ne peux pas vraiment parler pour toi, mais croupir dans un hôpital n’est certainement pas mon idéal. Mmh, il y a toujours quelques moyens de les mettre à bon escient si on arrive à rester prudents. T’as une idée particulière en tête ? »
Parce que bon, c’était bien là de faire ton trafic de potions lors de ton temps libre, d’en faire diverses et variées pas spécialement légales non plus quand t’en avais l’occasion, mais c’était loin de te satisfaire entièrement. T’avais un peu soupiré en lui tendant la fiole, histoire de faire au moins un peu baisser sa fièvre pour commencer, ça pouvait être pas mal.
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