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 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds

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MessageSujet: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 22:59

Vincent Nicolaus Rosier

Feat. Ryan Reynolds




Âge : 33 ans Sexe : Masculin Date de naissance : 26 mars 1986 Nationalité/Origines : Ecossais Orientation sexuelle : Bisexuel Statut civil : Célibataire Maison : Ancien Serdaigle Groupe : Magic can be Bad Profession/Études : Membre de la garde à Gringotts Statut de sang : Sang-Pur Baguette magique : Bois de Noyer, 31.3 cm, crin de Kelpy, rigide Patronus : Jindo coréen Sa relation avec la magie : T’admires la magie, t’admires ceux qui arrivent à l’employer à la perfection. T’apprécies énormément pouvoir l’utiliser, et ce un peu comme tu veux. T’en as fait un moyen d’expression, sans compter qu’elle te donne en même temps une source de pouvoir assez grande. Elle te permet d’arriver plus facilement à tes fins, te permet aussi d’accomplir des choses que tu n’aurais tout bonnement pas pu, ou envie de faire sans elle. Si tu t’es intéressé à la Magie Noire, ce fut tout d’abord par mimétisme, avant de totalement t’y complaire et de continuer par toi-même. Signe(s) distinctif(s) :T’as la fâcheuse habitude de ne jamais regarder les gens dans les yeux, que ce soit en leur parlant, ou même lorsqu’on t’adresse la parole. A moins que ce ne soit quelqu’un de vraiment proche. T’as une posture un peu particulière qui donne l’impression que t’es mal à l’aise, même quand tu ne l’es pas. Il t’arrive souvent de répéter le même mot, à plusieurs reprises, ou le même bout de phrases, généralement quatre fois. Depuis que t’es enfant, on t’a diagnostiqué un syndrome d’Asperger. Couplé à ça, tu te trouves être un loup-garou, mordu par l’un d’eux l’année de tes quinze ans.



Caractère


T’es pas spécialement facile à cerner comme personne, au premier abord, ou lorsqu’on ne te connaît pas spécialement non plus. Faut dire que tu ne cherches pas à te faire remarquer, déjà, et que dans un groupe de personne, tu pourrais plus passer pour un mur qu’autre chose. T’es pas loquace pour deux gallions, alors à moins que l’on ne te pose directement une question, tu préféreras garder tes pensées pour toi. En plus de faire preuve d’un certain mutisme, tu sais depuis pas mal de temps, que ta vision de percevoir, voir et comprendre les choses diffère énormément de celle des autres. Pourtant, tu fournis des efforts, t’essayes même encore parfois aujourd’hui, quand t’en as un minimum la patience.

Ce qui n’arrive pas spécialement souvent. Elle est facilement ébranlée. Un rien te déstabilise, un bruit trop fort, une routine interrompue, quelque chose qui ne se passe pas comme t’avais osé le planifier. Et dans ces cas-là, tu te renfermes, tu te renfrognes et t’es capable de devenir l’une des personnes les plus imbuvables du monde. Si déjà en temps normal, tu peux passer pour une personne égoïste, n’ayant que tes propres émotions sur lesquelles te baser -n’arrivant pas à déchiffrer celles des autres-, c’est encore pire dans ces moments-là. Tu ne fais même plus attention à ce, et à ceux, qui peuvent t’entourer, pour essayer de te concentrer sur quelque chose de familier, qui pourrait t’aider à retomber sur tes pieds plus facilement.

T’as d’ailleurs tendance à répéter des mots, voir même des bouts de phrase entiers, quand tu parles. Ca t’aide à garder le fil, et le fais toujours quatre fois. Un chiffre qui t’est important depuis que t’es tout petit, tu fais une fixation dessus, qui tient même de l’obsession. Il n’est pas rare que t’aies d’ailleurs en quatre exemplaires pratiquement tout ce que tu possèdes, ça te déstresse, dans un sens. Comme le rangement, de vivre dans un environnement immaculé. T’es d’un perfectionnisme qui pourrait devenir effrayant aux yeux des autres. Chaque chose à sa propre place, et il est hors de question qu’elle en soit décalée, même de quelques centimètres.

T’es aussi une personne extrêmement exigeante, autant envers toi qu’envers les autres. Tu ne laisses pas facilement passer ce que tu considères être comme un écart, ou un échec. T’hésites pas à le faire remarquer non plus. Le mensonge, ce n’est pas quelque chose que t’arrives à manier ou que t’apprécies. T’y arrives pas de toute manière, tu préfères être franc. Ca évite les quiproquos, puis surtout, t’as aucune idée du second degré non plus. C’est comme l’ironie, le sarcasme, t’arrives jamais à le déceler. Tu prends tout au pied de la lettre, que ça paraisse totalement absurde pour les autres ou non.

De toute manière, t’as jamais réussi à montrer le moindre signe d’empathie, alors tu ne t’intéresses clairement pas à ce que peuvent penser les autres, ressentir les autres. Ca peut mener à ce qui pourrait être pris comme un certain égocentrisme. Tes phases d’obnubilation pour certaines choses n’aident pas non plus. Surtout lorsque t’as du mal à écouter les autres, que tu trouves la conversation trop longue, et qu’au choix, tu te mets à parler, ou penser, à ce qui te passes par la tête, sans vraiment penser au reste.

Si t’es vraiment pas doué pour tout ce qui est social, on ne peut pas nier le fait que t’aies une intelligence assez remarquable dès qu’il s’agit de tes études, ou même de tout ce qui peut être logique et terre-à-terre. Surtout la logique, t’as une capacité d’analyse hors du commun. Même si elle ne parle pas à tout le monde, lorsque t’essaye de l’expliquer, les résultats sont là. Tu n’as jamais eu de problèmes au niveau de ta scolarité d’ailleurs, sans faire trop d’efforts non plus, mais t’as toujours aimé te plonger dans les livres, apprendre le plus possible sur plusieurs sujets. En plus vu que tu voyais que t’y arrivais bien, t’avais envie de faire des efforts, contrairement à d’autres points.

Il faut dire qu’il y en a certains que tu ne sauras jamais retravailler, améliorer. A commencer par ta possessivité.  Que ce soit envers tes affaires, ou les personnes qui te sont chères, tu ne peux pas t’en empêcher, de les prendre pour acquises, acquises et réservées à ta personne. Tu ne conçois pas vraiment le fait qu’elles puissent avoir besoin de connaître, fréquenter d’autres gens, que tu ne leur sois pas suffisant, en fait. Pour couronner le tout, t’es jaloux. Jaloux et rancunier. Un mélange qui ne fait vraiment pas bon ménage, certaines personnes peuvent en témoigner.

C’est un peu comme ta tendance à tout prendre pour acquis, un peu trop rapidement. T’y peux pas grand-chose, du moins c’est ce que tu te dis, que t’es né avec ça. Que ton éducation t’y as un peu poussé aussi. Une éducation que t’as pas toujours su suivre à la lettre, à cause de ta difficulté à gérer ta colère. Une colère qui peut se démontrer assez violente par moment. Même très souvent. T’es jamais arrivé à la contenir, la minimiser.




Histoire


T’as été un enfant extrêmement attendu, dans ta famille. Faut dire que tes parents essayaient d’avoir une descendance depuis quelques années. T’étais un peu comme un miracle, pour eux. T’as été choyé dès le moment où t’as vu le jour, que ce soit par ta mère ou par ton père. T’as jamais manqué de quoique ce soit, même si tu n’étais pas du tout le genre d’enfant à en profiter, ou en abuser. Tu ne demandais quasiment rien à vrai dire, tu ne montrais rien non plus, ce qui avait un peu inquiété tes parents. Le manque d’expressions, le manque de paroles. Le manque d’intérêt pour beaucoup de choses. Ils ont rapidement compris, que quelque chose clochait, que t’étais différent des autres. Bien plus qu’ils ne voulaient l’imaginer, l’admettre. Ils avaient fait tout, absolument tout comme il le fallait, alors ils ne comprenaient pas pourquoi tu te comportais de la sorte. Pourquoi tu n’essayais pas non plus d’aller un minimum vers les autres, même pas eux.

Plus le temps passait, moins ça s’arrangeait. Tu développais un manque d’empathie assez énorme aussi, que ce soit envers les humains ou même les animaux. Spécifiquement envers les insectes. On n’aurait su compter le nombre d’heures que tu pouvais passer assis par terre à écraser le premier que tu voyais. Tu trouvais ça nettement plus intéressant que d’aller vers les autres. Ce n’était pas qu’on te rejetait, c’était que tu ne faisais aucun effort, en plus de rester expressément en retrait. Tu n’en voyais de toute manière pas vraiment l’intérêt.

Un peu comme la prise de parole. T’as mis énormément de temps avant de daigner dire ton premier mot, à parler couramment. Parce que t’arrivais à te faire comprendre autrement. Que t’aimais pas non plus spécialement parler, tu ne le faisais jamais de bonne foi. Ce qui te fascinait par contre, c’était les loups-garous. T’avais développé une fascination inexpliquée envers eux. Eux et les horloges. Deux sujets dont tu ne te lassais jamais. Dont tu ne te lasses toujours pas, d’ailleurs. Comment tu pourrais.  Si tes parents n’avaient pas trop compris sur le coup, ils avaient daigné t’offrir les ouvrages que tu désirais. C’était en même temps la seule demande que tu faisais tenant du caprice.

T’as eu un peu de mal à tes onze ans, à devoir quitter le manoir. Certes, tes parents t’y préparais depuis un bon bout de temps, mais tu n’avais juste pas envie d’y aller, de couper le cordon, même si on arrêtait pas de te dire que ce serait bien, que t’apprendrais plein de trucs. Tout ce que tu voyais c’était que t’allais te retrouver dans un lieu inconnu, avec des gens tout aussi inconnus et que t’avais déjà décidé de ne pas aimer, en fait. Même s’ils ne t’avaient rien fait. Tu n’avais jamais fait d’efforts pour aller vers les autres, et t’avais aucunement l’intention de commencer ce jour-là.

T’avais bien dû passer par la répartition, et le choix avait été rapidement fait, tu t’étais retrouvé à Serdaigle. La même maison que ta mère avait pu fréquenter. Tout ce qui t’arrangeait, c’était que le dortoir n’était pas spécialement grand et que vous aviez chacun votre espace.

T’aimais clairement pas être ici, autant les cours, tu supportais, ça allait, autant le reste t’aurais préféré l’oublier. Il y avait trop de gens, trop de bruit, trop de règles aussi. Même si t’y plier ne posait pas de problèmes, t’avais eu un peu de mal à tout ingérer. T’avais encore plus de mal à t’intégrer. Tu voyais de loin, quelques élèves de ton année sortir du lot. Des personnes que t’admirais dans un sens, qui avaient l’air tellement extraverties et qui le vivaient bien. Quelque chose que tu ne serais sans doute jamais. Tu préférais de toute façon rester le nez dans tes livres, c’était bien plus rassurant. Bien plus familier. Puis t’aimais juste ça.  T’étais bien déterminé à suivre ce même schéma pour tes sept années d’études, mais après quelques mois, deux personnes s’étaient tournées vers toi, Alexander et Kamille. T’avais été assez sceptique, au début. T’avais surtout crû que c’était plus pour se foutre de ta gueule qu’autre chose, étant donné qu’ils faisaient justement partie de ces élèves que t’avais commencé à admirer. Tu t’étais rendu compte petit à petit que ce n’était pas le cas, qu’ils avaient de bonnes intentions.

Tu t’es finalement ouvert à eux, ce qui tenait vraiment du miracle. T’étais toujours aussi réticent au contact des autres, mais ils étaient différents. Ils étaient devenus tes amis, t’avais même daigné les suivre, lorsqu’ils pouvaient faire les 400 coups. T’étais un peu réticent, mais avec le temps, ça c’était arrangé. T’avais appris à aimer ces moments, à aimer cette école, cette deuxième famille que tu t’étais trouvée. T’avais réussi à te creuser une espèce de routine, dont t’avais presque vitalement besoin.

Ta vie, t’aurais pu la passer comme ça, sans aucun problème. T’avais trouvé un plutôt bon équilibre, qui t’allait autant physiquement que mentalement, de ton point de vue. Sauf qu’il bascula l’été de tes quinze ans. T’étais au manoir de la famille, bien tranquillement, tes parents étaient en train de manger dehors, t’avais préféré rester à l’intérieur, à la place que t’occupait habituellement à table, et t’avais fini bien avant eux. Comme tu t’ennuyais t’avais fini par regagner le salon et relire une énième fois un des livres qu’ils avaient pu t’offrir sur la lycanthropie. Cette nuit-là, c’était une nuit de pleine lune, en plus. T’avais pas mis énormément de temps avant de le remarquer, étant donné que tu tenais un calendrier, pour ça.

T’avais toujours voulu avoir la possibilité de voir un loup-garou de tes propres yeux, d’en rencontrer un directement, chose que bien évidemment tes parents t’avaient déconseillée de faire, très fortement, et prenaient soin généralement de veiller à ce que tu restes auprès d’eux ces soir-là, histoire d’éviter que tu ne partes seul en expédition. Ce que tu avais fait, profitant de leur inattention temporaire. Les probabilités ceci dit, que tu puisses croiser un loup-garou dans les bois non loin de chez vous étaient minces, extrêmement minces, mais pas impossibles, visiblement.

Tu l’avais d’abord entendu, et t’avais presque rien vu, senti comme un amas de muscle s’abattre sur toi, un souffle chaud, et surtout, une douleur fulgurante. Une douleur intenable. T’avais aucune idée de combien de temps ça avait pu durer, ni même comment t’avais pu t’en sortir vivant, mais c’était flou. Tout était bien trop flou. Tu sais juste que même lorsque tu t’étais réveillé à l’hôpital, la douleur n’avait pas disparue, tes sens étaient différents, tout était bien trop différent. Tu ne reconnaissais rien, tu ne te reconnaissais plus, non plus. T’as mis du temps, à comprendre, à réaliser et à accepter le fait que ton obnubilation t’avait poussé au pire, à finir par te faire mordre par un loup-garou. Que t’en étais devenu un.

Le regard de tes parents avait changé, le regard du peu de personnes qui étaient au courant, aussi. T’avais une nouvelle fois été totalement perdu, pire que ce que tu n’avais déjà pu vivre, on t’avait qualifié d’encore plus instable. Mais ton père t’avait fortement soutenu. Même s’il avait été un peu distant au départ, il était vite revenu vers toi, il avait compris qu’il valait mieux t’épauler. Que s’il ne le faisait pas, personne d’autre ne le ferait et que ta vie pourrait bien vite être un enfer. Avant que ça ne le devienne, il t’a appris qu’il fallait se battre pour ce que tu voulais, qu’il ne fallait pas hésiter à le faire, à t’approprier ce dont t’avais besoin, avant que qui que ce soit d’autre ne le fasse à ta place. Qu’il fallait s’imposer et surtout ne laisser personne ne te marcher sur les pieds, peu importe le prétexte.

Ses paroles, elles n’ont jamais été aussi percutantes pour toi que cette année-là. Au fil du temps, t’avais développé des sentiments assez forts pour Alexander. Une chose que tu ne savais pas vraiment comment gérer, c’était la première -et la dernière- fois, que tu ressentais ça pour quelqu’un. Ce n’était pas que ça te faisait peur, juste que tu ne savais pas comment le lui dire, que t’avais pas non plus la confiance nécessaire jusque-là. Mais avec tout ce qui avait pu se passer, avec ce que ton père avait pu te dire et t’inculquer, t’avais trouvé le courage nécessaire d’aller lui en parler.

Tu l’aurais eu, si il ne t’avait pas annoncé juste avant qu’il sortait depuis peu avec Kamille. Un choix que tu n’as jamais compris, que tu n’as jamais accepté non plus. Tu ne lui en a pas parlé directement, parce qu’une nouvelle fois, tu n’avais pas su quoi faire. Pas su comment réagir, si ce n’était intérioriser. Intérioriser une rancœur qui s’était transformée au fil du temps en rage. T’avais de plus en plus de tics, et de réflexes violents. Peu graves, ils se comptaient sur les doigts d’une main, mais ils étaient bien présents. T’avais aussi commencé à détester de plus en plus Kamille, alors qu’elle ne t’avait strictement rien fait. Mais tu t’en éloignais, à la limite de la rejeter. Tu ne supportais pas sa vue, tu ne supportais pas la vue de leur couple, de leur bonheur si évident que même toi t’avais pu le remarquer.

Les deux années qui suivirent n’avaient pas été spécialement glorieuses pour toi, du tout. Hormis d’un point de vue scolaire, tes notes ne baissaient pas, bien un des seuls points positifs. Parce que tu te renfermais encore plus, c’est aussi à parti de là que t’as commencé à avoir un peu plus de mal à t’exprimer oralement, que t’as commencé à buter sur certains mots, avant de juste les répéter, à plusieurs reprises. Sans compter que t’avais toujours du mal à gérer ton nouveau statut, à gérer les crises à la pleine lune, desquelles tu ressortais parfois avec plus de cicatrices que tu n’en avais déjà. T’avais aussi l’impression d’être encore plus un paria malgré toi, malgré le fait que t’essayais le plus possible de cacher ta lycanthropie.

T’avais été persuadé que ta dernière année se passerait presque aussi mal que les deux précédentes, mais quelque chose avait changé. Alexander avait perdu son père, une nouvelle qui semblait le toucher profondément. Sur le coup, t’avais pas trop compris pourquoi, t’avais jamais expérimenté la perte d’un proche, ni même la mort directement, d’un être humain. T’avais pourtant essayé de comprendre, mais ça restait un assez grand mystère que t’arrivais pas à percer. Tout ce que t’avais constaté, c’était que tu te rapprochais de plus en plus d’Alexander. Vous passiez plus de temps ensemble, tu l’écoutais et tu t’intéressais à lui, encore plus qu’avant. Parce qu’avec lui, tu sentais qu’il ne te prenait pas pour quelqu’un de stupide, malgré tes questions parfois déstabilisantes. Il était patient aussi avec toi, peut-être bien tout ce dont t’avais besoin. C’était presque comme si vous vous compreniez, comme si vous vous complétiez. Et cet amour que t’essayais de retenir ne faisait que grandir. A un tel point que ça en devenait insoutenable.

A un tel point que t’avais pas su le retenir, un jour, lorsque vous sortiez d’un cours. T’avais eu le besoin de l’exprimer, t’avais eu le besoin de le plaquer contre ce mur, et de l’embrasser. Sans doute pas la chose la plus intelligente à faire, mais au moins, tes intentions étaient claires et nettes. Même si tu savais pertinemment qu’il était avec Kamille, que ce n’était peut-être pas réciproque, mais t’avais rien à perdre dans ta tête. Tu t’en es rendu compte que si, quelques heures plus tard, qu’Alexander ne voudrait peut-être plus jamais t’adresser la parole ou te voir, mais ce ne fut pas le cas. Du tout. Il avait quitté la Gryffondor, pour toi. Sans doute la plus belle chose qui ait pu se passer dans ta vie. Dire que t’avais été heureux serait un euphémisme. Ce jour)là, c’était même le premier où tu te souvenais d’avoir réellement souri, aussi.

Ton avenir avait pris un tout autre tournant, tellement plus positif. A tous les niveaux. T’avais même eu le courage de commencer des études assez difficiles, ayant l’idée de pouvoir travailler au Ministère. Tu savais que ça ne serait pas facile, mais avec Alexander, t’avais l’impression que tout, absolument tout était possible. Vous vous étiez pris un appartement, à deux, et t’avais l’impression que t’aurais jamais pu rêver de quoique ce soit de mieux. Il n’avait pas tout de suite commencé d’études, s’occupant de sa mère, et ça ne te dérangeait pas plus que ça, bien au contraire. Ca ne te dérangeait pas de subvenir à vos besoins, tu te sentais assez important. Ce n’était pas que tu le décourageais de faire des études, mais t’encourageais son choix de rester près de sa mère.

Petit à petit, t’avais changé. Ton comportement, avait changé. Tu t’étais rendu compte que t’aimais bien qu’il soit le plus souvent possible chez vous. Tu préférais, qu’il y soit. T’avais peur du monde extérieur, t’avais peur que pour une raison ou une autre, il ne te lâche pour quelqu’un d’autre. Alors le meilleur moyen d’éviter ça, c’était de le garder chez vous. Il n’avait pas spécialement à sortir de toute manière. Il t’avait toi. Il n’avait besoin de rien d’autre, de personne d’autre. T’avais toujours été quelqu’un de possessif, mais c’était de pire en pire. Tu voulais, et tu faisais en sorte qu’il ne soit qu’à toi. C’était devenu un sujet assez délicat entre vous, voir même de dispute. Et pour toi, c’était devenu assez simple, la plupart des problèmes se réglaient avec la violence. Par moment, tu te rendais compte que t’exagérais, que ce n’était pas nécessaire, alors t’essayais de te clamer, de changer, mais ça ne durait jamais longtemps, parce que t’avais toujours cette peur viscérale qu’il ne t’échappe. Tu le faisais comprendre avec tes paroles, avec tes gestes, et en essayant de le garder auprès de toi tout le temps.Le pire, c’était quand la pleine lune approchait. T’avais de moins en moins de contrôle sur toi-même.

Sauf qu’un soir, quand t’es rentré, Alexander n’était plus là. Il était parti, définitivement. T’avais pas compris, sur le coup. Et en plus de ne pas comprendre ça t’avait mis hors de toi. T’avais ‘impression d’avoir tout perdu, en plus d’avoir raté quelque chose d’important. Que tout t’échappait.  Ca t’avait perturbé à un point que t’avais dû arrêter tes études. T’en avais plus la tête, ni même le courage. De toute manière, t’étais même pas certain de pouvoir arriver à l’avoir, ce poste, si jamais quelqu’un apprenait que t’étais un loup-garou.

Dire que t’as essayé d’oublier Alexander aurait été mentir. T’avais fait tout le contraire. T’avais cherché à reprendre contact, en vain. Il avait bel et bien mis un trait sur vous. Quand tu t’en es rendu compte, la rage t’as aveuglé. A un point qu’un soir de pleine lune, plutôt que d’essayer de te mettre dans un endroit reculé, ou tu ne risquerais pas de blesser qui que ce soit, t’avais délibérément été à un endroit où tu savais qu’Alexander était susceptible de passer. Ca n’a pas raté, d’ailleurs. Même si tu n’en as aucun souvenir, t’as été assez vite mis au courant du fait qu’il était à l’hôpital, toujours en vie, et tu te doutais qu’il lui était arrivé la même chose que toi, à l’époque.

T’en as aucun remords, et à l’époque, tu t’étais même dit que ça aurait pu vous rapprocher. Ce qui une nouvelle fois, n’a clairement pas été le cas. Tu lâches pas prise pour autant, au contraire. T’es d’autant plus déterminé aujourd’hui. T’as même réussi à reprendre un peu ta vie en main, une nouvelle fois grâce à l’aide de ton père. Grâce à ses contacts, t’as pu trouver une place à Gringotts, histoire de ne pas rien faire de tes journées non plus.




Pseudo : Belywiel Âge : 25 ans  Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 428429148  Scénario/Inventé : Scénario ! Comment as-tu connu le forum ? : On se le demande tous  Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995  Que penses-tu du forum ? : Toujours aussi bien :'( Un petit mot pour la route ? : YEET YEET Code à remplir pour recenser l'avatar :
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 23:01

Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 23:02

UN PROBLEME MADAME. Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995
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Wizard ~ Peace is yours
Alistair A. MacFusty
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 23:02

Quoi ? Qui m'appelle ?
Madame n'a aucun problème, okay ? Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995

Rebienvenue en tout cas !

Envoyé depuis l'appli Topic'it
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 23:13

Rerebienvenue à toi avec ce super scénario qui envoie du pâté Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 2025503192 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 2307999839

Nous faudra des liens Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 1279492995
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyDim 25 Aoû - 23:14

◊ Félicitation ! Tu es désormais des nôtres !◊

Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 4e1cefcb9d2b38febf3e9520eea959a2c59a3227_hq

Outre qu'il soit un counnard, j'aime beaucoup son histoire et ce que tu en as fait ! J'ai presque de la peine pour lui, c'pour dire Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995



Voilà, ça y'est, tu es des nôtres, bienvenue parmi nous ! En tout cas, bravo pour ta validation :hearts: Pour fêter ça, bierraubeurre, chocogrenouille & câlins à volonté !


» N'oublie pas de venir participer à la coupe des quatre maisons. C'est ici que tu pourras venir demander tes points si tu termines ta fiche rapidement, si tu prends un scénario et bien d'autres choses ! C'est aussi à cet endroit où tu peux, plus tard, dépenser tes petits points pour avoir un DC, etc... Le Coupe des Quatre Maisons sera gagnée par une maison tous les deux mois et quelques surprises attendront les gagnants... Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3582448742


» Après : les listings, si tu veux avoir une petite maison plutôt qu'un joli carton, faut passer par le registre des habitations, mais pour payer son loyer faut avoir quelques gallions d'or dans son coffre, alors va jeter un œil au registre des métiers ou à celui consacré aux métiers à Poudlard et à la MUL. Si tu as une capacité spéciale, il faut passer par le registre des dons ou le registre des créatures. Pour devenir membre d'un club ou avoir un rôle particulier, alors allez dans le registre des clubs & rôles à Poudlard ou dans le registre des clubs & rôles à la MUL. Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 1961492925


» Ensuite, tu vas sûrement vouloir créer des liens avec les autres, n'est-ce pas ? Alors c'est par ici que ça se passe : faire une fiche de liens et passer dans celles des autres est essentiel pour l'intégration. Si tu veux un partenaire de rp, tu peux aller chercher dans ce sujet. Si jamais ton personnage se sent seul ou qu'il a des liens particuliers avec des personnages que tu souhaites créer, alors les pré-liens et les scénarios sont là pour toi.

» Enfin, tu peux maintenant venir jouer avec nous.

N'hésite pas non plus à poster dans la fiche prd un petit mot, ça fait toujours plaisir et à voter sur les tops-sites pour nous aider à nous faire connaitre !


Le petit mot de la fin : nous le staff on t'aime déjà beaucoup, parce que voir de nouveaux membres validés sur notre forum, ça nous fait toujours très chaud au coeur. Si jamais tu as le moindre problème, la moindre demande ou même si t'as juste envie de te plaindre d'un truc, tout le staff se tient à ta disposition (promis, on mord pas trop fort & on distribue du chocolat chaud :hearts: ).

Sur ce, gros bisous sur tes fesses & bienvenue parmi nous ! Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3465098450 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 107613845

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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyLun 26 Aoû - 1:10

Merci à vous 💖💖💖 !

( Oui Madame j'ai un problème j'ai ouï dire que vous vouliez me taper Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995!)

Aies donc de la peine Freyja, aies donc Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 1961492925
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyLun 26 Aoû - 12:53

MAIS CETTE VALIDATION FUT BIEN TROP RAPIDE Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995
Ton nouveau personnage a l'air trop trop chouette, j'ai hâte de stalker tes futurs rps ! Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 1001547463 Re-bienvenuuuuuuue !
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyLun 26 Aoû - 18:46

Cette validation express ! Je l'ai même pas vu arriver xD

Rebienvenu avec ce vilain louloup Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 2318942775
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MessageSujet: Re: Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds   Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds EmptyLun 26 Aoû - 19:15

Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995 Vincent N. Rosier | Ryan Reynolds 3245848995
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